Une gouvernance économique démocratique [nationale (1 pays) ? régionale (plusieurs pays) ? mondiale ?] serait, au minimum, parfaitement possible si les "démunis" s’attachaient à acquérir et à gérer collectivement la majorité des actions des entreprises cotées en bourse, banques incluses, qui, aujourd’hui, totalisent un capital mondial d’environ 36.000 milliards d’Euros.
Le grand démocrate Mitterrand est allé jusqu’à modifier la loi électorale (proportionnelle), en 1986, de manière à ce que le FN ait des députés (35) à l’Assemblée Nationale.
par Yoann (xxx.xxx.xxx.177) 25 février 15:37
"vous légitimez l’état d’Isarël en vous indignant de l’usage excessif de la Shoah"
Je serais très curieux que vous m’indiquiez où, dans mes articles, vous avez trouvé les arguments justifiant votre affirmation ci-dessus.
PAS DE RÉPONSE ?
Je serais très curieux que vous m’indiquiez où, dans mes articles, vous avez trouvé les arguments justifiant votre affirmation ci-dessus.
parYoann
vendredi 25 février 2011
Yoann : Plus de 2 ans après la bataille ! ! !
La tourmente financière, qui vient démentir toutes les promesses de la mondialisation, a éclipsé les signes avant-coureurs d’une autre crise, infiniment plus grave : une pénurie alimentaire générale. Pour comprendre comment tous les voyants sont passés au rouge, ARTE (mercredi 3 décembre 2008) ausculte un système devenu fou.
Sarkozy, Fillon, Alliot-Marie : deux poids, deux mesures...
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/sarkozy-fillon-alliot-marie-deux-89655
"Je me répète mais quelles nuances ai-je à apporter ?"
Personne ne vous interdit de considérer cela comme une "Conférence sur l’Histoire de France".
Addendum :
les agriculteurs, français, par exemple, ne stockent plus eux-mêmes leur production, c’est à dire depuis l’arrivée des silos et des coopératives et la création de l’Office National Interprofessionnel du Blé (ONIB), en 1936, ce qui leur a été très bénéfique.
Les coopératives des pays dits "en développement" n’ont jamais été à même de stocker en lieu et place des agriculteurs, faute de fonds financiers pour financer le stock et payer un acompte aux dits producteurs, leurs sociétaires.
Je constate que vous lisez et comprenez avec un grand sens de la nuance...
Lorsque je suis parvenu au commentaire de La Marseillaise, cela a été suffisant pour moi. Ensuite, je n’ai fait que des lectures très ponctuelles.
C’est bien comme cela que je l’entendais.
Ce n’est pas de l’Histoire ! Ce n’est que de la propagande anti-européenne ! ! ! Lamentable ! ! !
Addendum :
les agriculteurs, français, par exemple, ne stockent plus eux-mêmes leur production, c’est à dire depuis l’arrivée des silos et des coopératives et la création de l’Office National Interprofessionnel du Blé (ONIB), en 1936, ce qui leur a été très bénéfique.
Les coopératives des pays dits "en développement" n’ont jamais été à même de stocker en lieu et place des agriculteurs, faute de fonds financiers pour financer le stock et payer un acompte aux dits producteurs, leurs sociétaires.
Donc, comme antérieurement, depuis la fin de la seconde guerre mondiale, dans les pays dits "en développement "etc."...
Les coopératives n’ont jamais été à même de stocker en lieu et place des agriculteurs, faute de fonds financiers pour financer le stock et payer un acompte aux dits producteurs. Il en est allé de même avec les offices de commercialisation.
Donc, depuis la fin de la seconde guerre mondiale, les agriculteurs sont dans l’incapacité de stocker la part commercialisable de leur production (récolte-autoconsommation) et, partant, de maîtriser leur calendrier de commercialisation.
Les conditions iniques de commercialisation des produits vivriers par les producteurs sont bien plus défavorables à la Sécurité Alimentaire que la seule spéculation sur ces mêmes produits vivriers.
Commercialisation
des produits vivriers : LE Grand Secret (de Polichinelle ?) !
Hommage à Philippe Seguin
De lui, je n’ai retenu que deux bassesses :
1)
Le 3 septembre 1992, au cours de son débat télévisé avec Mitterrand sur le Traité de Maastricht, il se montra d’une médiocrité flagorneuse vis-à-vis de Mitterrand.
On dit qu’il venait de découvrir le réel état de santé du président et que cela lui aurait ôté une grande partie de ses capacités polémiques.
Philippe Séguin, qui prétendait être un grand démocrate républicain, aurait dû révéler et dénoncer l’imposture de Mitterrand quant à la réalité de son état de santé au lieu de se faire le complice de cette imposture !
2)
Le dictateur cubain, Fidel Castro, fait un séjour « privé » à Paris, du 13 au 16 mars 1995.
Il est embrassé par Danièle Mitterrand sur le perron de l’Élysée et reçu par François Mitterrand.
Philippe Séguin, qui prétend être un grand démocrate républicain, fait rendre les honneurs au dictateur Castro par la Garde Républicaine, devant l’Assemblée Nationale dont il lui ouvre les portes !
Ne serait-ce pas gênant pour Cantona si s’effondraient les banques qui font fructifier son patrimoine ?
Il convient de cesser de considérer le concept de "retraite par répartition" comme un horizon indépassable et de remplacer ce concept par celui de l’instauration d’une Allocation Universelle transitoire suivie de la génération d’un Dividende Universel permanent et évolutif, "fonds de pension national et privé", sorte de coopérative-capitaliste, solidairement et collectivement géré par une structure spécifique, indépendante de l’État et représentative des citoyens-électeurs-contribuables, qui résoudra le problème du chômage et transformera l’actuel capitalisme en un Capitalisme intrinsèquement Écologique, Anthropocentrique, Philanthropique et Équitable grâce à l’Acquisition Citoyenne du Pouvoir Économique.
(cf. Mémoires présidentiels : 2012 - 2022)
Un nanti capitaliste (monomaniaque & sans complexe).
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