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Les commentaires de epapel



  • 1 vote
    epapel epapel 6 mai 2011 00:17

    Il comprend très bien l’économie, c’est pour ça qu’il est riche.
    .
    La question n’est pas là mais s’il va en faire profiter les classes populaires et les classes moyennes en cas d’accession au pouvoir.



  • 1 vote
    epapel epapel 6 mai 2011 00:14

    Oui et alors ? Aurait-il du refuser le poste ou le salaire ?



  • vote
    epapel epapel 6 mai 2011 00:11

    erratum : qu’il vive selon ses revenus



  • 1 vote
    epapel epapel 6 mai 2011 00:10

    DSK est riche et tout le monde devrait le savoir (c’était l’homme au conseil à 50.000 francs), alors pourquoi serait-il inconvenant qu’il ne vive pas selon ses revenus qui sont officiellement connus ?
    .
    Le commentaire d’Hortefeux ne peut convaincre que les convaincus et les ignorants.
    .
    Je précise que je ne roule pas spécialement pour DSK.



  • 1 vote
    epapel epapel 5 mai 2011 23:57

    J’oubliais en effet une troisième solution : distribuer un revenu d’existence inconditionnel aux personnes désœuvrées mais malheureusement je crains comme vous que la majorité qui travaille ne s’y oppose par principe (chacun doit gagner sa croute) et parce qu’il est psychologiquement difficile de donner à des oisifs.
    .
    Pour le reste je partage votre pessimisme d’autant plus que s’ajoute à ce problème somme toute techniquement mineur quoique socialement majeur la crise écologique et l’épuisement des ressources qui sont autrement plus difficiles à surmonter sans dégâts collatéraux si tant est que c’est possible.



  • 2 votes
    epapel epapel 5 mai 2011 23:45

    M. Cheminade est pour le nucléaire, conteste l’ampleur de la catastrophe de Fukushima et parle de manipulation de la part des allemands et du complot des écologistes pour torpiller l’industrie nucléaire (lavage de cerveau anti-nucléaire dit-il à propos de Fukushima)
    .
    D’accord avec ça aussi ?



  • 2 votes
    epapel epapel 5 mai 2011 22:16

    Ils nous disent qu’il faut faire place à la diversité ce qui est parfaitement légitime, mais que constate-on au fil des années en équipe de France : pratiquement la majorité des joueurs sont noirs alors que 95% des jeunes sont blancs.
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    Quand énonce ce fait et qu’on demande si un rééquilibrage ne serait pas bienvenu on est accusé de propos racistes et discriminatoires. 



  • vote
    epapel epapel 5 mai 2011 22:01

    Concernant la proposition de quota de 30% pour les bi-nationaux, il est exagéré de parler de discrimination quand on remarque qu’ils ne représentent que 5% des jeunes français.



  • 3 votes
    epapel epapel 5 mai 2011 21:56

    Pourquoi tant de haine ?



  • 6 votes
    epapel epapel 5 mai 2011 21:53

    Nous vivons une époque formidable dans laquelle seuls les blancs peuvent être racistes.



  • 2 votes
    epapel epapel 5 mai 2011 21:18

    Vous avez raison au sujet des qualifications des français pris globalement mais il n’en demeure pas moins qu’environ 20% de la population sort du circuit scolaire sans aucune qualification, s’ajoute à cela une immigration dont la plus grosse partie est également peu qualifiée et qui se met en concurrence directe avec eux. Ce sont ces principalement ces personnes qui sont touchées par le chômage, le temps partiel et les emplois précaires mal payés.
    .
    Vous avez sans doute souvent entendu parler du taux record de chômage à 25% pour les jeunes de moins de 25 ans : ce taux ne concerne en fait que ceux qui ne font pas d’études supérieures (environ 40%) et donc sont pour la moitié d’entre eux sans qualification ce qui confirme mon analyse.
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    On en revient donc à la problématique du début , comme on ne peut pas partager le travail entre personnes qualifiées et non qualifiées il n’y a que deux solutions :
    - faire monter en qualification cette jeunesse en déshérence c’est à dire en pratique améliorer la performance du système scolaire compte tenu du fait que plus le rattrapage est tardif moins il est opérant : c’est vers ça qu’il faut tendre en priorité car c’est la seule méthode qui offre une réelle perspective de progression
    - restreindre drastiquement l’immigration des personnes peu qualifiées afin de mettre en adéquation l’offre d’emploi et le nombre d’actifs concernés : ça paraît très difficile car le patronat (soutenu discrètement par la droite) et les politiciens de gauche y sont opposés les premiers pour bénéficier de très bas salaires et les seconds au nom de principes humanistes ce qui est totalement contradictoire.
    .
    Si ce raisonnement est juste, il donne la clé du choix pour les élections si on est partisan de la réduction du chômage et de l’élévation du niveau de vie : il faut donner sa voix aux partis qui s’engagent à mettre les moyens sur l’éducation (réforme de l’organisation et des méthodes, modernisation et augmentation du financement) et la refuser à ceux qui les diminuent.



  • vote
    epapel epapel 5 mai 2011 19:29

    Il faut revenir aux fondamentaux, partager le temps de travail comme un gâteau ça revient à partager les revenus de la même façon. Donc ça veut dire concrètement que tous ceux qui travaillent à temps plein doivent diminuer leurs revenus en travaillant moins au profit de ceux qui travaillent à temps partiel ou sont au chômage.
    .
    Les hauts revenus sont prêts à faire un effort pour obtenir plus de temps libre mais pas les bas revenus or il beaucoup plus de chômeurs et de travailleurs à temps partiel peu qualifiés ne pouvant occuper que des emplois faiblement rémunérés donc le partage généralisé du travail est impossible sans pénaliser les bas revenus.



  • vote
    epapel epapel 5 mai 2011 19:01

    A limite vous pouvez diminuer le temps de travail de l’ouvrier de l’automobile à mesure qu’il crée plus de richesses mais comment voulez-vous diminuer le temps de travail de l’enseignant sans diminuer ses revenus à proportion de la diminution de sa contribution à la création de richesses, ça ne tient pas la route et on l’a bien vu avec la mise en place des 35 heures :
    - les secteurs qui avaient des gains de productivité potentiels les ont absorbé sans difficulté tout en maintenant les salaires
    - ceux qui n’en avaient pas n’ont eu que des problèmes : par impossibilité d’augmenter les impôts pour les services publics donc pas de recrutement de nouveaux agents et par impossibilité d’augmenter les prix pour le privé donc diminution des salaires.



  • vote
    epapel epapel 5 mai 2011 18:47

    Le nombre d’agents de l’État a augmenté presque deux fois plus vite que la population, ce n’était donc pas pour répondre à plus de besoin mais une vaine tentative d’écluser le chômage. C’est un des facteurs qui ont contribué a aggraver les déficits publics.
    .
    Vous parlez des gains de productivité qui devraient permettre de diminuer le temps de travail et vous avez en partie raison, mais vous oubliez un point essentiel : ces gains ne se répartissent pas linéairement dans tous les activités car certaines progressent de façon importante tandis que d’autres stagnent.
    .
    La question se pose alors de savoir comment on peut faire bénéficier des gains de productivité d’une activité à une autre ou dit autrement comment par exemple l’augmentation de la productivité des salariés de l’automobile qui sont en concurrence avec le monde entier sur leur créneau et donc sont obligés de diminuer les coûts de fabrication peut permettre la diminution du temps de travail des médecins, des infirmières ou des enseignants sans diminution du salaire des uns et des autres et sans augmentation des impôts et des charges sociales.



  • 1 vote
    epapel epapel 5 mai 2011 17:33

    Les USA déposent 53000 brevets par an soit le tiers du total mondial, la France dépose 10000 brevets par an ce qui correspond au rapport entre la taille de leurs populations et économies respectives.
    .
    Ensuite les pays qui déposent le plus de brevet relativement à la taille de leur population sont dans l’ordre du palmarès avant les USA et la France : la Suisse, la Suède, le Pays Bas, l’Allemagne et le Japon.
    .
    Les préjugés ont la vie dure !



  • 1 vote
    epapel epapel 5 mai 2011 16:21

    On vit plus longtemps car :
    - on travaille moins péniblement et que les maladies professionnelles mortifères sont moins courantes
    - on est mieux soigné, mieux logé et mieux nourri
    .
    Le fait de travailler plus longtemps n’est pas en soi un facteur de réduction de l’espérance de vie s’il n’est pas associé à la pénibilité et aux maladies professionnelles, mieux toutes les études prouvent au contraire qu’une activité dans ces conditions même professionnelle contribue à l’augmenter.
    .
    C’est pour cela que les syndicats ont parfaitement raison de revendiquer la prise en compte de la pénibilité dans la détermination de l’âge de départ à la retraite.



  • 1 vote
    epapel epapel 5 mai 2011 15:23

    L’État peut vouloir aussi encourager de développement d’activités qu’il considère stratégiques pour le pays mais que le marché ne peut pas faire émerger (insuffisance des compétences, retour sur investissement trop lointain, masse critique non satisfaite...), on peut citer par exemple en France les industries suivantes qui n’existeraient pas sans l’intervention de l’État :
    - aérospatiale
    - aéronautique
    - nucléaire
    - pétrolière
    - télécommunications
    .
    Il n’échappera à personne que ces activités, arrivées à maturité sont désormais gérée par le secteur privé.
    .
    Mais là encore il ne s’agit pas de subventionner des activités en vue de créer de l’emploi à faible valeur ajoutée (pour réduire le chômage) comme c’est le cas actuellement (restauration, aide à la personne...) mais bien au contraire de favoriser la création de richesses.



  • 2 votes
    epapel epapel 5 mai 2011 13:50

    Vos réponses sont simplistes et à l’emporte-pièce, vous n’argumentez pas et vous ne prouvez pas.
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    Par exemple pour l’esclavage, l’amélioration de la productivité doit bien s’appuyer sur quelque chose :
    - existait-il des machines à récolter la canne à sucre en 1848
    - existait-il des machines à récolter le coton en 1861
    Non, que je sache. D’ailleurs au Brésil de nos jours, la canne à sucre est encore massivement récoltée manuellement mais par des salariés, pas par des esclaves comme autrefois.
    .
    L’éducation obligatoire et le travail des enfants : au XIX siècle la France était largement rurale et agricole et la plupart des paysans préféraient faire travailler leurs enfants plutôt que les envoyer à l’école, sans l’obligation légale cette situation aurait perduré : je suis fils d’agriculteur et dans les années 60 et 70 mon père comme tous ses semblables dans sa région m’a fait travailler dès l’âge de 10 ans pendant le weekend et pendant les vacances, et ce n’est pas une question de productivité puisque son exploitation était très mécanisée (adolescent je conduisais les machines agricoles que j’étais capable de manier, c’est tout).
    .
    Les congés payés effectivement ce n’est pas gratuit, mais si on n’avait pas imposé une période de relâche la plupart des gens continuerait de travailler toute l’année, comme la quasi totalité des agriculteurs au moins jusque dans les années 80 je suis bien placé pour le savoir. Je rappelle quand même qu’avant la révolution industrielle, 1 jour sur 3 était chômé en moyenne en ville et qu’au XIX siècle il ne restait plus que le dimanche de libre alors que la productivité avait considérablement augmenté.
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    La sécurité sociale : avant 1980 elle existait déjà et ce n’est pas la Chine qui la finançait.
     



  • vote
    epapel epapel 5 mai 2011 13:17

    Vous admettez quand même que les USA que vous jugez en ruine avant 1941 avaient recouvré leur santé économique en 1945.



  • 2 votes
    epapel epapel 5 mai 2011 13:14

    Vous ne devriez pas essayer de deviner l’opinion des autres quand ils ne vous l’ont pas donnée car vous vous fourvoyez totalement. Soyez factuel en ciblant vos critiques sur ce qui a été dit ce que vous ne faites pas ou mal au lieu de critiquer ce qui n’a pas été dit.
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    Je ne suis pas un libéral, ni pour les bas salaires, ni pour la casse des avantages sociaux... et je ne suis pas un électeur de droite ni d’extrême droite.
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    Par rapport au partage du travail, la démonstration a été faite que ça ne marchait pas ou mal : transformer des travailleurs en retraités, multiplier les emplois aidés et mettre en place les 35h n’ont pas fait reculer le chômage que je sache.
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    Il ne faut pas confondre partage du travail et partage des fruits du travail ni création d’emploi avec création de richesse.
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    Il ne sert à rien de subventionner les emplois peu productifs s’il n’existe pas à côté des emplois très productifs sur lequel sera prélevé la richesse correspondante. Une telle politique ne peut conduire à terme que sur un appauvrissement généralisé de la société.
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    Une saine politique de subvention et de répartition doit se limiter à satisfaire les besoins que le marché libre ne peut pas satisfaire ou de façon partielle : c’est le but de la sécurité sociale et de la CMU par exemple.