Merci du "jeune homme".
A propos "des rires niais de l’audience" que l’on ne voit guère, j’ai été impressionné par le parterre de fans au moins quinquagénaires de l’idole des jeunes qu’ils furent. J’ai pensé que les midinettes et autres jeunes à hormones débordantes n’avaient pas le monopole du coeur trop tendre envers quelques vedettes plus ou moins affriolantes...
Laurent Wauquiez illustre parfaitement (à tous les sens du terme, vu que c’est sa photo que j’avais choisie) mon article "Tartufferie : cachez ce « politicien » que je ne saurais voir" sur Agoravox.
Effectivement, il n’y a pas unicité du sida : il s’agit de syndromes différents qu’on a voulu unifier sous une causalité virale qui est celle que veut l’industrie pharmaceutique, car elle exonère les causes pharmaceutiques et chimiques (l’industrie pharmaceutique faisant partie de l’industrie chimique), et recycle les chercheurs qui se sont cassé les dents sur les causes virales aux cancers (Robet Gallo, Luc Montagnier), voie surfinancée dans les années 1970 pour la même raison.
Par exemple, entre des hémophiles qui subissaient de multiples transfusions avec un sang avec "99 % d’impuretés" (Luc Montagnier, Des VIrus et des hommes, Odile Jacob, 1994, p. 236) et développaient des hépatites, et des hommes homosexuels intoxiqués aux poppers qu’ils inhalaient et étaient atteints de sarcomes de Kaposi sur leurs voies respiratoires, il n’y a pas l’unicité qu’aurait une maladie.
Après on a utilisé des tests attrape-tout (avec une liste de 70 cas de faux-positifs) qui ne testent pas du tout la présence de virus, mais d’anticorps qui ne sont pas spécifiques au virus prétendu. On a aussi éludé les rétrovirus endogènes, qui se développent spontanément chez une personne malade.
Voici des références pour bien s’informer :
- le site $idasanté : http://www.sidasante.com/
- le film documentaire Sida : le doute, de Djamel Tahi, difusé sur Arte en 1996 ;;
- le film documentaire The House of numbers, de Brent Leung en 2009 ;
- le livre Les 10 plus gros mensonges sur le sida, d’Étienne de Harven et Jean-Claude Roussez en 2005 (éditions Dangles).
Sophie Li : "veut-on conserver une humanité qui accepte la limitation d’une transcendance, Dieu pour les uns, la Nature pour les autres ?"
Je Crois qu’il s’agit dans cette phrase pour des déistes d’accorder la m même croyance sans Dieu avec ce concept de "Nature transcendante". Mais un athée n’est pas un déiste sans Dieu, et il n’y a aucune assimilation entre la nature, qui est sans conscience, sans intentionnalité, avec la divinité. Il me semble donc que pour les athées, le verrou saute et l’argument n’a pas de pertinence. En effet, pourquoi l’humain se "soumettrait" à toute la nature, alors qu’il n’a cessé de créer des artefacts, se protéger de toutes ces choses naturelles : du climat, des maladies, de la faiblesse, de la souffrance en général ?
Voici l’index que j’ ai fait des Réseaux cachés des pervers sexuels d’Eric Raynaud pour s’y retrouver : http://lucadeparis.free.fr/index/raynaud_reseaux.htm.
Une bande de crétins utiles et/ou de mercenaires qui se permettent de
critiquer une radio bien plus indépendante qu’eux des financements
publics, Ici et Maintenant !, par l’entremise d’un premier appel téléphonique illustrant très opportunément leurs propos (pas comme la libre antenne d’Ici et Maintenant ! : là on peut dire que l’appel est téléphoné vu que son contenu est annoncé avant même que l’interlocutrice parle...). Ils voient la paille dans l’oeil du voisin...
En gros, ils se gargarisent de "bien-pensance de gôche" à condition que ça leur permette de continuer à subsister, ainsi que l’ordre des choses actuel. Car "Son financement est essentiellement
assuré par l’Etat (Fonds de soutien à l’expression radiophonique attribué par le
ministre de la Culture et de la communication)." Ca tombe bien, ils fustigent ceux qui ne dirigent pas l’Etat qui les finance (les démocrates comme Chouard, les catalogués à tort ou à raison d’extrême-droite, les opposants à l’Union européenne des financiers, etc.). Comme dit le proverbe anglais, "Who pays the piper plays the game" (Qui paie le flutiste choisit la mélodie). Et là, ils jouent à merveille la partition du pipeau de leurs maîtres.Il y aurait sans doute à dire sur leurs émissions sur le sida et l’immigration, défendant les thèses que veulent le capitalisme privé.
Pressetituée : feuille de choux qui ménage les chèvres.
Remarquons aussi que dans les deux exemples de Jean-Michel Apathie, le résultat réalisé est le projet de la ploutocratie relayé par les médias dominants, non seulement l’élimination d’un candidat souverainiste, mais surtout pour le référendum, contourné par le gouvernement de Sarkozy en congrès des députés et sénateurs ratifiant à Versailles le traité de Lisbonne.
Remarquons aussi que dans les deux exemples de Jean-Michel Apathie, le résultat réalisé est le projet de l’oligarchie relayé par les médias dominants, non seulement l’élimination d’un candidat souverainiste, mais surtout pour le référendum, contourné par le gouvernement de Sarkozy en congrès des députés et sénateurs ratifiant à Versailles le traité de Lisbonne.
A la fin du documentaire (de 68’15" à 69’08"),
Jean-Michel Apathie argumente contre l’influence
(« le pouvoir »,
dit-il) attribuée aux médias que si c’était vrai, Jean-Marie Le Pen ne
serait pas parvenu au second tour de l’élection présidentielle de 2002 et que le
peuple n’aurait pas voté à 55% contre le traité européen en 2005.
Son argument ne prouve rien, car avec une presse différente, Jean-Marie Le Pen
aurait pu faire plus que 17% au premier tour, et surtout (sans le matraquage
anti-Le Pen durant deux semaines) plus que 18% au second, par exemple 30 ou 55%
; et le peuple en 2005, autrement mieux informé (comme par l’internaute
Étienne Chouard, professeur d’économie) n’aurait pas
voté non à 55%, mais à par exemple 95 ou 93,2% (comme les Islandais contre le
remboursement de la dette inique).
En passant, Apathie reconnaît donc la pensée
médiatique dominante contre Jean-Marie Le Pen et pour le traité européen.
Plus généralement, il y a une désinformation sur l’importance de l’imitation
dans les processus sociaux (car fondamentalement tout ce qui est social est
imitatif).
Voulant nier le modelage effectué par les médias, il dit que « les journalistes sont des petites choses » ; petitesse qu’on peut lui attribuer pour une autre raison qu’il le pense, et pas à tous les journalistes : les journalistes ont de l’influence, et les petits sont plutôt ces chiens de garde qui ne le reconnaissent pas et nient leur laisse en or ; et ceux qui enquêtent sur l’influence et la manipulation médiatique, tels François Ruffin et Pierre Carles, sont de grands journalistes, courageux et admirables.
A la fin du documentaire (de 68’15" à 69’08"),
Jean-Michel Apathie argumente contre l’influence
(« le pouvoir »,
dit-il) attribuée aux médias que si c’était vrai, Jean-Marie Le Pen ne
serait pas parvenu au second tour de l’élection présidentielle de 2002 et que le
peuple n’aurait pas voté à 55% contre le traité européen en 2005.
Son argument ne prouve rien, car avec une presse différente, Jean-Marie Le Pen
aurait pu faire plus que 17% au premier tour, et surtout (sans le matraquage
anti-Le Pen durant deux semaines) plus que 18% au second, par exemple 30 ou 55%
; et le peuple en 2005, autrement mieux informé (comme par l’internaute
Étienne Chouard, professeur d’économie) n’aurait pas
voté non à 55%, mais à par exemple 95 ou 93,2% (comme les Islandais contre le
remboursement de la dette inique).
En passant, Apathie reconnaît donc la pensée
médiatique dominante contre Jean-Marie Le Pen et pour le traité européen.
Plus généralement, il y a une désinformation sur l’importance de l’imitation
dans les processus sociaux (car fondamentalement tout ce qui est social est
imitatif).
Voulant nier le modelage effectué par les médias, il dit que « les journalistes sont des petites choses » ; petitesse qu’on peut lui attribuer pour une autre raison qu’il le pense, et pas à tous les journalistes : les journalistes ont de l’influence, et les petits sont plutôt ces chiens de garde qui ne le reconnaissent pas et nient leur laisse en or ; et ceux qui enquêtent sur l’influence et la manipulation médiatique, tels François Ruffin et Pierre Carles, sont de grands journalistes, courageux et admirables.
"En n’imaginant pas d’autre second tour possible qu’un duel Hollande-Sarkozy et en présentant cet affrontement comme un un combat gauche-droite alors qu’il s’agit plus vraisemblablement d’un affrontement centre droit-droite dure, les médias dominants cherchent-ils à éviter la présence d’un vrai candidat de gauche au second tour de l’élection présidentielle ?"
De qui parles-tu ? de la 3e, Marine Le Pen, à 18,5% après avoir été sous-estimée par les instituts de sondage pour faire pener qu’elle ne pouvait pas arriver devant Sarkozy, ou Jean-Luc Mélenchon, arrivé 4e à 11,7% après avoir été surestimé pour gêner Marine Le Pen et François Hollande ?
Il est certain qu’un démocrate doit plus avoir Gracchus Babeuf (ou Thomas Paine) comme références que Robespierre ; mais Etienne Chouard n’est pas totalement démocrate : il m’a dit qu’il n’est pas contre une part d’aristocratie, par une élection sans candidature.
Etrange : lorsque je suis passé au Zimbabwe fin 2010, la monnaie utilisée était exclusivement le dollar états-unien. Et comme ce pays ne peut créer, imprimer cette monnaie, preuve que Lenglet raconte n’importe quoi.
En démocratie, le peuple vote des lois qu’il fait : des lois ainsi rédigées est compréhensible, pas fait en jardon juridique par des avocats-politiciens.
En aristocratie élective (notre régime), on vote pour des gens qui promettent ce qu’ils veulent, et ont le droit de faire le contraire (c’est même dans la constitution de la 5e République que les mandats ne sauraient être impératifs !).
Surtout que le gouvernement français des cinq derniers années était dominé par une clique d’avocats d’affaires (Sarkozy, Lagarde, Borloo, Copé, Lefèvre) donc plutôt des sbires de la ploutocratie que des fonctionnaires.
Rectification : Mitterrand n’a pris des produits Beljanski qu’à partir de l’automne 1994, mais à un moment où il était si mal en point qu’on s’attendait chez les ministres qui le voyaient (Edouard Balladur et son clan, dont Simone Veil qui en tant que ministre de la Santé aurait dû ouvrir les yeux sur ce traitement disponible pour le "premier" des Français mais guère aux suivants) à son décès et à des élections anticipées.
Il a pu finir son mandat, faire son dernier voyage vers les forces de l’esprit auprès d’antiques pyramides avant de cesser de s’alimenter et de se soigner.
Beljanski aussi a cessé de se soigner et de s’alimenter, mais lui avait à 75 ans de quoi être déprimé après avoir eu les menottes aux poignets, la confiscation de son passeport, de ses travaux et l’impossibilité de continuer à travailler en laboratoire, ce qui était sa passion.
Pour une biographie de Mirko Beljanski : http://lucadeparis.free.fr/infosweb/beljanski.htm
J’ai trouvé "intéressant" qu’Audrey Pulvar considère qu’il serait anormal qu’en France, les Français ne soient pas logés en priorité. Où peuvent-ils se loger, sinon dans leur pays ?
Considèrerait-elle que chez elle et son Arnaud Montebourg (qui était le candidat Socialiste de la démondialisation), j’ai autant de droit qu’elle à venir me loger ?
Elle considère aussi qu’il ne devrait plus y avoir de préférence (en fait d’exclusivité) nationale pour les fonctionnaires. Ainsi, nous devrions avoir des policiers, des militaires étrangers ? Etonnant non ?
Avec ses "bons" sentiments inconséquents à la "France peluche", elle est une crétine utile du capitalisme, qui veut l’immigration et l’implosion des nations afin de diminuer le salaire des travailleurs.
Et elle n’avait rien à rétorquer à Marine Le Pen qui citait le père de Pulvar revendiquant "La Martinique aux Martiniquais" et trouvant normale qu’il y ait une préférence régionale pour des départements très éloignés où les locaux auraient de la difficulté à travailler ailleurs.
Il était aussi très intéressant que la chanteuse Izia évoque la loi scélérate du 3 janvier 1973, qui nous endette envers les marchés alors que l’Etat français pouvait auparavant se financer en créant gratuitement la monnaie.
Malheureusement, Marine Le Pen n’a pas bien répondu à Natacha Polony sur le remboursement de cette dette envers des faux monnayeurs légaux, comme disait Maurice Allais.
A l’argument (fallacieux) appuyant la loi de 1973, la lutte contre l’inflation, cité par Polony, Marine Le Pen aurait pu répondre que l’inflation était plus élevée les années suivant 1973 que les années la précédant.
Je suis aussi d’accord avec Etienne Chouard sur l’obsolescence de l’étalon-or, qui ne correspond pas à l’activité économique tout comme l’extraction d’or selon les pays.
Un étalon qui correspondrait à l’économie et au coût serait l’étalon-travail, en particulier temps de travail (voir l’article sur Agoravox).
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