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Les commentaires de Étirév



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    Étirév 2 février 10:44

    Rappelons que l’industrie pharmaceutique est liée aux géants de l’agroalimentaires dans le monde (Nestlé, Kellogs, Proctor and Gamble, Monsanto, etc.), et grâce à ce vaste réseau planétaire, l’oligarchie peut orchestrer des attaques concertées sur le corps humain et ses facultés mentales et psychologiques par le biais de drogues, de vaccins et d’additifs alimentaires.
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    Étirév 2 février 10:40

    Dans la « machine à gouverner », à côté du rôle des partis politiques, n’oublions pas celui, non négligeable, des syndicats, capables de créer une situation conflictuelle permanente pour une grande majorité de la population, proie facile de tout conditionnement et aventure, en les affaiblissant et en les appauvrissant moralement et physiquement, dans un mécanisme pervers de la gestion des contraires, qui fragilise également les TPE/PME, ces énormes réservoirs d’emplois qui subissent, elles aussi, et déjà, les affres de la « crise » pour le plus grand bonheur (et profit) des multinationales. En effet, les masses, encadrées dans des organisations guidées par les mêmes mains qui contrôlent les mouvements des capitaux, sont poussées à la grève pour obtenir des augmentations de salaires temporaires, tandis qu’en réalité elles restent victimes de la spirale de l’inflation qui ne leur laisse pas reprendre leur souffle (les avantages des augmentations étant compensés automatiquement par un accroissement des prix), aggravant chaque fois un peu plus leur misère.
    En ce qui concerne les syndicats, et la France en particulier, rappelons qu’en 2014, Bernard Thibault (Secrétaire Général de la CGT de 1999 à 2013) a fini sa « carrière » au Conseil d’Administration du Bureau International du Travail (organisme, comme l’OMS, rattaché à l’institution mondialiste ONU), tout comme Marc Blondel (ancien Secrétaire Général de FO de 1989 à 2004) ou Yves Veyrier (ancien secrétaire général de FO de 2018 à 2022).

    Citons également le cas de Thierry Lepaon, successeur de B. Thibault à la CGT, qui a été obligé de quitter ses fonctions en 2015, après 2 ans d’activité, à la suite des révélations du « Canard Enchaîné » sur ses « frais de fonction » pris dans la caisse des adhérents du syndicat. Malgré ses nombreuses casseroles, Thierry Lepaon sera, en 2016, recasé par le gouvernement de Manuel Valls à la présidence de l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme, puis, à partir de 2019, coopté par Emmanuel Macron et Edouard Philippe à l’Inspection Général de la jeunesse et des sports.

    Enfin, rappelons que Nicole Notat, Secrétaire Général du syndicat CFDT de 1992 à 2002, était membre du club « Le Siècle », cette association réunissant ces élites françaises profondément anti-françaises, et dont elle a assuré la présidence du 1er janvier 2011 au 31 décembre 2013. Etc., Etc., Etc..
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    Étirév 4 janvier 10:35

    1927
    Le désordre moderne a pris naissance en Occident, et, jusqu’à ces dernières années, il y était toujours demeuré strictement localisé ; mais maintenant il se produit un fait dont la gravité ne doit pas être dissimulée : c’est que ce désordre s’étend partout et semble gagner jusqu’à l’Orient. Certes, l’envahissement occidental n’est pas une chose toute récente, mais il se bornait jusqu’ici à une domination plus ou moins brutale exercée sur les autres peuples, et dont les effets étaient limités au domaine politique et économique ; en dépit de tous les efforts d’une propagande revêtant des formes multiples, l’esprit oriental était impénétrable à toutes les déviations, et les anciennes civilisations traditionnelles subsistaient intactes. Aujourd’hui, au contraire, il est des Orientaux qui se sont plus ou moins complètement « occidentalisés », qui ont abandonné leur tradition pour adopter toutes les aberrations de l’esprit moderne, et ces éléments dévoyés, grâce à l’enseignement des Universités européennes et américaines, deviennent dans leur propre pays une cause de trouble et d’agitation. Il ne convient pas, d’ailleurs, de s’en exagérer l’importance, pour le moment tout au moins : en Occident, on s’imagine volontiers que ces individualités bruyantes, mais peu nombreuses, représentent l’Orient actuel, alors que, en réalité, leur action n’est ni très étendue ni très profonde ; cette illusion s’explique aisément, car on ne connaît pas les vrais Orientaux, qui du reste ne cherchent nullement à se faire connaître, et les « modernistes », si l’on peut les appeler ainsi, sont les seuls qui se montrent au dehors, parlent, écrivent et s’agitent de toutes façons.
    Déclarons-le très nettement : l’esprit moderne étant chose purement occidentale, ceux qui en sont affectés, même s’ils sont des Orientaux de naissance, doivent être considérés, sous le rapport de la mentalité, comme des Occidentaux, car toute idée orientale leur est entièrement étrangère, et leur ignorance à l’égard des doctrines traditionnelles est la seule excuse de leur hostilité. Ce qui peut sembler assez singulier et même contradictoire, c’est que ces mêmes hommes, qui se font les auxiliaires de l’« occidentalisme » au point de vue intellectuel, ou plus exactement contre toute véritable intellectualité, apparaissent parfois comme ses adversaires dans le domaine politique ; et pourtant, au fond, il n’y a là rien dont on doive s’étonner. Ce sont eux qui s’efforcent d’instituer en Orient des « nationalismes » divers, et tout « nationalisme » est nécessairement opposé à l’esprit traditionnel ; s’ils veulent combattre la domination étrangère, c’est par les méthodes mêmes de l’Occident, de la même façon que les divers peuples occidentaux luttent entre eux ; et peut-être est-ce là ce qui fait leur raison d’être. En effet, si les choses en sont arrivées à un tel point que l’emploi de semblables méthodes soit devenu inévitable, leur mise en œuvre ne peut être que le fait d’éléments ayant rompu toute attache avec la tradition ; il se peut donc que ces éléments soient utilisés ainsi transitoirement, et ensuite éliminés comme les Occidentaux eux-mêmes. Il serait d’ailleurs assez logique que les idées que ceux-ci ont répandues se retournent contre eux, car elles ne peuvent être que des facteurs de division et de ruine ; c’est par là que la civilisation moderne périra d’une façon ou d’une autre ; peu importe que ce soit par l’effet des dissensions entre les Occidentaux, dissensions entre nations ou entre classes sociales, ou, comme certains le prétendent, par les attaques des Orientaux « occidentalisés », ou encore à la suite d’un cataclysme provoqué par les « progrès de la science » ; dans tous les cas, le monde occidental ne court de dangers que par sa propre faute et par ce qui sort de lui-même.
    La seule question qui se pose est celle-ci : l’Orient n’aura-t-il à subir, du fait de l’esprit moderne, qu’une crise passagère et superficielle, ou bien l’Occident entraînera-t-il dans sa chute l’humanité tout entière ? Il serait difficile d’y apporter actuellement une réponse basée sur des constatations indubitables (...) Mais laissons là encore une fois les anticipations, et ne regardons que les événements actuels : ce qui est incontestable, c’est que l’Occident envahit tout ; son action s’est d’abord exercée dans le domaine matériel, celui qui était immédiatement à sa portée, soit par la conquête violente, soit par le commerce et l’accaparement des ressources de tous les peuples ; mais maintenant les choses vont encore plus loin. Les Occidentaux, toujours animés par ce besoin de prosélytisme qui leur est si particulier, sont arrivés à faire pénétrer chez les autres, dans une certaine mesure, leur esprit antitraditionnel et matérialiste ; et, tandis que la première forme d’invasion n’atteignait en somme que les corps, celle-ci empoisonne les intelligences et tue la spiritualité ; l’une a d’ailleurs préparé l’autre et l’a rendue possible, de sorte que ce n’est en définitive que par la force brutale que l’Occident est parvenu à s’imposer partout, et il ne pouvait en être autrement, car c’est en cela que réside l’unique supériorité réelle de sa civilisation, si inférieure à tout autre point de vue.
    Chose extraordinaire, ce moment où l’Occident envahit tout est celui que certains choisissent pour dénoncer, comme un péril qui les remplit d’épouvante, une prétendue pénétration d’idées orientales dans ce même Occident ?
    Les représentants authentiques des doctrines traditionnelles n’éprouvent de haine pour personne, et leur réserve n’a qu’une seule cause : c’est qu’ils jugent parfaitement inutile d’exposer certaines vérités à ceux qui sont incapables de les comprendre ; mais ils n’ont jamais refusé d’en faire part à ceux, quelle que soit leur origine, qui possèdent les « qualifications » requises ; est-ce leur faute si, parmi ces derniers, il y a fort peu d’Occidentaux ? Et, d’un autre côté, si la masse orientale finit par être vraiment hostile aux Occidentaux, après les avoir longtemps regardés avec indifférence, qui en est responsable ? Est-ce cette élite qui, toute à la contemplation intellectuelle, se tient résolument à l’écart de l’agitation extérieure, ou ne sont-ce pas plutôt les Occidentaux eux-mêmes, qui ont fait tout ce qu’il fallait pour rendre leur présence odieuse et intolérable ?
    Il suffit que la question soit ainsi posée comme elle doit l’être, pour que n’importe qui soit capable d’y répondre immédiatement ; et, en admettant que les Orientaux, qui ont fait preuve jusqu’ici d’une incroyable patience, veuillent enfin être les maîtres chez eux, qui donc pourrait songer sincèrement à les en blâmer ? Il est vrai que, quand certaines passions s’en mêlent les mêmes choses peuvent, suivant les circonstances, se trouver appréciées de façons fort diverses, voire même toutes contraires : ainsi, quand la résistance à une invasion étrangère est le fait d’un peuple occidental, elle s’appelle « patriotisme » et est digne de tous les éloges ; quand elle est le fait d’un peuple oriental, elle s’appelle « fanatisme » ou « xénophobie » et ne mérite plus que la haine ou le mépris. D’ailleurs, n’est-ce pas au nom du « Droit », de la « Liberté », de la « Justice » et de la « Civilisation » que les Européens prétendent imposer partout leur domination, et interdire à tout homme de vivre et de penser autrement qu’eux-mêmes ne vivent et ne pensent ? (R. Guénon)
    La meilleure façon d’être un occidental est de s’intéresser à l’Orient : Il s’agit non d’imposer à l’Occident une tradition orientale, dont les formes ne correspondent pas à sa mentalité, mais de restaurer une tradition occidentale avec l’aide de l’Orient.



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    Étirév 22 décembre 2023 16:04

    Il semble que la première chose à faire, si l’on veut parler d’Israël, c’est d’abord d’apprendre sa véritable Histoire, « l’Autre », celle avec un grand « H », cachée.
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    Étirév 15 décembre 2023 12:57

    Le saviez-vous ? :

    Le « Climarnaque » a été mise en place pour financer la future monnaie numérique mondiale qui sera entièrement contrôlée par les élites bancaires globalistes.
    Explication  : Le FEM, « validé » par le biais des Nations Unies en 1992, grâce à la cooptation des hauts fonctionnaires ministériels de 179 pays (merci le « lobbying »), lors de la conférence sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de « Sommet de Rio », est une organisation financière indépendante gérant le système de financement destiné, soi-disant, à mener des actions pour la préservation de l’environnement, dans le cadre du « développement durable ». Il accorde, entre autres, des subsides au projet lié à la lutte contre les effets du pseudo réchauffement climatique. « Pseudo », en effet, car il est avéré que la température, plus élevée dans les temps anciens, s’abaisse graduellement ; le mensonge du « réchauffement climatique » est destiné, en partie, à faire croire que les « élites » actuelles et leurs scientifiques dits « sérieux » peuvent apporter tous les progrès, même ceux du climat.
    Précisons que, à l’origine, le FEM est issu du « 4ème Congrès Mondial des Terres Sauvages » (4th World Wilderness Congress) organisé en 1987 par la Banque Rothschild, et le Baron Edmond de Rothschild lui-même. Quelque 1 500 banquiers et dirigeants parmi les plus puissants du monde ont assisté à ce congrès qui était présidé par l’homme politique, membre de la haute finance canadienne et agent de « N. M. Rothschild & Sons » à Londres, Maurice Strong (1929-2015). Co-fondateur du WWF, ancien Secrétaire général de la Conférence des Nations unies sur l’environnement et co-directeur de l’Aspen Institute, Maurice Strong était aussi membre fondateur du GIEC (créé en 1988) et de l’« Earth Council », dont il deviendra le Directeur. Créé en 1992, au Costa Rica, pour coordonner la réalisation des programmes de l’« Agenda 21 », l’« Earth Council » a aussi comme membre fondateur Klaus Schwab, accessoirement « Monsieur Great Reset », mais surtout fondateur et actuel président du « World Economic Forum », les Symposiums annuels qui depuis 1971 réunissent à Davos, en Suisse, les hommes du « Big Business ».
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    Étirév 6 décembre 2023 11:01

    C’est au milieu de la préoccupation générale du Ier siècle de notre ère, qu’une femme s’éleva qui vint prêcher le retour à l’ancienne doctrine israélite et la restitution de la science antique.
    Cette femme s’appelait Johana ; ses disciples s’intitulent eux-mêmes « Mandaïe de lohana ».
    On dit aussi « Chrétiens de saint Jean », depuis qu’on a masculinisé le nom de cette femme.
    (…)
    L’histoire réelle du Christianisme n’a rien de commun avec le récit qui nous a été donné sous le nom de Nouveau Testament.
    Derrière ce Livre, caché par lui, est l’histoire d’un mouvement de rénovation sociale, grandiose, extraordinaire, d’une haute portée, qui brilla sur le monde pendant deux ou trois siècles, mais qui fut renversé, dénaturé et caché par des faussaires qui en firent une caricature grotesque et voulurent avec cela dominer le monde.
    Dans ce vaste réseau d’intrigues, que nous allons démasquer, presque toutes les personnalités ont été dénaturées. Le mensonge a triomphé et la réalité a disparu sous l’amas d’absurdités qu’on lui a substituées.
    La science religieuse des falsificateurs n’a été qu’une collection de mystères, jamais expliqués clairement, mais remplis de sous-entendus et de malentendus, de paraboles obscures, de rapprochements de termes sans signification, de jeux de mots pour les foules avides d’erreurs.
    Il y a cependant, sous ce fatras, quelque chose de grand à étudier.
    C’est à cette étude que nous consacrons ce LIEN.



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    Étirév 5 décembre 2023 15:38

    A quelle époque commença-t-on à parler de la légende de Jésus ?
    C’est dans les Épîtres de Paul que son nom se trouve pour la première fois, et ces Épîtres sont écrites vers l’année 50 : celle aux Galates Vers 55 ; première et deuxième aux Corinthiens vers 58 et 59 ; celle aux Romains vers 60.
    Depuis les écrits de Paul jusqu’au temps de Constantin, il n’existe pas de documents ou de témoignages authentiques, et il est facile de voir que c’est pendant ce temps qu’on a imaginé la légende de Jésus et travaillé à imposer la croyance à un Dieu nouveau, qui va représenter la paternité, la question brûlante de cette époque. On invente le Dieu père, en même temps qu’on invente le Dieu fils. [...] On ne peut pas comprendre dans quelles circonstances on a créé la légende de Jésus et forgé son histoire, si l’on n’a comme source que le Nouveau Testament. La question doit être posée sur un autre terrain, celui de la psychologie qui nous montre à quelles impulsions obéissaient les hommes de cette époque, alors que le droit romain venait d’affirmer la puissance masculine, ce qui révoltait la Femme. Et c’est pour répondre à cette révolte qu’on créa le Dieu Père et le Dieu fils de l’homme, déclarant que le Père, du haut du Ciel, ne reconnaît sur la Terre que les êtres mâles avec lesquels seulement il se met en relation par l’intermédiaire de son fils. Mais tout cela même serait difficile à comprendre si on en faisait un fait isolé. Il faut le rattacher à l’époque antérieure pour en comprendre la signification réelle. Il faut savoir, d’abord, que l’Ancien Testament, sur lequel le Nouveau s’appuie, était déjà un livre altéré, un livre destiné à cacher quelque chose. Si on ne sait pas qu’il y a déjà dans les anciennes Écritures quelque chose que l’on cache, on ne peut pas comprendre les nouveaux Évangiles, puisque c’est le même mensonge qui continue.
    « Les défenseurs de l’historicité de Jésus doivent considérer sérieusement l’importance de leur position... Ils courent le risque de soutenir les titres historiques d’une personnalité qui peut se trouver entièrement différente de celle qu’ils imaginaient lorsqu’ils prirent sa défense. » (Albert Schweitzer)
    Le Vrai et le faux Christianisme



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    Étirév 29 novembre 2023 09:42

    Le surnaturel est une conception moderne qui caractérise une ère de décadence intellectuelle et d’ignorance que le genre humain a traversée mais dont nous sommes à la veille de sortir.
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    Étirév 23 novembre 2023 10:00

    Les hommes se battent pour deux motifs : pour conquérir des territoires et pour accaparer l’hégémonie spirituelle du monde.
    La conquête des territoires a détruit l’ancienne division de la Terre partagée jadis en petites Nations ou Matries. Elle a créé l’unification politique des Grands États, c’est-à-dire agrandi la puissance de l’homme (d’un homme), ce qui a été le triomphe de la Force sur le Droit. L’hégémonie spirituelle du monde a été le prétexte des guerres de religion qui ont ensanglanté la Terre.
    La centralisation, c’est-à-dire l’unification masculine est toujours dirigée contre les libertés féminines et contre les progrès de l’Esprit. Aussi, ces tentatives sont toujours suivies de débâcles. C’est ainsi qu’ont disparu les grands empires des Alexandre, des César, des Charlemagne, des Napoléon.
    Aussi, que reste-t-il des conquêtes de Napoléon ?
    Après les désastres matériels, lorsque la vie a repris son équilibre, il est resté un code de lois qui a pour but de justifier le masculinisme, auquel on donne tous les droits et qui, en même temps, humilie la Femme en la montrant comme un être inférieur et dangereux qui a besoin de la protection de l’homme.
    La composition des articles du Code, dit Napoléon, entièrement, confiée à des jurisconsultes, tout imprégnés de l’esprit aride de la loi romaine, est une œuvre qui porte la marque du despotisme, digne d’un tyran qui voyait dans la famille un camp et voulait avant tout l’obéissance. La liberté féminine n’eut pas d’adversaire plus décidé. La femme est privée non seulement de ses droits civils et politiques, mais encore de ses droits naturels : traitée en esclave et assimilée aux criminels, aux escrocs, aux interdits, aux fous, etc. En revanche, les devoirs lui sont généreusement octroyés : obéissance, soumission, résignation, dévouement, esprit de sacrifice ! Toutes vertus d’esclave. Ce Code barbare s’est inspiré des principes du catholicisme ; religion toute de fabrication masculine, dont les femmes sont exclues comme impures. Notons qu’il y avait encore des femmes médecins et professeurs de médecine jusqu’à la Révolution française, et que c’est à Napoléon qu’on doit la masculinisatîon définitive de l’enseignement universitaire. Enfin, les modernes n’auraient jamais connu le Sépher primitif (qui servira à faire le premier Livre de la Bible, la Genèse, qui en sera la caricature) si un homme d’un génie extraordinaire, Antoine Fabre d’Olivet (1767-1825), n’avait entrepris de reconstituer l’hébreu primitif et de refaire la traduction des dix premiers chapitres du Sépher. Fabre d’Olivet fut tout de suite remarqué par Napoléon comme un homme qui pouvait restituer la vérité. Cela lui valut une persécution effroyable (Il dut quitter la France et s’exila en Angleterre), parce qu’on s’apercevait que sa grande science allait permettre de reconstituer le texte primitif de la Bible, caché depuis 3.400 ans, et que les rabbins, qui connaissent les substitutions de sexes qui ont été faites par les prêtres quand ils ont révisé les Écritures, continuaient à dénaturer complètement.
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    Étirév 21 novembre 2023 09:27

    En parlant de complotisme/comploteurs, rappelons que dans une lettre datée du 15 août 1871, et connue depuis déjà pas mal de temps par de nombreux et « vilains » complotistes, l’écrivain maçonnique américain, Albert Pike, faisait part au révolutionnaire et patriote italien, Giuseppe Mazzini, d’un plan des « Illuminés de Bavière », ou « Illuminati », qui avaient en vue de conquérir le monde par trois guerres mondiales dans le but d’ériger un gouvernement mondial unique.
    Commençons par remplacer le terme fantaisiste « Illuminati » ou celui d’« Illuminés de Bavière » (il s’agit, d’après René Guénon, d’une organisation pseudo-initiatique qui, au XVIIIème siècle, chercha à s’emparer de la Maçonnerie « Opérative ») par ceux, un peu plus actuels de « mondialistes », « puissances d’argent » ou « oligarchie », et voyons.
    La première guerre mondiale devait être mise en scène pour que les « Illuminati » aient un contrôle direct sur la Russie des tsars ; en détruisant le régime tsariste ils permettraient l’avènement du communisme. Aussi, en obtenant le contrôle d’un gigantesque territoire à l’Est, ils pourraient y tester à fond leurs théories totalitaires (qui allaient coûter des millions de vies humaines) afin d’en corriger les défauts ; ils souhaitaient utiliser la Russie comme la « bête noire » pour leur plan à l’échelle mondiale.
    La deuxième guerre mondiale aurait été créée de toutes pièces en manipulant les divergences d’opinions régnant entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés ; la destruction du nazisme aurait conduit à l’accroissement du sionisme et entraîné la création d’un Etat d’Israël en Palestine (devenu depuis une source ininterrompue de conflits et Jérusalem, « Ville de la Paix », devenue elle-même celle de la guerre permanente). Cette seconde guerre mondiale (et nouvelle hécatombe en vies humaines) aurait également permis à la Russie d’étendre sa zone d’influence. Selon la progression du Plan, en devenant le pire ennemi du monde « libre », à l’Ouest, l’épouvantail russe (URSS), à l’Est, obligerait les peuples Occidentaux (dans une prétendue « Guerre Froide ») à accepter la création d’alliances globalistes supranationales (OTAN et ONU par exemple) qui n’auraient pas pu voir le jour sans cela, du moins jamais aussi rapidement et surement. Cette rivalité (de façade) ayant aussi pour but de provoquer un regain de vitalité du commerce (voire du trafic) international des armes et tout ce que cela implique (trafics de drogue, blanchiment d’argent sale, corruption, insécurité généralisée, etc.), et ce pour le plus grand profit des « puissances d’argent » (banquiers internationaux et multinationales dont le fonds de commerce est principalement la PEUR).
    Le plan de la troisième guerre mondiale serait basé sur les divergences d’opinions que les « Illuminati » auraient créées entre les sionistes et les musulmans (réalisant, encore et toujours, ce mécanisme pervers de la « gestion des contraires » si chère aux organisations secrètes globalistes), dont la résultante serait un conflit entre le Sionisme politique (l’Etat d’Israël) et l’Islam (les musulmans du Monde Arabe). Une extension du conflit à l’échelle mondiale serait programmée.
    Une partie de cette Troisième Guerre consisterait également à confronter nihilistes et athées pour provoquer un bouleversement social qui verrait le jour après des affrontements d’une brutalité et d’une bestialité jamais vues. La dévastation serait si considérable que les « élites » en arriveraient à prétendre que seul un Gouvernement Mondial serait en mesure de résoudre les différents problèmes nationaux et internationaux rendant impossible de nouvelles guerres. Les nations exsangues étant, finalement, livrées aux mains des mystificateurs.
    De plus, une fois les grandes religions et l’athéisme réduits à néant, on présenterait à l’humanité survivante (très fortement réduite) la « bonne » et unique « doctrine », faisant ainsi d’une pierre deux coups.
    « Une histoire de fous, racontée par un idiot », aurait peut-être dit Shakespeare.
    Cependant, ce plan, dont l’aboutissement ressemble fort à un « Grand Reset », ne parait pas, aujourd’hui, si extravagant et effarant que ça.
    Il le paraît d’autant moins sachant que la stratégie des mondialistes consiste le plus souvent à créer un problème de façon à, ensuite, apporter la solution préparée d’avance par leurs soins (terrorisme et mesures sécuritaires voire liberticides ; pandémie et contrôles sanitaires : confinement, obligation vaccinale, etc. ; « casus belli » et guerres « contre le terrorisme » ou « pour libérer les peuples » ; crises économiques et instauration de nouveaux systèmes monétaires, etc.).
    Cette stratégie, si elle devait aboutir, déboucherait effectivement sur la création d’un gouvernement mondial régulateur qu’ils contrôleront totalement, et que l’on désigne généralement aujourd’hui du doux nom de « Nouvel Ordre Mondial ».
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    Étirév 17 novembre 2023 07:27

    « La vérité rend libre »
    D’accord, mais comment « atteindre » la Vérité ?
    Début de réponse : Tout d’abord hésitant, puis déterminé à relever le défi, un homme décide d’entreprendre une aventure qui le conduit à quitter son monde ordinaire pour un territoire extraordinaire et mystérieux. Endurant des épreuves multiples, rencontrant des ennemis, mais aussi des alliés, il parvient à atteindre l’endroit le plus périlleux de son voyage, le lieu le plus éloigné de son point de départ, celui où l’objet de sa quête est caché. Alors survient l’épreuve suprême, celle dans laquelle il devra affronter la mort, non celle qui détruit mais celle qui libère.
    Sorti vainqueur de ce combat, il s’empare de sa quête et prend le chemin du retour. Revenu de cette mystérieuse aventure et transformé par l’expérience, cet « ARCHER », « Aventurier de la Vie », devenu un Héros, voire un Héraut, obtient la faculté de conférer des pouvoirs à son prochain, et ainsi d’améliorer le monde. (D’après J. Campbell, Le Héros aux mille et un visages)
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    Étirév 16 novembre 2023 09:09

    Le Jésuisme est un legs de l’Empire romain.
    C’est pourquoi il ne faut pas confondre le « Christianisme Johannite », qui est un mouvement de rénovation sociale, grandiose, extraordinaire, d’une haute portée, qui brilla sur le monde pendant deux ou trois siècles, et le « Catholicisme Jésuiste », qui triompha sous Constantin au Concile de Nicée (en 325), et qui en est la caricature grotesque avec laquelle des faussaires voulurent dominer le monde (et le souhaitent encore aujourd’hui, cachés derrière un autre masque).
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    Étirév 10 novembre 2023 14:41

    « Comment nous avons basculé dans le totalitarisme ? »
    Réponse : Précisons pour commencer que dans la plupart des pays du monde, l’État actuel est « l’État profond », c’est-à-dire une réelle ploutocratie cachée derrière une démocratie, véritable coquille vide.
    Concrètement, en Europe tout du moins, cette substitution s’est opérée au moment des Révolutions du XVIIIe siècle, par l’instauration, partout sur le continent, à la mode anglaise, du parlementarisme dit représentatif organisé autour des partis politiques.
    Dans sa « Note sur la suppression générale des partis politiques », la philosophe Simone Weil (pas l’autre) écrit que « C’est d’une part l’héritage de la « Terreur », d’autre part l’influence de l’exemple anglais, qui installa les partis dans la vie publique européenne. »
    Elle nous fait subtilement remarquer que : « Même dans les écoles, on ne sait plus stimuler autrement la pensée des enfants qu’en les invitant à « prendre parti », pour ou contre. (…) Presque partout, et même pour des problèmes purement techniques, l’opération de « prendre parti », de « prendre position », « pour ou contre » s’est substituée à l’obligation de la pensée. C’est là une lèpre qui a pris origine dans les milieux politiques et s’est étendue à travers tout le pays presque à la totalité de la pensée. Il est douteux qu’on puisse remédier à cette lèpre qui nous tue sans commencer par la suppression des partis politiques. »
    « Les partis, dit Simone Weil, sont des organismes publiquement, officiellement constitués de manière à tuer dans les âmes le sens de la vérité et de la justice. »
    Dans « Media Control : The Spectacular Achievements of Propaganda », Noam Chomsky explique que dans la société démocratique les citoyens sont divisés en deux grandes classes : l’étroite classe spécialisée (appelée Superclasse mondiale ou Hyperclasse), celle à qui revient la gestion des affaires générales, et les autres, c’est-à-dire la grande majorité de la population, que Walter Lippmann désignait par l’expression de « troupeau sauvage ». Noam Chomsky souligne que le « troupeau » n’est consulté qu’en période électorale pour entretenir chez les « moutons » l’impression de vivre en démocratie et non pas dans un état totalitaire. Une fois que la classe spécialisée est élue, le « troupeau » redevient spectateur, et même, il reste stupide, obéissant et passif, et on le traite à nouveau comme un gamin de trois ans, irresponsable par définition et incapable de connaître ce qui est bon pour lui.
    René Guénon va même plus loin et dit, et explique (dans « La crise du monde moderne »), que la « démocratie », que l’on définit comme le gouvernement du peuple par lui-même, est là une véritable impossibilité, une chose qui ne peut pas même avoir une simple existence de fait, pas plus à notre époque qu’à n’importe quelle autre, mais que la grande habileté des dirigeants, dans le monde moderne, est de faire croire au peuple qu’il se gouverne lui-même ; et le peuple se laisse persuader d’autant plus volontiers qu’il en est flatté et que d’ailleurs il est incapable de réfléchir assez pour voir ce qu’il y a là d’impossible. C’est pour créer cette illusion, dit-il, qu’on a inventé le « suffrage universel ».
    On comprend, alors, pourquoi le pouvoir politique se fonde volontiers sur l’ignorance du peuple et s’accroît d’autant que les esprits sont faibles, les gens incultes.
    LIEN



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    Étirév 11 octobre 2023 14:29

    Coïncidence... complotisme ? Ne riez pas.
    Dans une lettre datée du 15 août 1871, et connue depuis déjà pas mal de temps par de nombreux et vilains « complotistes », l’écrivain maçonnique américain, Albert Pike, faisait part au révolutionnaire et patriote italien, Giuseppe Mazzini, d’un plan en vue de conquérir le monde par trois guerres mondiales pour ériger le « Nouvel Ordre Mondial ».
    La première guerre mondiale devait être mise en scène pour que les « Illuminés de Bavière » aient un contrôle direct sur la Russie des tsars. Il souhait utiliser la Russie comme la « bête noire » pour leur plan à l’échelle mondiale.
    La deuxième guerre mondiale aurait été créée de toutes pièces en manipulant les divergences d’opinions régnant entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés. Cela aurait amené la Russie à étendre sa zone d’influence et aurait entraîné la création d’un Etat d’Israël en Palestine.
    Le plan de la troisième guerre mondiale serait basé sur les divergences d’opinions que les « Illuminés » auraient créées entre les sionistes et les musulmans. On programmerait une extension du conflit à l’échelle mondiale.
    Une partie de la Troisième Guerre consisterait à confronter nihilistes et athées pour provoquer un renversement social qui verrait le jour après des affrontements d’une brutalité et d’une bestialité jamais vues.
    Une fois le christianisme et l’athéisme réduits à néant, on présenterait aux hommes la vraie « doctrine luciférienne », ce qui permettrait de faire d’une pierre deux coups.
    Remplacez l’expression fantaisiste « Illuminés de Bavière » par « ploutocratie » ou « puissances d’argent », ce qui, du reste, revient au même, et vous levez une grande partie du voile qui cache la vérité autour du chaos actuel.
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    Étirév 5 octobre 2023 08:13

    Pas besoin de la « cancel culture » pour s’attaquer à l’histoire, d’autres s’en sont déjà chargés avant elle.
    En effet, il est des gens naïfs qui croient que l’histoire enseignée à l’école ou à l’université est le récit exact des faits du passé. Ils semblent ignorer que le monde est, depuis longtemps, régi par le mensonge et que le désordre de la société actuelle en est la conséquence.
    A toutes les époques, il y a eu des partis qui, voulant s’emparer d’un pouvoir auquel ils n’avaient pas droit, ont appuyé leurs prétentions sur une idée, un système, une théorie religieuse ou sociale, qu’ils ont propagée par violence, par fraude ou par ruse.
    La dissolution des Etats, c’est-à-dire le désordre, commença quand certains hommes, troublés par le mauvais esprit qui engendre l’orgueil, voulurent mettre leur personnalité au-dessus des autres, s’affranchir des lois établies et dominer les faibles. Cette révolte fut le commencement de l’erreur sociale, c’est-à-dire de l’injustice.
    Suite…



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    Étirév 3 octobre 2023 11:17

    « Big Brother », l’identité numérique et les 3 grands marchés (avec l’aide de Philippe Guillerant).
    Le traçage GPS actuel et la technologie qui l’environne, ne permettent pas encore à « Big Brother » de savoir ce que vous faites et avec qui vous le faites, c’est-à-dire « calculer » avec précision votre comportement en temps réel.
    En effet, Le GPS qui n’est précis qu’entre 1 et 10 m ne permet pas de faire des analyses comportementales précises, des prédictions, etc.
    Avec le grand marché des objets connectés, le traçage par « Big Brother », via la 5G, va pouvoir rendre cela avec infiniment plus de précisions. Grâce au numérique, il sera possible de localiser quelqu’un et de détecter ses mouvements à 1mm près, et à partir de là, et les progrès de la technologie aidant, être capable de tout savoir sur un individu, ce qu’il fait, où il le fait, quand il le fait, avec qui elle le fait, etc.
    Partout où il y aura la possibilité de consommer quelque chose, il y aura des objets connectés : dans les rues, dans les maisons, sur les lieux de travail, dans les boutiques, les véhicules, etc., Ainsi, les appareils connectés pourront vous aider à trouver tout ce que vous cherchez et, ainsi, vous « simplifieront » la vie… Mais la condition pour pouvoir bénéficier de l’aide d’un appareil connecté ne se fera que si vous portez sur vous un identifiant numérique qui soit reconnu automatiquement (puces, tatouage, etc.).
    À partir de là, plus besoin de réfléchir, de penser, de faire le moindre effort intellectuel, puisque que la machine le fera pour vous (« détendez-vous, on s’occupe de tout »).
    Résultat : Plus aucune initiative et in fine, d’autonomie. Le pire c’est que c’est vous qui le solliciterez, du moins une majorité d’entre vous, parce que ça rendra énormément de services, surtout aux paresseux : l’individu dégénéré n’agit plus parce qu’il ne pense plus ; de plus, la paresse du corps étant le résultat de la paresse de l’esprit. C’est pourquoi, le grand marché des objets connectés est financièrement plus important que celui de la vaccination.
    L’autre grand marché est celui de la vaccination, parce que l’on voit bien poindre à l’horizon le fait que chacun devra être vacciné (tous les ans voire plusieurs fois par an), afin de s’assurer qu’une identité numérique, une « marque » vous a été attribuée, au moins par ce biais ; la mise en place, par vaccin interposé « scientifiquement correct », de cette identité numérique permettra d’empêcher tout individu qui n’est pas vacciné de pénétrer dans certains lieux, d’avoir accès à certains produits, etc.
    Enfin, le dernier grand marché de l’identité numérique c’est celui qui est lié au système financier dont tout le monde sait (normalement) qu’il est totalement corrompu, qu’il ne repose sur aucune valeur réelle (production, travail, etc.), et est en voie d’effondrement total.
    Pour « rebooter » ce système, lorsque le processus des identités numériques sera en place, celles-ci pourront être gérées directement par une banque centrale qui vous permettra de vous réserver un segment sur un « cloud » qui correspondra à tout ce que vous aurez (éventuellement) le droit d’acheter ou de vendre. Rappelons que le paiement « sans contact » est actuellement plafonné parce que cette technologie, qui n’est pas encore en place, représente un risque pour les banques.
    Tout ceci rappelle étrangement l’Apocalypse, ch. 13, v. 16 et 17 : « Elle (la Bête) fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, ont mis une marque sur la main droite ou sur le front, et que nul ne pût acheter ou vendre, s’il n’avait pas la marque du nom de la Bête ou le nombre de son nom. »
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    Étirév 29 septembre 2023 07:17

    Dans l’état actuel des choses, la citation d’Alain Soral relative aux journalistes peut, dorénavant, s’appliquer à la quasi intégralité de tous les fonctionnaires de police en « macronie » : « Un flic français c’est soit une pute, soit un chômeur. »

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    Étirév 21 septembre 2023 13:25

    En 1983, Isabelle Stal et Françoise Thom, dans un article intitulé « L’école des barbares » (déjà) constataient :
    « L’école a cessé de remplir sa fonction principale, qui est de structurer l’intelligence et l’expression des élèves. Elle est devenue paradoxalement un système de désinstruction. À l’école primaire on n’apprend plus à lire ni à écrire : les deux tiers des élèves ne le savent plus. Cela s’inscrit dans un relativisme généralisé des valeurs morales, des cultures, des religions et des manières de s’exprimer, aucune manière de vivre n’étant jugée supérieure à une autre. On a cassé tous les repères normatifs. On a supprimé l’histoire chronologique. Une démarche analogue a été effectuée pour saper l’enseignement de la langue et de la littérature. Globalement, on fait des élèves des barbares qui ne parlent et ne comprennent qu’un seul idiome, celui de la télévision. Une formation sacrifiée au nom d’un utilitarisme à courte vue qui empêche d’accéder aux idées générales. Il n’y a pas un élève sur cent qui soit capable de bâtir une phrase complexe. Une attitude qui va jusqu’à bannir toute discipline ; tout ce qui est contrainte est jugé comme un mal. L’exemple le plus illustre de cet état d’esprit est le ministre actuel, Jack Lang, le ministre du tag et du rap. C’est comme ça qu’on ramène les enfants à l’animalité. »
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    Étirév 20 septembre 2023 15:18

    « Bruno Le Maire le ministre de l’économie le plus incompétent de l’histoire ? »
    Peu importe la réponse finalement car, ne l’oublions pas, s’il est ministre de l’économie c’est bien, au départ, grâce à une majorité de français, la plus ignorante, inculte et surtout sotte.
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    Étirév 13 septembre 2023 12:02

    « L’IA, réussira-t-elle à nous faire oublier l’intelligence du cœur ? »
    Il est vrai que, à l’ère des machines et de l’informatique, beaucoup se prennent pour des robots. Or, les robots ne vivent pas. Ils n’ont pas d’intériorité. Ils ne connaissent qu’une loi, celle des tyrans qui les manipulent.
    De plus, pour les modernes, le Cœur se trouve réduit à ne plus désigner que le centre de l’affectivité, alors que pour les Anciens, il était regardé comme le siège de l’intelligence, non pas de cette faculté tout individuelle qu’est la raison (La « Smriti » des doctrines hindoues : connaissance discursive et proprement humaine, « lumière » réfléchie, car indirecte et tout extérieure, correspondant symboliquement à la lune), mais de l’Intelligence universelle dans ses rapports avec l’être humain qu’elle pénètre par l’intérieur, puisqu’elle réside ainsi en son centre même, et qu’elle illumine de son rayonnement (La « Shruti » des doctrines hindoues : fruit de l’inspiration directe, connaissance intuitive et supra-humaine, « lumière » directe correspondant symboliquement au soleil).
    Blaise Pascal, dans les Pensées, écrit : « C’est le Cœur qui sent Dieu, et non la raison. Voilà ce qu’est la foi, Dieu sensible au Cœur, non à la raison. »
    « Le Cœur est fait pour s’accorder, dit Jacqueline Kelen (dans « Le temps de la Bonté »), la raison pour distinguer et séparer. »
    La connaissance du Cœur, c’est la perception directe de la Lumière intelligible, de cette Lumière du Verbe dont parle « saint Jean » au début de son Évangile, Lumière rayonnant du « Soleil spirituel » qui est le véritable « Cœur du Monde ».
    Le discernement du Cœur (apprendre « par le Cœur » et non « par cœur ») permet de séparer la paille et le grain, l’esprit de la lettre. C’est cette faculté de l’âme qui donne le sens des « causes premières ».
    Felix qui potuit rerum cognoscere causas ! : Heureux celui qui peut connaître les causes premières des choses !
    NB : Dans le Coran, en son Centre, se trouve la sourate XVIII, sourate « Al-Kahf », sourate de la Caverne : la « Caverne » n’est autre que la cavité du Cœur, ce « Point d’appui immuable » qui représente le lieu de l’Union de l’individuel avec l’Universel, ou du « Moi » avec le « Soi ».
    « Un point d’appui, donnez-moi un point d’appui, et je soulèverai le monde ! » dit Archimède.
    Le point d’appui dont il est question ici, est donc, non pas seulement la cavité mystérieuse où s’élabore la vie rythmée du sang au sein d’un organisme, mais « la profondeur en soi », qui recèle l’ultime puissance de l’être, celle qui fait de l’homme un esprit incorporel en même temps qu’un centre à la double polarité, relative et absolue, mais un Tout enfin, qui est en secret cette « Chambre haute » où le « Fils » se réfugie pour communier avec « Dieu », c’est-à-dire avec le « Roi du Monde » ; c’est le point de contact de l’humain avec le Divin, cette « âme vivante » que Dante appelle « l’esprit de la vie, qui demeure dans la plus secrète chambre du cœur ».
    Le Cœur est le transformateur principal du Feu divin. Il est le chemin qui mène de l’homme à « Dieu »
    Nous devons réapprendre à percevoir avec le Cœur.