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Accueil du site > Actualités > Economie > Dépression déflationniste ou inflationniste ?

Dépression déflationniste ou inflationniste ?

Il y a de grands débats sur le type de dépression-récession actuelle.

 

Va-t-elle être déflationniste ou inflationniste ?

 

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Les arguments principaux défendus par les déflationnistes est que le niveau de dette est énorme, publique ou privée, et qu’une liquidation massive est inévitable. Ceci impliquerait une baisse massive de tous les actifs mesurés en monnaie fiduciaire.


Cette vidéo a pour but de montrer que les arguments déflationnistes sont corrects, mais qu’ils ne tiennent pas compte du fait que le système monétaire actuel est fiat, et qu’il n’y a jamais eu dans l’Histoire de dépression déflationniste sous un tel système.


Les ratios Dow/Gold, Dow/Dollar, et Gold/Silver seront utilisés pour identifier le type de dépression actuelle. De plus, il sera expliqué pourquoi le rôle des banques centrales ainsi que le fonctionnement du système fiscal ne peut conduire qu’à un milieu inflationniste.




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9 réactions à cet article    


  • 12 votes
    Kuota 30 août 2012 11:46

    Critique : Vous dites que les états s’ils ont la possibilité de créer de l’argent en abuse et provoque de l’inflation.


    CECI EST EN RACCOURCI FAUX : 
    • Que croyez vous, que les banques ont bloqués la planche à billet dans un cadenas ??? Bien sur que non, les banques ont la planches à billets et elles ont bien compris l’intérêt qu’elles avaient à s’en servir. En Europe la masse monétaire augmente de 10 % par an.
    • L’inflation n’est pas un problème si on indexe les salaire sur l’inflation. C’est un faux problème, car si vous accepter de dire que produire de l’argent augmente les prix, alors il n’y a aucun problème à augmenter les salaire puisqu’il y a plus d’argent. 
    • En vérité, les banques ont besoin d’une inflation positive pour maintenir en survie le système de crédit. Mais elles ont aussi besoin que l’inflation soit toujours inférieure aux intérêts qu’elles exigent sur la base d’argent qu’elle loue.
    Et oui, pour les banques et les super riche, inflation = valeur du tas d’oseille qui diminue, et les rentier n’aime pas ça.

    Quand vous dites qu’il y a toujours eu des guerres en période d’hyper inflation, c’est vrai, mais ce n’est pas l’Etat qui provoque ces guerres, mais les banquiers, les puissant qui ont besoin de contrôler un système qui leur échappe. Voir Wall Street et la montée du Nazisme, et la montée du Bolchévisme.... 

    Bref, le problème c’est le système bancaire, la privatisation scandaleuse de la création monétaire. 

    Les hommes sont aux services de la banques, alors que cela devrait être l’inverse.




    • 1 vote
      Machu 30 août 2012 15:26

      "C’est un faux problème, car si vous accepter de dire que produire de l’argent augmente les prix, alors il n’y a aucun problème à augmenter les salaire puisqu’il y a plus d’argent. "

      Là je ne suis pas d’accord, créer de l’argent pour les banques c’est virtuel, juste que le gros problème c’est que cette argent actuellement ne profite en rien à l’économie réelle. Les salaires eux sont payés sur du concret c’est à dire si l’entreprise vend quelque chose donc si on augmentait les salaires autant que la masse monétaire on serait mort ( et depuis bien longtemps !)


    • vote
      labestiol 31 août 2012 14:58

      Les banques sont limitées dans leur création monétaire (accords de Bale). Je ne nie pas le principe de réserve fractionnaire, je dis juste qu’il n’est pas sans limite.
      Celles qui ne sont pas limitées, se sont bien les banques centrales. Les 1000 milliards que la BCE a prêté aux banques au début de l’année ont bien été créé par la BCE, pas par les banques.
      D’accord en Europe les banques centrales ne dépendent plus directement des états, mais ce sont bien nos politiciens qui contrôlent la BCE (Draghi a été nommé par le parlement européen).
      Et encore, Draghi ne peut pas tout faire, preuve en est que le conseil constitutionnel allemand va avoir son mot à dire sur le pacte de stabilité budgétaire et le mécanisme européen de stabilité (bizarrement en France ça a du passer comme une lettre à la poste).

      Après on est d’accord que tout ce beau monde est probablement corrompu (Gouvernement Goldman Sachs ?), mais il ne faut pas généraliser en disant que tous les banquiers sont responsables. Seulement certaines grosses banques, et surtout nos politiciens qui ont, pour être gentil, une oreille attentive à ce que ces quelques grosses banques leur disent...


    • 2 votes
      BlackMatter 30 août 2012 15:42

      Video un peu courte malheureusement.

      Et puis il faudrait parfois expliquer les termes qu’on utilise, surtout les acronymes.
      On n’est pas tous des experts.

      • vote
        gazatouslesetages 1er septembre 2012 15:56

        Attention à l’erreur sur la définition de la déflation, au début de votre vidéo. Ce n’est pas une baisse des actifs (par exemple or), mais une baisse de l’indice des prix à la consommation.
        .
        Nous sommes donc bien dans une stagflation (croissance nulle + inflation), avec risque d’hyperinflation si les banques centrales d’utiliser la planche à billets.


        • 1 vote
          Arsene Icke Arsene Icke 2 septembre 2012 09:24

          L’ inflation/déflation est bien la mesure de la hausse/baisse de la quantité de monnaie en circulation et non pas la hausse/baisse des prix ! La baisse/hausse des prix qui accompagne la déflation/inflation n’est quune conséquence de l’inflation/déflation et donc de la quantité de monnaie en circulation, tout comme la fièvre est la conséquence de la grippe et non pas la grippe elle même.
          La vidéo est donc correcte ! Mais c’est une confusion que beaucoup de monde fait, y compris les "experts" de la boite à propagande. Confondre la conséquence avec la cause est devenue monnaie courante dans notre monde ou le niveau intellectuel se réduit à peau de chagrin.


        • vote
          gazatouslesetages 2 septembre 2012 15:10

          certes, c’est une conséquence, j’aurais dû en effet utiliser ce terme, mais l’inflation n’est pas seulement la quantité de monnaie en circulation puisque il y a aussi la vitesse de circulation :
          .
          M x V = P x T

          le japon essaie de se sortir de la déflation en injectant de la monnaie, ça ne fonctionne pas.


          • vote
            testarossa 3 septembre 2012 19:13

            Sans vouloir être méchant, l’auteur n’a rien compris.
            Les super cycles haussiers de l’or sont la déflation et l’inflation.
            L’excellent livre de John J Murphy donne la réponse : en situation d’inflation les obligations longues et les actions baissent tandis que l’or monte.
            En situation de déflation, l’or monte tandis que les actions baissent ainsi que les taux longs.
            En situation de déflation on a donc une deconnexion des obligations et des actions...
            En situation de désinflation, les action montent de même que les obligations longues mais l’or baisse...

            Tout ceci est en fait très logique : les taux longs varient toujours dans le même sens que les matières premières.

            L’auteur oublie simplement de prendre en compte les obligations longues...



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