Doit-on payer plus d’impôts ?
Un débat qui porte notamment sur cette vaste problématique : que va-t-on payer en 2012 ? Avec Olivier Besancenot, porte-parole du NPA, Thomas Piketty, économiste, Agnès Verdier-Molinié, journaliste, Denis Lavant, acteur, Pascal Salin, philosophe et économiste, Evelyne Joslain, spécialiste du conservatisme américain.
Les représentants du capitalisme n’ont apparemment pas peur du peuple, mais pour combien de temps encore ?
Tags : Economie Fiscalité
12 réactions à cet article
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Je sais plus comment réagir devant ce genre de lèches-capital.
Ils sont bon pour la psychiatrie.-
t’as vue un peu leur ton ?
hautain, prétentieux, ca se sent... leur vision débile du monde, des bizounours ou des enflures menteuses.
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ca donne des envie de meurtres, littéralement -
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Le florilège de Pascal Salin :
"La vérité ne se décide pas à la majorité des voix" [concernant l’impôt sur la grande fortune]
Comme si on pouvait parler de "vérité" pour ce qui est une idéologie...
"Plus il y a de capital dans un pays, plus la productivité du travail est élevée, et plus les salaires sont élevés. Donc c’est très important d’avoir une accumulation de capital."
Des relations de cause à effet pour le moins discutables.
"Dans tous les pays où l’on a supprimé [...] tous ces impôts absurdes comme l’ISF, on a vu la croissance augmenter. J’aimerais que les salariés le reconnaissent [...] Il y a solidarité entre les uns et les autres, c’est dans l’intérêt de tous qu’il y ait une accumulation de capital aussi grande que possible."
Dit autrement : la main invisible d’Adam Smith. Sauf que ce principe est discutable sur le fond, et souvent faux.
"La matière fiscale, ce n’est pas quelque chose de statique".
Et puis la nana du "think tank" IFRAP qui conteste les chiffres de Piketty...
http://www.ifrap.org/Un-Think-Tank.html
Je ne sais pas pourquoi, je fais plus confiance à Piketty, qui vient d’écrire un livre sur le sujet !
Et en plus elle dit à Piketty : "Il faut prendre les choses dans la globalité". J’ai bien peur qu’elle en soit incapable.
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C’était le muppet show ??
Denis Lavant est largement au-dessus du lot de ces guignols et a tellement raison......
"l’argent est la chose la plus vulgaire que l’homme ait inventé".....j’ai pas été plus loin que la présentation des invités, j’ai l’estomac fragile.....
Quant à Besancenot, fidèle à lui-même en idiot utile, il est anti-capitaliste mais veut taxer justement le capital......s’il supprime le capital, il va taxer qui ?
Ça tient pas debout c’est un troll qui roule que pour sa pomme, le boulet de la gauche !....c’est pas le capital qu’il faut abolir, c’est le POGNON, c’est pourtant si simple et évident !!-
Je sais que ce débat est assez pénible à suivre au début (avec ce faux révolutionnaire de Besancenot) mais la dernière partie vaut le détour car le ton monte et on s’aperçoit du fossé qui existe entre le citoyen lambda et ces arrogants capitalistes. Et la toute fin est tout simplement sublime !!!
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Besancenot a prouvé qu’il n’y connaissait rien. Au moins c’est clair ...
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Mouais, pas terrible ce débat au final.
Aucune personnalité de consequence, et mention spéciale pour Besancenot qui m’a paru notamment dans la dernière vidéo complétement dépassé avec ses éternels radotages . On ne prend même plus la peine de le regarder quand il parle , tel un veau dont on attend qu’il est fini de meugler pour continuer une conversation.
Le Denis Lavant m’a paru vraiment sur la lune, ce qui m’a bien plu. Mais son argumentaire sur les Roms était à la hauteur de son illumination , ça n’avait aucun sens de commencer la ramener avec ça, ce mec plane complétement.Je le préfère en acteur.
Cela dit on ne voit que chez Taddei des cocktails aussi improbables.-
La conclusion de Denis Lavant sauve l’émission.
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BRAVO Denis Lavant !!! Quant aux autres tartuffes, continuez bien à lécher le cul de vos maitres, vous aurez bientôt une promotion !
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Malheureusement les hommes de l’état n’ont jamais prélevé autant d’impôts de toute l’histoire, même la France d’Ancien Régime fait figure de paradis fiscal, la différence est qu’aujourd’hui trop d’individus dépendent de l’état pour espérer une révolution. Finalement les fonctionnaires constituent la nouvelle petite noblesse et les médias subventionnés sont le nouveau clergé en charge de relayer la propagande étatiste.
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