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Le « politiquement correct » c’est empêcher la politique

Interdit d'interdire : Vivons-nous sous le règne du « politiquement correct » ?

Frédéric #Taddeï reçoit :

  • Mathieu Bock-Côté, sociologue
  • Gabriel Robin, journaliste
  • Raphaël Liogier, sociologue
  • Louisa Yousfi, journaliste

 

Tags : France Politique Canada Racisme Censure Belgique Suisse Québec Polémique Manipulation Emmanuel Macron LREM




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21 réactions à cet article    



    • vote
      L’enfoiré 5 avril 2019 17:04

      Un petit billet sur le sujet ?

      "Vive le politiquement correct ?"

      Tout dépend de ce qui est correct et de ce qui est politique....


      • 5 votes
        PumTchak PumTchak 6 avril 2019 08:48

        Le politiquement correct est orwellien, il s’agit de criminalisation de la pensée. Il est alimenté par trois versants idéologiques.

         .

        Le déconstructionnisme, celui que cette émission explore.

        Il est constitué de matériaux de pensées de différents philosophes et anthropologues, notamment des français (Deleuze, Derrida, Foucault…) : la « French Theory » ; et par exemple Margareth Mead.

        Ce courant de pensée analyse les lieux de pouvoirs, leur nature oppressive et, comme les invités à droite sur le plateau l’expliquent, met en perspective la vision d’une société construite sur la relation coupables / victimes.

        Il fragmente aussi, sans fin, l’identité des individus en aspect et sous-aspects, pour y expurger des catégories communautaires : la race, la classe sociale, le sexe, le genre, l’orientation sexuelle…

        L’aspiration des invités de gauche est l’indifférenciation et l’interchangeabilité des individus dans un monde libre de races, d’identités, de cultures, de fonctions, de frontières. La crainte de ceux de droite est la guerre de tous contre tous, selon la formule de Thomas Hobbes à l’époque où l’Europe ne savait comment arrêter la dissémination des guerres à déclenchement religieux.

        Le média AJ+ fait circuler sur Facebook des documentaires à format court à partir du mode de pensée deconstructionniste, le tout premier étant le plus célèbre. Le Qatar, propriétaire de la chaîne, étant à l’inverse du modèle de société que celle-ci promeut, il s’agit ici d’une récupération idéologique pour une stratégie de subversion.

         .

        Le néoconservatisme, d’origine israélo-américaine.

        C’est une idéologie à caractère impérial : pour Israël il s’agit d’asservir le Moyen Orient et pour les États Unis, de renforcer la Pax Américana. Le PNAC a transformé le lobby militaro-industriel, dénoncé par Eisenhower, en corpus idéologique pour un monde unipolaire.

        Le Cercle de l’Oratoire créé à la suite de l’effondrement des tours de Manhattan, manifestait l’attachement au giron du “grand frère américain”. Ce club a permis au néoconservatisme de prendre racine en France et de transformer les médias bipartites droite gauche en mainstream homogène. C’est donc une idéologie d’ingérence géopolitique : nous sommes les démocraties libérales, et faisons face aux régimes illibéraux. Les états néoconservateurs court-circuitent le droit international en refusant par exemple à Nicolas Maduro la légitimité de sa fonction présidentielle et en reconnaissant à la place l’autorité diplomatique de Juan Guaido. 

        A noter que le déconstructionnisme dénonce le pouvoir du fait des victimes de l’oppression, à l’inverse, le neoconservatisme préserve le pouvoir contre les théories du complot. Pour ceux qui rassemblent les deux idéologies : c’est la société qui est à refaire et l’état est à protéger des menaces populaires.

         .

        L’antinationalisme

        Il a pris racine contre le FN qui a encapsulé la question de la souveraineté et autour duquel tout un agglomérat terminologique a été étendu : extrême droite, fascisme, pétainisme, rouge-brun, racisme, antisémitisme…

        Il y a aujourd’hui un antinationalisme de rue avec les antifas et blocs noirs et un antinationalisme de salon, avec la dénonciation médiatique de tout ce qui pourrait s’apparenter à du populisme. C’est une idéologie très olfactive : « Ça pue ». Et ça prend en ciseaux le mouvement GJ.

        La main atlantiste y est à l’oeuvre, via les Young Leaders et think-thanks, coté élites et décideurs et via la CONEX et VISA : Vigilance et Initiatives Syndicales Antifascistes, côté populaire. La ligne de fracture a été ouverte depuis le referendum de 2005 et oppose, selon Michel Onfray, les populistes et les populicides.


        • 1 vote
          mmbbb 6 avril 2019 10:17

          @PumTchak il est tres marrant que les intellos de gauche s en refèrent a Petain . La patrie a ete dissoute, la famille a ete disloquée et le travail , y en a plus. 
          En revanche ces intellos passent le plus clair de leur a nous gonfler avec les problemes " societaux " Allez comprendre . 

          Quoi qu il en soit la pensee de gauche est a bout de souffle , je ne vois pas l emergence coherent d une doctrine d un leader politique . Macron lui veut achever le travail entame par ces prédecesseurs .

          Heureusement que nous avons la clairvoyance d un BHL s inquiétant de la résurgence du nationalisme.

          BHL oublie un peu vite comme les Con Bendit ect , que celui renait quand la nation a ete decomposée Il semble ne pas se souvenir de l histoire .

          De surcroit ces intellos sont cons et se sont souvent trompes . La débatite aigue a aussi ses limites . 


        • 1 vote
          PumTchak PumTchak 6 avril 2019 21:45

          @mmbbb

          Libération a sorti un papier en 2012 montrant que Pétain ne peut être réduit au simple bouc émissaire qui a été fait. Un débat d’intellectuels intéressant et vivifiant aurait pu le replacer dans une perspective historique plus compréhensible, ou bien le jugement à son endroit aurait pu être plus réservé par la suite.
          Mais non, Libé est resté sur sa ligne de procureur médiatique de tout ce qui pouvait ressembler à la droite qui pue, sans plus réfléchir que cela, avec Joffrin en tête de pont. Alors qu’il a lui-même passé des vacances avec J. M. Le Pen. Mais l’imposture, c’est le fonds de commerce de la gauche. Comme Naullau qui insulte Maxime Nicolle comme ça le chante et le traite de complotiste, alors qu’il a écrit un livre avec Soral.

          Ceci dit la droite ne vaut pas mieux. Elle reproche à Macron son manque de fermeté vis à vis des GJ et vote toutes les lois punitives, avec Wauquiez qui tourne avec le vent. Elle avait pourtant un boulevard pour bâtir une doctrine dans le sens des GJ, qui ne sont pas des gauchistes et représentent plus de la moitié de France. Elle s’opposent à la privatisation d’ADP, Engie et de la Française des Jeux mais il n’y a personne pour voter contre. La droite a finalement toujours été une dent creuse, sans autre imagination que les privatisations ou la purge économique par l’austérité, alors qu’elle est héritière d’un pays avec un état gaullien souverain et garant des activités économiques et sociales.
          Je n’aime pas les socialistes parce qu’ils ne sont pas socialistes, je n’aime pas les miens parce qu’ils aiment trop l’argent.


        • vote
          louis 6 avril 2019 10:06

          Le politiquement correct correspond pour une société a une cocotte minute mise sur le feu avec la soupape de sécurité soudée .


          • vote
            mmbbb 6 avril 2019 10:40

            J ai survole la video , en resume c ’est la pensée Stalilienne qui domine . Durant l epoque glorieuse de Staline, notamment durant ces proces en l occurrence celui du compositeur Chostakovitch disqualifie puisque sa musique etait conisideree comme un produit de la pensee bourgeoise . Nous sommes dans le meme schema de pensee hormis que l invariant bourgeois a ete remplace par celui de racisme reac ou autres .

            Quant a la femme sur le plateau , elle cache mal son ideologie . La methode est connue Son propos manque de coherence Elle oublie de citer le CRAN qui tombe dans l extremisme .



            • 1 vote
              ahtupic 6 avril 2019 14:01

              A part le canadien, les 3 autres essaient de garder leur rang afin de bouffer dans la gamelle.


              • 1 vote
                ezechiel ezechiel 6 avril 2019 14:47

                Le "politiquement correct" est une mutation de la doctrine socialo-marxisme venant des USA, le marxisme culturel, prônant que l’égalitarisme et la liberté individuelle ne s’obtiendront que par la destruction de la toute puissance de l’homme Blanc, oppresseur colonialiste des minorités ethniques, des musulmans, des arabes, des noirs, des femmes, des gays, des lesbiennes et autres transgenres. L’objectif est donc de déconstruire la civilisation occidentale : c’est-à-dire anéantir le christianisme, la famille, la hiérarchie, le patriarcat, la nation, l’armée, la police, l’élite culturelle, le mérite scolaire, l’architecture, la peinture, la littérature.

                Dans les années 1910-1930, les idéologues marxistes tels que Georg Lukacs, Wilhelm Reich, Erich Fromm, Herbert Marcuse, Theodor Adorno, Max Horkheimer, Antonio Gramsci, puis plus tard Betty Friedan, Angela Davis, etc... ont construit l’idéologie du marxisme culturel, qui va promouvoir de manière forte, le féminisme.

                Le marxisme culturel a été finalisé en grand partie dans des clubs, des sociétés en Italie et en Allemagne dans les années 1930, dont l’institution la plus éminente fut l’école de Francfort.
                Après la deuxième guerre mondiale, les idéologues de l’école de Francfort émigreront aux USA et diffuseront en masse le marxisme culturel dans les plus grandes universités américaines, (féminisme et féminisation de la société, condamnation de l’homme Blanc, théorie du genre, promotion de l’Islam, déconstruction de la littérature européenne, promotion de l’athéisme et de l’art contemporain, déformation et occultation de l’Histoire de l’Europe, discrimination positive, endoctrinement par le divertissement, etc...).

                Pour atteindre ses objectifs, la révolution marxiste culturelle ne passe pas par les armes et la violence, mais par la soumission à la terreur intellectuelle du "politiquement correct".
                Ceux qui ne se soumettent pas au marxisme culturel sont licenciés, traités de complotistes, racistes, fascistes, nazis et mis inéluctablement au ban de la société.

                A partir des années 1960 (mai 68 en France), et surtout avec l’apport de l’immigration de masse africaine et arabo-musulmane des années 1980-1990, le marxisme culturel envahira le continent européen, puis tous les média de masse : le Monde, Libération, Le Nouvel Observateur, les Inrocks, Rue89, BFM TV, I-télé, TF1, France Télévisions, France Info, ...
                https://www.amazon.fr/L%C3%89cole-Francfort-Jean-Marc-Durand-Gasselin/dp/2070437035/ref=cm_cr_arp_d_product_top?ie=UTF8
                https://www.amazon.com/Dialectical-Imagination-Frankfurt-Institute-1923-1950/dp/0520204239
                https://fr.wikipedia.org/wiki/Georg_Luk%C3%A1cs
                https://fr.wikipedia.org/wiki/Wilhelm_Reich
                https://fr.wikipedia.org/wiki/Erich_Fromm
                https://fr.wikipedia.org/wiki/Herbert_Marcuse
                https://fr.wikipedia.org/wiki/Theodor_W._Adorno
                https://fr.wikipedia.org/wiki/Max_Horkheimer
                https://fr.wikipedia.org/wiki/Antonio_Gramsci
                https://fr.wikipedia.org/wiki/Betty_Friedan
                https://fr.wikipedia.org/wiki/Angela_Davis


                • vote
                  maQiavel maQiavel 6 avril 2019 15:15

                  J’ai trouvé le débat agréable à écouter, l’équilibre entre ceux installés à gauche et à droite était plutôt bon , , il y’a du vrai dans les deux camps.


                  • vote
                    Julot_Fr 7 avril 2019 10:43

                    @maQiavel
                    Le debat est symptomatique de la mauvaise fois et de la manipulation du cote "progressiste" contre le bon sens cote conservateur.
                    Vu sous cette loupe, on comprend que le debat truque ne peut deboucher sur aucun accord.


                  • 2 votes
                    maQiavel maQiavel 7 avril 2019 12:36

                    @Julot_Fr

                    Tu parles de « mauvaise foi » et de « manipulation » du côté "progressiste" et de « bon sens » coté conservateur simplement parce que tu es toi-même un conservateur et que tu n’admets pas que ceux d’en face puissent dire honnêtement ce qu’ils pensent. smiley

                     

                    Mais essaie de prendre de la distance et tu verras que les « progressistes » sur le plateau de Taddei ont fait valoir des arguments. Deux exemples :

                     

                    -Il est vrai que chez les progressistes, on utilise des méthodes de disqualification de l’interlocuteur en le qualifiant de raciste, d’homophobe, d’antisémite ou que sais-je tout ce qui dépasse du cadre de pensée imposée. Mais lorsque ceux qui sont assis à gauche sur le plateau disent que le terme « politiquement correct » est utilisé dans la sphère conservatrice ou réac pour disqualifier et délégitimer les propos tenus par un interlocuteur, c’est tout à fait juste. J’en ai moi-même déjà fait les frais. Il existe aussi une bienpensance politiquement incorrect qui anathématise tout ce qui dépasse son cadre de pensée.

                    Et dans ce climat général, c’est l’échange des idées qui en pâti puisqu’on ne cherche plus à se comprendre et à répondre très précisément à des arguments mais uniquement à disqualifier l’interlocuteur.

                     

                    -Lorsque les chantres du politiquement incorrect se plaignent d’un progressisme obligatoire dans le champ médiatique qui persécuterait leur parole, ils ont l’air d’oublier qu’ils ont accès à tous les médias pour s’en plaindre, qu’ils ont des tribunes dans la presse écrite et que parfois ils parviennent à censurer ceux qui ne leur plaisent pas. Cette France dans laquelle le politiquement correct serait en situation d’hégémonie est une fiction, à la limite on aurait pu le postuler il y’a 20 ans, et encore, mais la configuration a changé, surtout depuis l’émergence d’internet.

                     

                    Mais les « conservateurs » du plateau ont aussi de bons arguments à faire valoir, raison pour laquelle je dis que le débat était plutôt équilibré, ce qui est rare.


                  • vote
                    Belenos Belenos 8 avril 2019 04:56

                    @maQiavel
                    "J’ai trouvé le débat agréable à écouter, l’équilibre entre ceux installés à gauche et à droite était plutôt bon , , il y’a du vrai dans les deux camps."

                    On peut presque toujours dire "qu’il y a du vrai dans les deux camps". Mais le débat nous enseigne-t-il quelque chose et a-t-il enseigné quelque chose aux participants ? 


                  • 1 vote
                    maQiavel maQiavel 8 avril 2019 11:43

                    @Belenos

                    Je dirai alors qu’il y’a beaucoup de vrai dans les deux camps.

                    Je ne peux pas parler pour les autres mais en ce qui me concerne, j’ai appris certaines choses. Et j’ai l’impression qu’au cours du débat, les interlocuteurs parviennent parfois à se mettre d’accord sur leurs déssaccords, ce qui est en soi un enseignement puisqu’ils s’instruisent sur ce qui les sépare et cela relève de la performance, dans une société française dans laquelle ces « camps » ne parviennent plus à communiquer …

                     


                  • 1 vote
                    Belenos Belenos 8 avril 2019 14:04

                    @maQiavel
                    Je n’ai pas trouvé qu’ils parvenaient au moindre accord, pas même sur la description du problème. Déjà, chaque perception de l’état des lieux est complètement différente. Certains voient une inondation là où d’autres voient un incendie. Et personnellement, je n’ai rien appris, à part sur eux (je ne les connaissais pas). Certes, on peut les féliciter d’avoir réussi à ne pas trop s’insulter mais c’est tout. En ne se parlant pas du tout, ils ne se seraient pas non plus insultés de toute façon. Donc pourquoi parler ? Le débat aura été utile s’il avait permis de déterminer si c’est une inondation ou un incendie, puis de choisir une solution au problème. Ou bien c’est juste parler pour parler et puis être content que la discussion soit polie.  


                  • vote
                    maQiavel maQiavel 8 avril 2019 14:47

                    @Belenos

                    Le but d’un débat n’est pas forcément de se mettre d’accord, il peut être aussi de comprendre les déssaccords, et ce n’est pas forcément facile. Se rendre compte à quel point l’état des lieux peut être divergent est en soi instructif et je pense que là, ils ont pu le mesurer. L’émission n’a duré qu’une cinquantaine de minute mais la phase de la discussion qui vient après, c’est celle qui consiste à comprendre le pourquoi cette divergence et à localiser son origine dans les logiques qui se déploient.

                    Il est de toute manière impossible de trouver collectivement une solution à un problème lorsqu’on ne se comprends pas …


                  • vote
                    Belenos Belenos 8 avril 2019 18:12

                    @maQiavel
                    "Le but d’un débat n’est pas forcément de se mettre d’accord, il peut être aussi de comprendre les désaccords, et ce n’est pas forcément facile."

                    Je n’ai pas l’impression qu’ils aient compris leurs désaccords. Ils ont constaté qu’ils n’étaient pas d’accord, mais sans être en mesure de dire à quel endroit de la perception ou du raisonnement. Je sais bien que ce n’est pas facile, surtout en si peu de temps, et je ne leur en fais pas reproche. En plus, ils ne se connaissent pas, donc il y peut-être un manque de confiance dans la sincérité ou la capacité de l’autre, ce qui n’arrange rien. Toujours est-il que je n’appellerais pas ça un bon débat. 


                  • vote
                    maQiavel maQiavel 8 avril 2019 18:51

                    @Belenos

                    J’ai au contraire l’impression qu’ils ont compris certains de leurs déssaccords, certes de façon plutôt globale car ils manquaient de temps pour dissiper les zones de flous mais suffisamment pour que je puisse apprécier le débat. Peut-être aussi que j’ai trouvé l’écoute digne d’intérêt parce qu’en les écoutants, j’ai cru comprendre certaines de leurs divergences. Et j’ai trouvé leurs propos structurés, ça aide aussi à comprendre en comparaison des débats qui vont dans tous les sens.


                  • vote
                    Belenos Belenos 8 avril 2019 19:10

                    @maQiavel
                    Je trouverais très utile qu’à la fin d’un débat avec ce genre d’opposition bien marquée, l’animateur demande à chacun de décrire en quelques minutes ce qu’il a compris de la position de l’autre. 


                  • vote
                    maQiavel maQiavel 8 avril 2019 19:24

                    @Belenos

                    Je pense même que c’est comme ça que devrait se terminer tous les débats.

                    En ce qui me concerne, c’est un exercice auquel je me livre quasi systématiquement : synthétiser mentalement la pensée de mon contradicteur et lui demander si je l’ai bien compris … Enfin lorsque c’est possible car tous les interlocuteurs ne sont pas disposés à jouer le jeu, en réalité il y’en a même très peu avec lesquels cela est possible.



                  • vote
                    maQiavel maQiavel 8 avril 2019 19:25

                    *que devraient



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