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    JL 18 février 2020 08:14

    Définition du corporatisme par Naomi Klein : « La grande entreprise et le gouvernement tout puissant combinant leurs formidables puissances respectives pour mieux contrôler les citoyens.  »

     

    Clairement, cette définition rejoint celle que Mussolini donnait du fascisme « Le Fascisme devrait plutôt être appelé Corporatisme, puisqu’il s’agit en fait de l’intégration des pouvoirs de L’État et des pouvoirs du marché. »

     

    Samir Amin : « Le capitalisme contemporain est devenu par la force de la logique de l’accumulation, un « capitalisme de connivence ». Le terme anglais « crony capitalism » ne peut plus être réservé aux seules formes « sous-développées et corrompues » de l’Asie du Sud est et de l’Amérique latine que les « vrais économistes » (c’est à dire les croyants sincères et convaincus des vertus du libéralisme) fustigeaient hier. Il s’applique désormais aussi bien au capitalisme contemporain des États-Unis et de l’Europe. Dans son comportement courant, cette classe dirigeante se rapproche alors de ce qu’on connaît de celui des « mafias », quand bien même le terme paraîtrait insultant et extrême. »

     

    La multinationalisation étant l’évolution naturelle des entreprises et le fascisme l’évolution naturelle du capitalisme, il en résulte que la globalisation libérale est le nom de ce processus de totalitarisation

    à l’échelle mondiale.



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    JL 15 février 2020 20:08

    Il manque "Stupeur et tremblement"

     

     smiley



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    JL 14 février 2020 10:13

    Greed is good : « Quand Mandeville dit : " Les vices privés font la vertu publique ", que dit-il sinon ceci : ce que vous prenez pour du vice c’est en fait de la vertu. Ou encore : si vous le prenez au premier degré, c’est du vice mais si vous le prenez au second, c’est de la vertu.

    « Ce discours brouille tout repère et annule toute pensée démonstrative : il revendique de pouvoir dire tout et son contraire puisqu’il affirme qu’en fin de compte, le blanc est noir et le faux est vrai – exactement comme le discours pervers ». (Dany-Robert Dufour, « La cité perverse »

     

    Ce discours est diabolique, puisque la plus grande ruse du démon c’est de nous faire croire que le diable c’est l’autre.

     

    Mandeville serait-il l’inspirateur d’Orwell ?



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    JL 9 février 2020 19:07

    @Stupeur
     
     ’’ il y a clairement une volonté de ne pas être réaliste, au sens scientifique du terme. ’’
     
     Clairement ? Dans beaucoup de réalisations qui se veulent réalistes on trouve quand même ce genre d’erreurs.
     
     Mais je suis d’accord : dans ce film, c’est beaucoup mieux comme ça. Lars Von Trier nous a servi dans cette façon de faire, je pense en particulier à Dogville, mais pas que.



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    JL 9 février 2020 11:58

    @Stupeur
     
     Merci pour ces vidéos.
     
     Melancholia, j’ai adoré, comme tous les films qu’a fait Lars Von Trier. Bien que j’aie regretté le manque criant de réalisme : La Terre devrait tomber sur cette grosse planète, et encore : se satelliser serait plus probable.
     
    ps. ’’c’est du Wagner (pas du Pink Floyd)’’
     
     Impossible de se tromper.

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