Il y a effectivement une manipulation des idées. Presque 29 minutes de discussion résumée en quelques lignes complètement caricaturales, afin de confirmer, "d’angler", l’article final dans le sens de la ligne éditoriale : l’information alternative c’est de la merde. Adrien Sénécat semble spécialisé dans cette méthode du "je prend des détails pour faire du fond", car c’est mon boulot. Un bon potentiel de carrière journalistique.
Ce n’est pas ce qu’il dit. Les dettes des états sont sous plusieurs formes : certaines achetées par des banques et autres sociétés privées, d’autre achetées par des épargnants. Donc si on annule les dettes des états, tous perdent leur investissement. Alors on nationalise pour gratuit les banques, dont l’investissement sur les dettes en question ne vaut plus rien. Du coup l’état qui nationalise, doit sur ses fonds propres (le pognon en caisse), payer la valeur des "comptes en banques" des particuliers, des entreprises, plus leur "épargne véritable". Sachant qu’à partir de là, il est impossible d’emprunter pour financer cela, au pire faire marcher la planche à billet, à savoir créer de la monnaie à 0% non remboursable .
Le monsieur sait que le capital plus le travail et le savoir-faire créent de la richesse. Il a aussi bien compris l’absurdité du système actuel. (il a probablement compris Smith et Marx)
On juge le messager sans tenir compte de son message ?
Certes les louves ne se mangent pas entre elles, mais elles se croquent entre elles pour savoir qui sera la femelle dominante. Je remarque que ’moi’ est la gentille et que ’moi-même’ est la méchante. Surement un parti pris de l’auteur.
Sur la forme : Il manque le shampoing à l’huile plutôt que le bonnet, le non maquillage, le vrai manteau pourri. Il manque aussi je bois un coup (car je suis censée être saoule), et je vomis, autant de fois que nécessaire. Il manque je m’endors dans ma maison, les cartons (ou l’un quelconque des tonneaux disponibles).
Sur le fond : très bon. à valoriser par la forme, qui le fond, le sens, etc.