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chtouille

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  • Premier article le 11/06/2012
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    chtouille 8 juin 2012 19:59
    outre le faible cout de production, la capacité de production, les investissements moindre, la polyvalence dans leur utilisation exposition inclinaison, souple, facile à installer sur tout support, le rendement pourrait rapidement égaler ou dépasser celui des modules silicium.
    avec un système de stockage chaque habitation individuelle serait facilement autonome, pour les immeubles si les facades sont exploitées çà reste possible, avec les parkings aux pieds des immeubles çà serait suffisant.
    développer les microcentrales hydrauliques, le step, le stockage sels fondus, ou la production d’hydrogène dans les creux de conso, la marémotricité
    manquerait plus que la fusion froide soit pas un fake alors là le nuke c’est plié.
     
    - Une centrale hybride biogaz + éolien située à Prenzlau (Brandebourg, Allemagne) a été inaugurée par la Chancelière allemande Angela Merkel en avril 2009. La centrale à biogaz se substitue aux éoliennes lorsqu’il n’y a ps de vent, et en cas d’excès de vent l’électricité produit de l’hydrogène par électrolyse avec un rendement d’environ 80%. Dans le futur, l’hydrogène sous pression sera revendue aux stations services à hydrogène. Mélangé au biogaz, il est utilisable sur place pour reproduire de l’électricité et de la chaleur (cogénération).
    - Le stockage de l’énergie par remontée de l’eau
    Le stockage par pompage et remontée d’eau est déjà utilisé dans certains pays comme l’Allemagne pour réguler la charge consommation/production. De l’eau est pompée et remontée vers des barrages hydroélectrique pendant les heures creuses et le week-end, en utilisant la production excédentaire d’électricité des dispositifs à forte inertie comme le nucléaire, ou non réglables comme le solaire et l’éolien.
    - Le groupe énergétique EnBW (numéro 3 allemand) a développé une solution pour résoudre le principal problème posé par l’exploitation de l’énergie éolienne : son stockage.Des améliorations techniques récentes devraient permettre la mise en service d’une centrale de stockage par air comprimé, unique en son genre, d’ici 2011/2012 dans le nord de l’Allemagne. Un rendement de 70% est attendu pour cette installation d’une nouvelle génération, soit une nette progression par rapport à la génération actuelle (rendement de 40%). L’entreprise est aujourd’hui à la recherche d’un site approprié et bénéficie dans son action du soutien du Land de Basse-Saxe.
     Le principe des centrales de stockage de l’énergie par air comprimé n’est pas nouveau. Il s’agit d’une centrale à gaz modifiée, capable d’emmagasiner temporairement l’énergie sous forme d’air comprimé par injection, dans des réservoirs souterrains de formations géologiques diverses (sel, roche, aquifère). L’énergie est restituée lors des périodes de forte ou moyenne demande. L’innovation technique du projet de EnBW consiste à récupérer la chaleur résultant de la compression de l’air en vue d’améliorer le rendement de l’installation :"le compresseur n’est pas refroidi et la chaleur de l’air comprimé est stockée dans un accumulateur de chaleur", explique le directeur de projet Joachim Manns. Plus précisément, l’air comprimé, chaud, est conduit vers le récupérateur, où il cède sa chaleur avant d’être temporairement stocké à faible température dans une caverne souterraine. Plus tard, l’air froid stocké est réacheminé vers le récupérateur de chaleur où sa température est ramenée à celle de la turbine. Cette technique efficace de réchauffement permet d’éviter le recours à une source extérieure d’énergie comme c’est le cas aujourd’hui (chauffage au gaz naturel).
    - hydrogène stockage
    C’est que l’enjeu est de taille. « Avec Daniel, on a trouvé le moyen de stocker l’hydrogène sous forme solide », soit une pastille de 30 cm de diamètre qui emprisonne 500 litres d’hydrogène. Outre toutes les machines et autres fours nécessaires à cette fabrication, Michel Jehan conçoit un réservoir de stockage tout aussi révolutionnaire.
    Réversible, il se charge et se décharge comme une batterie. Modulaire, il autorise une densité volumique très supérieure à celle des systèmes classiques de stockage. Enfin, il fonctionne à basse pression, ce qui facilite son usage et restitue 97 % de l’hydrogène stocké.
    Des stations-service allemandes et japonaises sont déjà équipées des réservoirs McPhy. Ils alimentent les quelques voitures qui roulent à l’hydrogène. En France, Michel Jehan s’est fait « jeter » par les constructeurs automobiles. « Mais si un jour, on a des voitures propulsées par hydrogène, McPhy aura une belle ouverture. »
    En attendant, la petite entreprise drômoise en pleine expansion a « une solution » pour l’énergie perdue de l’éolien et du solaire. Un réservoir McPhy de 24 kg d’hydrogène sera d’ailleurs implanté sur le projet solaire “Myrte” en Corse. « J’ai pris des risques mais j’ai bien progressé », se réjouit Michel Jehan. Qui n’aspire qu’à une chose, « bien lancer McPhy et passer le relais en 2015. » Le prix Marius-Lavet serait la cerise sur le gâteau.
    - stockage sous forme d’acide formique
    L’hydrogène est facilement produit à partir d’énergie électrique. Grâce à un catalyseur et au CO2 présent dans l’atmosphère, les scientifiques l’ont transformé en acide formique. Plutôt qu’une lourde bouteille de fonte remplie d’hydrogène sous pression, ils obtiennent ainsi une substance très peu inflammable et liquide à température ambiante.
    Les laboratoires de l’EPFL, sont ensuite parvenus à provoquer le phénomène inverse : par le biais d’une catalyse, l’acide formique retourne à l’état de CO2 et d’hydrogène, lequel peut ensuite être transformé en énergie électrique. Un prototype fonctionnel, peu encombrant et d’une puissance de 2 kilowatts est d’ores et déjà au point. Deux sociétés ont acheté une licence pour développer cette technologie : Granit (Suisse) et Tekion (Canada).


  • 1 vote
    chtouille 8 juin 2012 19:22

    L’ incapacité des cellules solaires à exploiter en même temps toutes les couleurs composant la lumière limite leur rendement maximum théorique à seulement 34%. Certaines cellules solaires arrivent à exploiter une partie du spectre lumineux inexploitable par d’ autres cellules solaires. Ainsi, les meilleurs panneaux photovoltaïques produits à ce jour sont des panneaux multi-jonction utilisant différentes cellules solaires pour capter un plus large spectre lumineux (Voir l’ article : Record de rendement photovoltaïque : 36,9% avec des couches minces triple jonction).


    Un photon bleu génère deux électrons

    Les scientifiques de l’ université de Cambridge, spécialisés dans le domaine du photovoltaïque organique, ont réussi à créer une cellules solaire hybride capable de générer deux électrons à partir d’ un photon bleu. Les très énergétiques photons bleus deviennent ainsi exploitables en fournissant un rendement supérieur aux photons rouges qui sont plus faciles à transformer en électricité mais qui ne génèrent qu’ un électron pour un photon.

    Pour y arriver, les chercheurs ont ajouté un semi-conducteur organique appelé pentacène lors de la fabrication de leur cellule photovoltaïque. La cellule solaire hybride ainsi créée est capable d’ absorber à la fois la lumière rouge et la lumière bleu, portant ainsi le rendement maximum théorique à 44%.

    Une cellule solaire hybride est fabriquée à partir d’ un mélange de polymère organique et de nanoparticules inorganiques. Les cellules photovoltaïques hybrides appartiennent à la famille des cellules solaires organiques. Ces cellules solaires sont très différentes des cellules traditionnelles en silicium et peuvent être produites en masse et à faible coût en étant imprimées sur du plastique par rouleaux d’ impression (roll-t-roll).

    La société Eight19, une émanation du centre de recherche en photovoltaïque organique de l’ université de Cambridge, travaille avec les chercheurs pour améliorer leur cellule solaire hybride en vue d’ une production commerciale. Il est difficile de dire quand cette cellule photovoltaïque hybride d’ un nouveau genre sera exploitable pour une production à grande échelle, mais les scientifiques espèrent y arriver pour 2015.



  • 2 votes
    chtouille 8 juin 2012 19:18
    La production de photovoltaïque organique demande beaucoup moins d’énergie que pour les panneaux solaires de silicium et il est possible d’imprimer des cellules solaires organiques sur toute sorte de supports. Les stations d’impressions permettent de créer du film photovoltaïque en plastique à la fois léger, flexible et parfois transparent.
     
    Dans un premier temps, la souplesse et la légèreté du film photovoltaïque organique sera exploitée pour équiper des sac à dos, des tentes de camping ou pour faire des stores photovoltaïques. Par la suite, la capacité d’impression des cellules solaires organiques sera utilisée pour faire des produits photovoltaïques intégrés au bâti (BIPV), comme des ardoises photovoltaïques ou des vitrages solaires.
     
    Enfin à terme, comme le photovoltaïque organique devrait finir par coûter beaucoup moins cher que les autres technologies solaires, nous en verrons un peu partout pour faire bien sûr des toitures solaires, mais aussi pour réaliser des ombrières photovoltaïques de parking et ainsi créer des zones de stationnement capables de générer de l’électricité.
     
    Emplacement idéal pour placer des bornes de recharge pour les voitures électriques, le parking photovoltaïque deviendra sans doute la norme.
     
    Par ailleurs, le photovoltaïque organique est moins sensible à l’orientation des rayons solaires et offre donc un rendement intéressant même sur une inclinaison verticale ou lorsqu’il y a des zones d’ombres. Le photovoltaïque organique sera donc également utilisé pour concevoir des façades et des murs photovoltaïques. De quoi exploiter pleinement l’énergie solaire et faire baisser efficacement notre facture énergétique…


  • 2 votes
    chtouille 8 juin 2012 15:41

    Le PDG de Suntech a déclaré récemment que le photovoltaïque sera au même prix que les énergies fossiles dans 50% des pays d’ici 2015.
    Des spécialistes du solaire annoncent bien la parité réseau dans de nombreux pays d’ici 3 à 5 ans.
    Aujourd’hui la durée de vie des cellules solaires plastiques atteint 7 à 10 ans, mais la société Heliatek travaille actuellement sur une couche de protection pour ses cellules photovoltaïques organiques. La société espère trouver une solution d’ici la fin de l’année 2012 pour étendre la durée de vie de ses cellules solaires à plus de 20 ans.



  • 3 votes
    chtouille 8 juin 2012 15:35
    les allemands auraient installé 8GWc de PV l’année dernière.
     
    "

    La société Heliatek vient d’inaugurer à Dresde en Allemagne son premier site de production pour la fabrication de film photovoltaïque organique. La commercialisation des premiers panneaux solaires en plastique souple de la société devraient alors débuter à l’automne 2012.

    La capacité de production de ces panneaux photovoltaïques plastiques ultraminces et ultralégers atteindra dans un premier temps 2 à 3 MW annuel. A l’horizon 2014, la société espère atteindre une capacité annuelle de 50 MW pour un film solaire plastique au rendement de 10%.

    Parallèlement, la société Eight19 vient de lancer son projet d’imprimerie de panneaux photovoltaïques en plastique qui devrait voir le jour en 2013. Cette station de fabrication de film photovoltaïque par rouleaux d’impression (roll-to-roll) sera la plus importante de son genre en Europe. La ligne de production devrait être capable de produire des modules photovoltaïques en plastique au rythme de 3,6 km/h.

    La société française Disa Solar dispose déjà d’une ligne pilote qui fabrique des cellules solaires plastiques de 5 x 5 cm avec une machine d’impression à jet d’encre. La machine de production de masse est en cours de développement chez Ceradrop, un équipementier qui conçoit et commercialise des imprimantes jet d’encre dédiées au dépôt de matériaux fonctionnels pour l’électronique imprimée et les nouvelles technologies pour l’énergie.

    La société Konarka possède déjà une ligne de production de panneaux solaires organiques flexibles et commercialise ses produits à travers le monde.Konarka a d’ailleurs obtenu en février 2012 la certification IEC 61646 auprès du TÜV Rheinland pour ses cellules photovoltaïques organiques. Indicateur de fiabilité et de longévité, cette certification valide la maturité de la technologie photovoltaïque plastique.

    Les cellules solaires en plastique vont donc commencer à arriver sur le marché en quantité fin 2012 et surtout en 2013. Le faible coût de production compensera le plus faible rendement de ces cellules solaires.

    Le panneau solaire plastique à bas prix touchera de nouveaux marchés car il est léger, souple et son rendement reste intéressant en cas de faible ensoleillement ou de mauvaise orientation.

    En 2015-2016, le rendement du photovoltaïque organique pourrait atteindre 12 à 15%, ce qui en ferait une technologie de rupture capable de s’imposer sur le marché du solaire..."

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