Don’t look up. Ainsi les médias nous disent que c’est une analogie du réchauffement climatique.
Pourquoi pas. Mais seulement ?
Ne peut-on pas y voir une analogie de la crise sanitaire ? Ou bien on ne regarde pas de ce côté...
"Don’t look up", le film qui dénonce ce qu’on fait pour ne pas regarder, serait si facile à trouver l’analogie de ce dont on détourne le regard avec malice.
Et les médias qui précieusement œuvrent dans le film à ne pas voir, nous disent ce qu’ils faut y voir après avoir vu le film. Euh...
Le Covid : La gestion de la crise sanitaire, son usage du big data pour pondre des chiffres, la censure des objecteurs vaccinaux. Les médécins de plateaux télé...
Subtilité d’inversion de lecture du film : Des paranoiaques hypocondriaques nous aont annoncé une apocalypse qui n’a jamais existée.
Depuis le début, il n’y a que "On" qui a parlé et fait des annonces de chiffres et les autres "on", ont adhérés comme à une vérité venant d’eux même.
Alors, "On" est un con. Certes, nous sommes tous cons (au moins une partie).
Mais, j’aurais initialement attendu qu’un philosophe soit mieux équipé que moi-même pour flairer la connerie.
En attendant sa prochaine étape de reconnaitre la connerie si la suite l’oblige.
Car en bon philosophe, ce n’est pas parce-que ça a l’odeur, le goût, la texture, l’apparence que ça l’est forcement... Alors mieux vaut attendre et s’annoncer apte à changer d’avis devant les preuves.
Preuves qui n’ont jamais existé auparavant pour avoir son avis.