David Heyo

@Qaspard Delanuit
Finkielkraut n’est ni un intellectuel ni un philosophe, mais un propagangiste, un "révolutionnaire" de mai 68 devenu néocon.Les gens érudits, qui ont lu des milliers de livres en diagonales, il y en a plein les cimetières. Instruisez-vous, ce n’est pas cher : http://bibliobs.nouvelobs.com/idees/20151112.OBS9357/lettre-ouverte-a-alain-finkielkraut.html

@pegase il n’a pas été viré, de la manipulation encore une fois :

http://www.europe1.fr/societe/alain-finkielkraut-econduit-de-nuit-debout-personne-ne-la-empeche-de-regarder-lassemblee-populaire-2722309

Qu’attendre d’autre de ce pompier pyromane ?

@FifiBrind_acier heureusement que vous n’étiez pas là en 39, vous auriez traité Chucrchill ou De Gaulle d’extrémiste parce qu’il ne voulait pas discuter avec les nazis.Tout comme Chirac a eu bien raison de ne pas discuter avec Le Pen à l’époque. Votre commentaire illustre le fait que la France est complètement sclérosée, superstitieuse et craintive du passé, toute critique est aveuglément traitée d’extrême gauche ou droite, chat échaudé craint l’eau froide.Le dialogue contradictoire est une belle chose, mais ce n’est pas la panacée universelle, ni l’arme absolue.Les raisonnements raisonneux sont des impasses, et il est très facile pour des manipulateurs de faire du chantage à la gentillesse pour ensuite créer des impasses, pétrifiant la pensée et faisant le jeu des extrêmes. Il y a des fois où il est bon d’être ferme.Churchill, Roosevelt ou De Gaulle, de dangereux gauchistes l’étaient. On ne peut pas vivre ensemble avec des pervers narcissiques, des manipulateurs et des gens qui se croient mieux et plus important que les autres. On peut juste prouver par les actes et la pensée un autre monde, et les adversaires perdront alors de leur illusoire pouvoir, voire certains changeront, car il y a des qualités cachées chez certains. Mais ce n’est pas en invitant Hitler à sa table qu’on va vaincre le nazisme, comme le disait un autre dangereux terroriste, le juge Trevidic. On ne va pas vaincre non plus le néolibéralisme en invitant Gattaz ou Dassault. Et pour cette histoire, Finkelkraut n’a pas été jeté comme il le dit, ce sont des crétins externes au rassemblement qui l’ont chahuté, ses délires ont fait le reste : 
http://www.europe1.fr/societe/alain-finkielkraut-econduit-de-nuit-debout-personne-ne-la-empeche-de-regarder-lassemblee-populaire-2722309

Sinon bien d’accord sur Chouard, les antifas sont des gens dangereux et c’est même étonnant qu’ils existent encore.Il y a un risque de récupération du mouvement, mais ce n’est pas acquis.

@Qaspard Delanuit il ferait mieux de regarder sa propre sottise et non la paille des autres . Ce n’est ni un philosophe ni un penseur ni un érudit.Juste une accumulation de savoir, comme jadis les théologiens, qui étaient capable de connaitre la bible par coeur tout en condamnant au bûcher les "hérétiques". Du caca technique en somme, mais qui impressionne, vu l’effondrement des valeurs d’une société où le top des émissions sont les caniveaux de Ruquier ou de Anounah

@BlueMan
Je ne suis pas d’accord : Finkelkraut est un adversaire affiché de la démocratie, un xénophobe notoire et propagandiste, qui est circonstance aggravante, devenu le contraire de ce qu’il était en 68, à savoir un libertaire : il défend maintenant un ordre du monde sclérosé,prédateur et élitiste. Il n’y a rien de subtil à mettre à la porte des adversaires, c’est vrai ; mais il n’y avait rien de subtil non plus à combattre les allemands en 40, Pol Pot, Pinochet, il n’y a pas non plus de subtilité à faire un pas de côté face à un totalitarisme qui ne dit pas son nom, fait de perversion. Il y a pire que les adversaires : la perversion qui a consisté à faire croire que la mollesse est la tolérance, et que la tolérance est un extrémisme.La tolérance, c’est par exemple virer un individu comme celui-là, bien entendu sans menaces physiques ni insultes, et d’ailleurs c’est dommage que cela se soit en partie produit. La mollesse, c’est de la complicité snob et poltrone tout en ayant l’air de croire que l’on est intelligent et "modéré". C’est un des ingrédients qui amène la sclérose d’une société.