Debrief

@Jean-Pierre Llabrés
Difficile de n’entendre que des inepties économiques dans les propos de JLM. Ce qu’il dit de la création monétaire, des QEn qui s’évaporent dans la spéculation bancaire et de la structure de la dette semble clair et tout à fait rationnel, d’autant que cela a la caution d’économistes patentés (s’il fallait se justifier). Même chose concernant les mécanismes de redirection des flux monétaire dans l’économie réelle plutôt que dans la pure spéculation. Si on doit se sentir trompés, c’est bien par le système actuel dérégulé qui profite à ce 1% et créant un effondrement économique et social généralisé.

Ahhhhh, Christine Ockrent, s’il fallait en choisir une qui représente ce système légo-ligarchique, cas presse politique "intellectuelle" sous pavillon de la bienpensance certifiée, c’était le bon choix. Elle n’a pas encore compris qu’elle a perdu la main, avec ses comparses seconds rôles commentateurs à opinion du circus politicus, se croyant importants et influents et maintenant dépassés par les peuples qui n’ont cure de leurs petits états d’âme.

Si petite que soit la France, elle a besoin de son indépendance et de sa propre force de défense, d’autant quelle possède encore les talents qui sont capables de la placer dans le peloton de tête des technologies dernièrement bradées par l’oligarchie de l’incompétence. Croire que la paix est éternelle et que les autres nous respecterons pour ce que nous fûmes est d’une naïveté totale. Même nos maîtres américains ne nous respectent pas, il faut voir comment Obama a considéré le zébulon Sarkozy et comment Merkel traite le caramel mou Hollande. Ces serviteurs zélés du mondialisme financier n’ont même plus la dignité de s’offusquer d’être rabroués comme des insignifiants.

Insupportables et inutiles vrombissement basses fréquences à volume maximum qui ponctuent les témoignages. Gavant.

Sinon, on repart pour un tour avec Flamanville, ce machin dont les coûts ont explosé. Espérons que la cuve et autres filtres ne suivront pas le même destin. Construction, maintenance et démantèlement de ces bouzins, gestion des déchets, sans compter la couverture du risque qui n’est pas chiffrée amènent à un coût réel de l’électricité exorbitant, mais c’est pas comme ça qu’on calcule bien sûr.