• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Décoder l'éco

Décoder l’éco

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 13/11/2017
  • Modérateur depuis le 10/03/2019
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 78 124 1774
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires




  • 1 vote
    Décoder l'éco Décoder l’éco 18 juillet 2022 17:26

    @bubu12
    tous les gosses ?
    Au Canada ?
    Sachant qu’il n’y a que 2 provinces qui imposent un calendrier vaccinal pour la scolarisation des enfants ?
    Vous avez un taux de couverture officiel et une petite étude qui montrerai qu’il n’y a plus de maladie à boutons au Canada ?



  • 1 vote
    Décoder l'éco Décoder l’éco 18 juillet 2022 17:13

    @Gaspard Delanuit
    Le fait de nommer les choses doit se faire par des critères facilement vérifiables et qui ont du sens.
    Je ne dis pas qu’on ne peut rien nommer, je dis que les moteurs d’influences pour nommer les maladies de telle ou telle manière sont énormes.
    Concernant notre sujet, je constate simplement que la "reconnaissance" des maladies suit de très prés les dates des campagnes vaccinales. Après chaque campagne, la maladie n’est plus déclarée et c’est une autre qui prend le relai.
    Sur l’article de propagande de M. Gates fourni plus haut, on constate qu’en 1963, quand sort le "vaccin" rougeole, le nombre de malade était déjà en train de se casser la figure. Il n’y en a presque plus en 1965.
    En constate qu’en 1966, c’est la rubéole (qu’on appelle aussi rougeole atténuée) qui prend le relai du comptage jusqu’à son vaccin.
    C’est un peu gros non ?
    Etonnant qu’ils ne montrent pas les statistiques de variole, de varicelle et de scarlatine histoire de faire le tour des boutons...

    Mon père a vécu son enfance en Vendée des années 50 (sorte de mélange en Moyen-Age et époque Victorienne). Les enfants ont eu tout le catalogue des maladies connues. Son frère a même eu le Ténia. Vu que la famille bouffait les légumes du jardin dont l’engrais était le caca familial, c’est assez peu étonnant. Les hommes buvaient 2L de pinard par jour, les femmes 1L, et fumaient des clopes toute la journée. La baisse des maladies pendant la 2e moitié du XXe siècle me parait ne pas avoir grand chose à voir avec les bienfaits des médicaments.

    J’en reviens à mon point de départ : aujourd’hui, chaque gosse qui a une maladie de fièvre et de bouton est catalogué "varicelle". Le jour où le vaccin varicelle sera inoculé à tous les gamins, on sera emmerdé pour expliquer les "poussées d’acné précoces".

    Il n’y a absolument aucun critère non sujet à interprétation pour distinguer ces maladies entre elles. J’exclu la scarlatine pour laquelle on est sensé trouver des bactéries (sans même d’ailleurs pouvoir prouver qu’elles sont une cause et pas une conséquence). Tout ce qui est "viral" est de l’ordre de la pure spéculation. Le séquençage est une arnaque et ce qu’on appelle "isolation" d’un virus est de l’esbrouffe : faire crever des cellules de rein de singe n’est pas un grand exploit.

    Bref, j’aimerai juste savoir si j’ai fait subir les délires d’une église de la vaccinologie à mes gamins ou si tout cela a un sens.
    Les seuls indices que je trouve sont malheureusement en début de phrase.



  • 3 votes
    Décoder l'éco Décoder l’éco 17 juillet 2022 17:28

    @Gaspard Delanuit Mes 3 enfants ont fait des formes de maladies à boutons qui n’avaient rien à voir. 2 en ont eu absolument en même temps et les boutons n’étaient pas placés du tout pareil sur le corps. L’un était complètement recouvert (intérieur de la bouche compris) l’autre non. L’un avait des tâches blanches sur ses boutons rouges, l’autre non.

    Les 2 ont été diagnostiqués varicelle, avec le commentaire du médecin : c’est différent chez chaque enfant.

    A l’époque, je n’envisageai pas du tout remettre en cause la parole de l’expert. J’ai donc cru ce qu’il me disait.

    Les différences que vous citez ne prouvent rien d’autre que "chaque cas est différent". Vouloir mettre chaque cas dans une case en fonction de critères mal définis et dont on n’a jamais prouvé qu’ils étaient signifiants est un des problèmes de la médecine. Cette catégorisation s’accompagne d’ailleurs d’une autre bien pire : celle du traitement. "En cas de pustule verte sous la narine droite les semaines impaires, la pratique du soufflage de tabac dans l’anus permettra une guérison en 7 jours, sous la narine droite on préférera l’usage des statines".



  • 1 vote
    Décoder l'éco Décoder l’éco 16 juillet 2022 10:41

    @bubu12

    Allez y. Quand un gamin fiévreux et couvert de boutons arrive dans un cabinet médical, qu’est ce qui permet de différencier : Rougeole, Rubéole, Variole, Varicelle.

    Vous avez 15 min (le temps d’une consultation qui comprend les 3 moments les plus importants, la lecture de la carte vitale, l’ordonnance, et le paiement).



  • 2 votes
    Décoder l'éco Décoder l’éco 15 juillet 2022 22:46

    @bubu12

    Il ne faut pas confondre "tableau clinique" et niveau de gravité d’une maladie. Quand la différence entre 2 pathologies dépend notamment de la gravité, il faut envisager la possibilité que cela vienne de l’environnement ou de la condition physique du patient. Le fameux virus ebola qui n’existe qu’aux endroits où les gens boivent de l’eau croupie mélangée à leurs excréments et meurent de fin est un bon exemple.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité