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Easyreynders

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    Easyreynders 11 juin 2011 19:37

    Et qu’y a t’il de pire ? Que des privés se fassent des rentes sur des obligations ou qu’il y ait une hyper-inflation parce que la banque centrale imprime en masse des billets ?



  • 1 vote
    Easyreynders 11 juin 2011 19:36

    Le libéralisme ne prône pas la concurrence en tant que fin, mais du point de vue économique, la liberté de chacun à gérer ses propres affaires, à s’associer et à commercer avec qui il veut.
    S’il y a un monopole naturel, c’est que la concurrence n’est pas suffisamment bonne et donc que cette situation de monopole est la plus favorable envers le consommateur.

    Cependant, tout monopole n’est durable que si l’état s’en mêle, par des réglementation, des exclusivités, des systèmes de licences, de subventions.

    L’erreur que l’on commet est de penser que sans concurrence, il n’y a plus de limitation du prix et que celui-ci peut monter indéfiniment, ce qui est faux, car il sera toujours soumis à l’offre et à la demande et que si le prix est trop haut ou la qualité trop basse, il y aura moins de demande et les rentrées diminueront. Sans compter que cela provoquera une situation d’opportunité pour un concurrent possible.

    Et puis, on est toujours d’un point de vue relatif en situation de monopole : le boulanger est en monopole dans sa rue. L’entreprise qui innove est durant une période en situation de monopole sur le produit concerné.
    On n’agit pas tant que ça sur les prix de l’offre par rapport aux concurrents, on le fait surtout par rapport à nos rentrées financières.



  • 1 vote
    Easyreynders 11 juin 2011 19:16

    Et voilà de nouveau les théories conspirationnistes d’une bande d’ignorants en économie….

    Rappel : En 1971, Nixon a supprimé l’indexation du dollar à l’or, supprimant donc le système monétaire mondial d’étalon de change or, qui faisait que la monnaie était convertible en or, plus difficilement reproductible que le simple fait d’appuyer sur ctrl-p que permit le système de monnaie fiduciaire qui est entré en vigueur dès ce moment.
    Il n’y a donc plus de limitation naturelle à la création monétaire par la planche à billets, de manipulation d’intérêt afin de financer les politiques publiques par l’endettement sans fin.

    Cette fameuse loi n’a été qu’un garde-fou afin d’empêcher qu’il n’y ait une hyper-inflation comme il y en a eu en Amérique du Sud, ou dans l’Allemagne de Weimar ou au Zimbabwe.

    Sans compter que desz arguments sont fallacieux ; 1% d’intérêt de la BCE est le taux journalier, donc d’emprunt remboursé dans la journée et les 3% des obligations sont les taux à 10 ans. comparer de tels taux n’est pas pertinent.
    Ensuite, les banques ne sont pas les premiers contributeurs de la dette, ce sont d’abord les compagnie d’assurance, de retraites et de fonds d’investissements qui sont les premiers investisseurs. Et les banques qui y participent ne le font principalement parce que la réglementation les y incite très fortement par des taux de solvabilité à 0%.

    L’intérêt est le prix du crédit, tout comme le loyer de votre appartement ; un prêt est un service accordé avec une contrepartie : l’intérêt. Comme chaque prix, l’intérêt permet de réguler l’offre et la demande selon la loi homonyme. Abaisser les prix incitera la demande et découragera l’offre et inversement.

    Si vous avez une Banque Nationale commandée par l’état pour lui prêter à taux très bas, le système de crédit sera dérégulé et la limite de l’endettement ne fera que monter avant d’atteindre la crise obligataire, provoquant une hyperinflation. A moins bien sur que l’état soit suffisamment responsable de ne pas saisir l’opportunité de faire de nouvelles dépenses publiques, ce dont je doute fortement.

    Un crédit signifie déplacer une dépense future au présent, cela signifie qu’aujourd’hui je dépenserais plus alors que demain, je dépenserais moins pour rembourser.
    C’est pareil pour l’état. Le problème est que l’état n’a absolument pas fait d’effort suffisant pour faire le remboursement. S’il est incapable de faire cela, comment sera-t’il capable de ne pas dépenser plus lorsqu’il aura une offre infinie de crédit, puisque l’emprunteur devient le préteur ?

    Durant les années 80, la dette était de 20% du PIB. À l’époque, il aurait simplement fallu diminuer les dépenses de 0,5% du PIB, soit 4% des recettes fiscales pour payer les intérêts.

    Ce n’est pas comme si cela aurait été impossible et que chaque dépenses sont justifiées par la nécessité ; pour jouer une symphonie de Beethoven du XIXème siècle, on a pas besoin de plus de musiciens qu’à l’époque.

    La seule responsabilité de cet endettement ne revient qu’aux gouvernements incapables de maîtriser leurs dépenses depuis 40 ans.
    http://www.contrepoints.org/wp-content/uploads/2011/06/Economist-20110319_src229.gif



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    Easyreynders 9 juin 2011 02:52

    La FED n’est pas une banque privée, mais un organisme hybride : http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/75/Organiztion_of_the_Feder al_Reserve_System.jpg

    Tout plan monétaire dépend avant tout de représentants de l’état., qui sont majoritaires.

    Si Mr Obama veut faire des plans de relance par des taux bas - ce qu’il prône d’ailleurs - ou une politique monétaire hyper conservatrice, la FED le fera, même s’il doit faire une clé de bras pour l’obtenir.

    Il faut arrêter avec cette position dogmatique qui est de défendre soit le gentil état victime de la méchante finance turbo-libérale, soit des gentilles banques qui ne font que se soumettre à l’état soviétique. Ce qui se passe, ce sont des connivences entre chaque partie qui tirent un intérêt à cela : les banques peuvent se faire plus de bénéfices ; l’état peut réaliser plus facilement ses promesses électorales, et dispose de plus de fonds.

    Ce n’est pas un gentil contre un méchant, c’est juste une alliance contre-nature de 2 pouvoirs, qui démontre ce qui se passe lorsqu’il n’y a pas de séparation des pouvoirs.



  • 1 vote
    Easyreynders 27 octobre 2010 01:51

    Concernant Lordon, ce gars est qu’un pseudo-économiste qui est surtout doué pour pondre des discours avec des tournures complexes dans le but de distraire ses auditeurs de l’absence de contenu.
    Il ne fait que critique le libre-marché en proposant des solutions néo-marxistes qui n’aboutiront qu’à la catastrophe et racontant des mensonges qui ne font que cacher sa haine du système.

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