Selon la définition du viol retenue pat la justice française, le ça évoqué ne peut relever de la qualification de viol.
Quand bien même, il y aurait eu une relation contrainte, l’argument de l’accusation serait, ici, pulvérisé en raison de trop nombreux faits et circonstances concordants, le plaignant se verrait condamné pour dénonciation calomnieuse et tentative d’extorsion de fonds préméditée.
Aux USA, ou tout est possible, commerce des corps et du sexe , dénis de droits (cf les affaires de viols commis par des champions universitaires qui ont vu les plaignantes déboutées, idem les affaires touchant l’armée ou la marine, l’affaire OJ Simpson etc.), violences policières endémiques, dérives juridiques concernant les actes médicaux (qui à elles seules engendrent une explosion des coûts en raison du prix des assurances) il n’est question que d’argent et de profit.
Les mêmes principes s’étendent à ttes les strates de la population ou de pouvoir , ie extra territorialité du droit discal en particulier et amendes conséquentes à l’appui.
Ces pratiques et procédures atteindront l’Europe,
tôt ou tard,
ce fut le ca pour l’économie, la finance, le mode de vie, l’usage de la langue dominante, mœurs ainsi tous les aspects culturels (culture de masse ou élitiste),
calqués sur les modèles développés aux US avec leurs lots d’avancées, bénéfices, impacts dévastateurs et injustices.
L’Europe devenue dépendante et poreuse, auto-incapacitée à produire son propre futur, s’affiche de nos jours en symbole (contemporain) des ex empires déchus.
R Erdogan teste à ses dépends les limites d’une politique de non alignement,
comme nombre de ses prédécesseurs, aveuglé par sa mégalomanie et les Mlds de $ accumulés par son entourage au moyen d’une corruption considérable appuyée sur des pratiques népotiques et clientélistes.
Trop c’est trop surtout lorsque l’on tient, comme la Turquie un rôle militaire et diplomatique pivot dans la région,
vouloir s’établir en puissance régionale autonome, tt comme l’Iran, l’Irak, la Libye il y a encore peu, dans un monde encore unipolaire, peut être bipolaire ds qqs années, révèle les sérieux troubles psychiques dont souffre le dirigeant turc.
Dans les colonnes de la presse occidentale, et ce depuis plusieurs mois voire années, l’image de R Erdogan voisine celles de feu Hussein, Khadafi et ne pèse guère plus que El Assad ou Rohani.
L’Empire radicalise ses méthodes et interventions, sans trop se soucier de l’impact médiatique des ses ingérences, à la manière des dictatures privilégiant la force brute qui sévirent en Europe, Amérique Latine, URSS etc.
Une fois l’étape franchie et l’écueil surmonté, on en revient à des pratiques de démocratie formelles plus acceptables au plan international et au business ;
Question de priorités.
La Turquie doit se préparer à changer de tête et s’en trouver une nouvelle,
cela s’avèrera plus difficile pour le président despote turc (éventuellement son entourage proche),
lui n’en possède qu’une malgré ses pouvoirs étendus.