"si vous ne l’avez pas déjà vu vous devez absolument voir le reportage de Soral."
Son seul intérêt est de présenter les choses comme il plaît à certains qu’elles soient présentées.
Je ne sais pas si ce qu’il dit est exact, faux, biaisé, flagorneur ou hypocrite, mais comment ne pas se souvenir du voyage en Ukraine d’Edouard Herriot, en 1933, alors que sévit une famine dont le nombre de morts est estimé, selon les sources, entre 2.6 millions et 5 millions, et qui revint en France avec une vision enchanteresse de l’Union soviétique ?
Conformément à son programme, le budget de Trump prévoit, contre l’avis unanime (républicains + démocrates) de la Commission sénatoriale en charge des dotations budgétaires, une augmentation des dépenses militaires et une réduction drastique du budget du département d’Etat, soit plus de sécurité intérieure et moins d’interventionnisme à l’international.
Ce que Libération du 13 septembre présente ainsi : "En filigrane, les sénateurs étrillent la vision « America First » (« l’Amérique d’abord ») de Trump, celle d’une Amérique repliée sur elle-même, désengagée au maximum du théâtre onusien et de l’aide au développement."
"...aux Traités européens qui ne peuvent pas être changé d’un iota sans le consentement de 27 pays..."
En l’état actuel des choses, c’est une chance. Grâce à cette disposition, les pays dirigés par un gouvernement national empêchent les Juncker, Merkel, Macron et consorts d’aller plus loin dans leur dérive fédéraliste.
Il ne faut pas perdre de vue que lorsque Marx met au point sa doctrine, l’ouvrier consacre plus de la moitié de son salaire à sa nourriture et à celle de sa famille.
L’époque est donc sans comparaison avec la nôtre.
Et c’est pourquoi le prolo d’aujourd’hui ne se reconnaît pas dans cet "esclave" qui gagnait juste de quoi "reconstituer sa force de travail".