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  • 1 vote
    enzo 28 avril 2013 10:47

    mettre en place une politique de " quotas " ou que ce soit et plus particulièrement dans les postes clés est une absurdité....


    se sont les gens les plus méritants et les plus capables ( ce n’est pas le cas en ce moment ! ) qui doivent occuper les postes les plus élevés et les postes clés.

    les minorités ? quelles minorités par exemple ? et qui les nommerait ces "minorités" !

    en ce qui concerne cet article sur Gilbert Collard, vous êtes hors sujet, nous parlons ici de référendum d’initiative populaire, pas de nommer des "minorités" à des poste clés. 



  • 3 votes
    enzo 28 avril 2013 10:33

    @pyrathome


    Collard n’ a jamais proposé d’ouvrir des "salles de viol" et vous le savez très bien .. c’était une boutade de sa part en réponse de l’absurdité des socialises à vouloir ouvrir des "salles de shoot" .
    instaurer le référendum d’initiative populaire comme en Suisse serait une excellente idée pour la démocratie ... non ?

    Brasser du vent ne sert à rien. Si vous avez quelque chose à exposer, faites-le.
    ce que vous dites est creux et stupide... Je pourrai vous traitez de "connard" comme ça, sans raison ?
    Est-ce que vous pensez que le débat avancera de cette manière ?


  • 4 votes
    enzo 27 avril 2013 21:16

    Le Che, ange cruel, tombe de son piédestal

    Des millions d’adolescents portent encore des tee-shirts à l’effigie de Che Guevara, qu’ils assimilent à un martyr. En fait, le Robespierre cubain était un tortionnaire illuminé et sans pitié.

    FACE à la mort, il avait paniqué, ce qui prouve qu’il était humain, du moins lorsqu’il s’agissait de lui. « Ne tirez pas ! Je suis Che Guevara ! Je vaux davantage vivant que mort ! », s’était-il écrié, ce 8 octobre 1967, lorsqu’il fut capturé par les soldats boliviens, dans le canyon de Yuro. Le lendemain, c’était il y a quarante ans exactement, l’ordre tombait : le capitaine de la CIA, Felix I. Rodriguez, devait faire exécuter son prisonnier, qui ressemblait à un mendiant couvert de guenilles. « Il est devenu blanc comme une feuille de papier. Je n’ai jamais vu de ma vie un homme dans un tel état », se souvient celui qui traqua le Che des mois durant.

    Paravent des illusions

    À une heure vingt de l’après-midi, un soldat bolivien, saoul, tira des rafales de mitraillette, il assassina le Che. Les Boliviens voulaient l’abattre à tout prix. Les Américains préféraient le garder vivant. Pour ne pas en faire un martyr. Ce qu’il devint immédiatement.Dans l’île de Cuba, en octobre 2007, les affiches géantes montrent toujours le visage rayonnant du Che, qu’un vieillard pathétique de 81 ans, Fidel Castro, continue d’utiliser comme paravent à ses illusions défuntes.Ces images hantent le paysage alors que les 11 millions d’habitants de cette île, claquemurés dans leur misère, quémandent quelques dollars à des touristes émerveillés par ce décor de pacotille, ce lupanar pour tour-opérateurs sans scrupule.

    Le Che, et lui seul, flotte encore au-dessus des débris de ce naufrage, comme un mythe indestructible, alors que le Mur et l’URSS ont disparu depuis longtemps, que la Chine tente vainement de réguler un protocapitalisme sauvage. Régis Debray, qui partagea son combat, résume bien la situation : « On ne peut rien contre les mythes. Son assassinat l’a transformé en archange, le glaive en moins... »

    Chien de garde de Castro

    La mort brutale transforme l’homme en symbole oecuménique, les couturiers et les footballeurs à la mode portent son effigie. Comme à une époque celle de Jim Morrison. Voici pourtant l’heure de vérité pour le Che. Non, l’homme n’était pas un idéaliste mort assassiné. Il avait été à Cuba le chien de garde de Fidel Castro. L’exécuteur de ses basses oeuvres. Il avait des centaines de morts sur la conscience. Il avait été « le boucher de Cabana », la prison de La Havane, avant d’être métamorphosé en martyr désarmé. L’homme fumait ses havanes en assistant aux exécutions de ses victimes, en compagnie d’invités. « N’utilisez pas les méthodes bourgeoises légales. Les preuves sont secondaires », ordonne-t-il.

    Plusieurs ouvrages sont publiés, Le plus accablant est celui de Jacobo Machover . L’auteur, qui a lu « l’oeuvre » du Che, constate : « Rien de plus dogmatique que ces textes où la plus grande orthodoxie politique le dispute à une pulsion effrénée de la mort. » Au-delà du personnage de poudre et de sang, c’est peut-être cette mystique de la mort, ce goût morbide pour un retour au chaos originel qui fascine tant de jeunes dans le personnage du Che. L’ange était un démon, et sa pulsion la destruction.

    « La Face cachée du Che », par Jacobo Machover (Buchet-Chastel)



  • 15 votes
    enzo 26 avril 2013 20:53

    ces deux hypocrites , menteurs , escrocs mondialistes, destructeurs en puissance... 

    l’alliance du talmudiste et du gauchiste... 
    en réalité ils sont cul et chemise sur le but à atteindre : le gouvernement mondial... dirigé par qui ? devinez un peu ...


  • 2 votes
    enzo 26 avril 2013 20:43

    et oui Aiezoa, ce "blaireau" de Nicolas Doze est en "mission commandée"pour Golman Sachs ... certains s’en rendent compte immédiatement.

    mais la majeure partie des français sont des "mougeons" comme dirait l’autre : moitié mouton, moitié pigeon ... 
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