@medialter Bon, si je lis bien, négationniste, c’est pas bien. Mais révisionniste, c’est bien ou pas ? Est-ce progressiste ? Faurisson, qui dit que la loi Gayssot a été faite contre lui, dit (disait) qu’il est révisionniste. C’est pas pareil. Et Faurisson, il a raison ou pas ? Faut-il regarder ce qu’il a fait pour savoir ou doit-on se contenter de ce qu’on lit ou entend ?
Nous allons partir du postulat que nous avons tous des cerveaux constitués, grosso-merdo, de la même façon (mêmes types de connections synaptiques) et que le conditionnement que nous avons vécu nous a fermé certaines connections qui ne communiquent plus entre elles. Donc des zones qui s’illuminaient quand nous sommes arrivés dans ce monde mais où notre expérience de la réalité a oblitéré ces fonctions. Je pense que la consommation, passé un certain âge, devrait pratiquement être obligatoire, pour rentrer dans l’âge adulte. Je ne sais pas si la présence humaine peut être indésirable dans certains lieux mais je sais que mon âme se régale de (re)découvertes terrestres, accessibles au quotidien, et d’une liaison au cosmos de manière consciente, en dehors du rêve. Le jeu, oui, mais alors en solitaire ou, bien accompagné.C’est, pour moi, le sens du sacré mais certainement pas une détente.
Psylocibes, ou mousseron des près (mais là je suis moins sûr). Pour l’abus faut être costaud parce que ça fatigue la raison, dont nous avons besoin pour fonctionner au quotidien. Quant à sa dangerosité comparée à l’alcool, il n’y a pas l’ébriété de l’alcool et, pour parvenir au même état d’illumination qu’avec les champignons, il faut boire des quantités d’alcool tout à fait déraisonnables.
Non, pas surdimensionnées au genre humain, au contraire, elles donnent leur vraie dimension au genre humain. D’accord avec l’idée de sacrement, quoique je préfère le terme d’illumination.