J’ai connu des ministres de l’intérieur qui avaient la sagesse de parler posément et avec respect, sur un ton mesuré. Et nous voilà en face d’un voyou, apeuré, qui dans sa panique profère des menaces qu’il sait illicites. Il faut voys reprendre monsieur. Vous avez implorer se poste, montrez vous à la hauteur et sachez garder votre sang froid.
Demain, puisque vous avez le verbe haut, allez au devant des manifestants, même accompagné de deux gendarmes et protégé d’une couche culotte, mais faites ce geste, et on vous respectera.
Personnellement, j’aimerais pour vos menaces et votre grossièreté, vous allonger une mandalle magistrale. Une femme vous a interpellé l’autre jour, vous lui avez tourné le dos comme un péteu que vous êtes, Une femme, vous avez entendu, maltraitée et insultée par des policier. Voilà un exemple de courage, tâchez d’en avoir autant et parlez dans la rue avec les manifestants . Mais vous êtes bien trop lâche, on ne frime plus maintenant comme sur la photo en débraillé...
Votre sortie est tellement absconse, que vous aurez du mal à comprendre ce que vous avez cherché à exprimer.
Essayez de reformuler votre pensée, en ponctuant et en paragraphant bien, pour que ce soit déjà un peu plus clair.
C’est la nouvelle philosophie.La philo à la BHL Tuer pour solutionner le problème.
En quelque sorte, la solution finale de Ferry. Un fou complet. Ferry et sa philosophie nazie. Il a qui derrière lui ? Rothschild, et tout le lobby juif qui tiennent toute la France en main. Quand un gueux ose résister un doit le TUER. Il y en a beaucoup des gueux dans la rue qui se battent parce qu’on vole dans leur poche pour enrichir les autres, les Rothschild and Co. Et Ferry, à la télé annonce qu’il faut tuer pour avoir la paix. Ferry ....maintenant, passe à l’ombre, vis à vis de toi, nous sommes en légitime défense.
La Suisse qui se renferme sur elle-même, n’est pas un pays fasciste, elle pratique pourtant couramment le référendum d’origine populaire... mais ils appellent cela une votation, et là ça change tout... Monsieur Jean Claude Carrière est très pessimiste. Pourtant, ne se rend-il pas compte que notre système est truqué, et que seuls les élites hors classe : Banque, industriels tiennent les manettes et feront toujours élire des être soumis, obéissants, et bien récompenser. Voilà ce que l’on veut changer. Ce ne sera pas facile. Il faudra faire la guerre...