Il n’y a pas que Montagnier et l’équipe indienne. D’autres équipes dans le monde ont trouvé des choses intéressantes tout autant que curieuses en rapport aux protéines spikes par exemple (les pointes autour de la sphère/noyau).
Normalement, dans la nature, lorsqu’un virus incube dans une espèce et mute par transfert, le phénomène de la zoonose, l’affinité de ce virus est moins forte que dans l’organisme d’origine, c’est à dire une soit disant chauve-souris sauvage à ce qu’on nous serine depuis le début.
Ce qui est étonnant, c’est que d’après plusieurs recherches :
Merci j’allais le poster. En dehors de ça, puisque la chloroquine est une option et qu’elle agit sur les infections à plasmodium, pourquoi dès lors ne pas envisager l’artemisia ? D’autant plus qu’ils ont de l’expérience avec cette plante en Chine.