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Jinorlm

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  • 1 vote
    Jinorlm 19 juin 2017 12:25

    Ce ton mi sarcastique mi caustique ne va t-il pas creuser davantage le gouffre déjà béant d’incompréhension qu’il existe entre l’homme et la femme aujourd’hui, l’une et l’autre passant leur temps cloitré dans leur narcissisme en s’invectivant et se rejetant la faute réciproquement (et davantage depuis l’ère d’internet qui a rendu ça beaucoup plus facile) ?

    A quoi bon rajouter du mépris à une situation où règne déjà un grand ressentiment ?

    Ne faut-il pas plutôt essayer de comprendre pourquoi on en est arrivé là et trouver les moyens délicats pour le faire comprendre ?



  • vote
    Jinorlm 13 juin 2017 08:25

    @pegase
    En même temps, s’exprimer correctement est assimilé aujourd’hui, soit à un caractère efféminé (voire Idiocracy qui avait anticipé le truc), soit pour de la prétention, soit pour de malhonnêteté/manipulation parce qu’on l’oppose instinctivement à une manière "honnête" de s’exprimer, sans fard, qui ne cherche pas à "enfumer" l’autre, parce qu’on confond l’expression avec d’autres problématiques (qui ne concernent la plupart du temps que celui qui professe ce genre de jugement).

    Et comme la référence dans cette société n’est plus que le on dit et l’impression que l’on fait dans le regard de l’autre, qui finit par créer un conformisme dont peu s’extraie au final, on en arrive à ce genre de nivellement vers le bas.



  • vote
    Jinorlm 20 avril 2017 10:33

    @Hijack ...

    Méa coulpa alors.

    Mais en même temps ça représente quoi par rapport au reste de leur consommation ? et est ce que c’est transposable au reste ?

    et est ce qu’on peut vraiment parler de progrès quand on voit d’où ça vient ? Je veux dire, pour en arriver là, il leur a quand même fallu des niveaux de pollution énormes. Alors est ce qu’ils ont toujours été vertueux ?

    J’ai l’impression qu’on a plus tendance à regarder le résultat que les mécanismes à l’œuvre. Et ça, c’est quand même typique de la mentalité actuelle, qui cherche le pragmatique au détriment d’autres valeurs plus fondamentales.

    Il y a eu un fonctionnement à l’Américaine avec un productivisme à l’excès, et maintenant, ça cherche à se tasser un peu. Ce qu’on a du mal à se dire, c’est que jamais on pourra faire tenir une société avec des moyens écologiques si la population ou ses désirs restent tels qu’ils sont. Un moment ou un autre, il va bien falloir freiner la consommation.



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    Jinorlm 19 avril 2017 21:58

    D’où vient électricité permettant de recharger ces bus électriques, des usines à charbon ?
    Fin je veux dire, c’est bien gentil de nous dire que c’est écologique et technologique, mais moi j’ai quand même la légère impression que l’on est en train de déporter un probleme ailleurs, et donc que l’on ne tire pas vraiment les leçons des choses qui nous ont arrivé et continuent de nous arriver.
    Mais peut être que je me trompe. Faudrait regarder les chiffres. Comparer les choses rigoureusement pour voir ce qu’il y a de moins mauvais. Et surtout, inclure le social dans une réflexion écologique, variable que l’on a toujours du mal à prendre en compte, comme si l’énergie était détachée des hommes qui pourtant la consomme...



  • 1 vote
    Jinorlm 13 avril 2017 16:00

    @Jinorlm
    On continue à croire en le mythe du self made man (bien qu’il ait montré ses limites depuis 30ans), qu’on a par ailleurs décliné au féminin au point où des femmes sont toutes fières de montrer leur réussite sociale et de revendiquer l’égalité, alors que tout ce qu’elles défendent ainsi, c’est la médiocrité et le nivellement vers le bas. Mythe du self made man qui flatte parce qu’il distille l’idée que l’on est seul maitre de son destin, chose complètement fausse, comme le disait déjà Einstein : “Je ne crois point, au sens philosophique du terme, à la liberté de l’homme. Chacun agit non seulement sous une contrainte extérieure, mais aussi d’après une nécessité intérieure.”On continue à croire au confort, bien que là aussi il ait montré ses limites. On peut penser, pour aller vite, à l’état des ressources naturelles, notamment l’exploitation des terres rares nécessaires à l’avènement du numérique, numérique qu’on présente comme révolutionnaire et écologique alors qu’il est en train de détruire les hommes et l’environnement (lac Baotou en Mongolie entre autre).

    On continue à croire en l’espoir, ou plutôt, aux promesses d’espoir et de progrès, bien que ça fasse 40 ans (comme l’a démontré Lasch dans ses oeuvres), qu’on sait que cette idéologie est incomplète et dangereuse, qu’elle se vautre dans un optimisme niais et aveugle, notamment en vigueur dans les startup, qui fait loi grâce à une novlangue qui se la joue cool mais qui est en réalité complètement creuse.

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