Personnellement, je n’ai jamais vu d’avion de ligne laisser derrière lui un chemtrail. En général, ils volent très haut, et c’est une chose facile à contrôler grâce au site http://www.flightradar24.com/ qui montre les caractéristiques (type, provenance, destination, compagnie…) des avions en vol.
Ainsi, à une époque, chaque fois que je voyais un avion produire une traînée chimique, je constatais sur ce site que cet avion n’apparaissait pas ; il n’était pas pris en compte par le système de surveillance. C’était donc obligatoirement un avion militaire.
J’ai observé parfois des quadriréacteurs produire ces traînées à relativement basse altitude.
Dernièrement, j’ai observé ce dont parle à un moment la vidéo, des avions semblant laisser une traînée de condensation naturelle. Ainsi, un matin par ciel totalement bleu, j’ai vu avion qui laissait ce qui semblait une vraie traînée de condensation. Elle se dissipait à quelque distance de l’avion. Seulement, il y avait comme un hic avec cet avion. Il volait suffisamment bas pour qu’on l’entende et le distingue, et loin derrière lui, des tronçon de chemtrail réapparaissait. Pire, au bout de quelques heures, le ciel était entièrement voilé de brume. Je ne sais pas si cet avion a fait ça tout seul ou si d’autres avions laissant des pseudo-traînées l’ont aidé, mais j’ai comme l’impression qu’ils ont fait des progrès pour faire croire au caractère naturel des chemtrails.
dans lequel Dr Mae-Wan Ho compare les thèses de l’astronomie officielle à celles de la théorie de l’Univers électrique et de la Plasma Cosmology.
Il vaut le coup de le lire car, bien que Dr Mae-Wan ne soit pas spécialisée en astrophysique, elle a des avis pertinents sur à peu près tout ce qui touche les sciences.
Je ne suis pas scientifique, mais quand j’ai découvert la théorie de l’Univers électrique, j’ai compris où était la vérité.
@BlueMan Il faut plutôt s’intéresser à des choses sérieuses, pas à des choses impossibles, miraculeuses. Il y a la cosmologie du plasma électrifié (Plasma Cosmology de l’IEEE expérimentée au Laboratoire national de Los Alamos) ou la Théorie de l’Univers électrique du Thunderbolts Project.
Les manifestations de l’électricité dans le plasma, comme la striction longitudinale électromagnétique (Z-pinch en anglais), par exemple, développent des forces surclassant de très loin la gravitation (elles sont des ordres de grandeur plus grandes).
Pour prendre un exemple concret, les galaxies spirales, entre autres, sont des manifestation de l’électricité dans le plasma. Leur cohésion n’a rien à voir avec la gravitation. Comme elles tournent en bloc, les étoiles centrales allant à la même vitesse que les étoiles périphériques, des astronomes ont inventé un truc impossible appelé « dark matter » (traduit par matière noire, mais exprimant plutôt un sujet (fait) inexpliqué), qui engloberait les galaxies et les maintiendrait. Mais, selon la Plasma Cosmology, il n’y a pas besoin de matière noire pour maintenir les galaxies, puisque ce sont les forces électromagnétiques qui assurent leur cohésion.
La notion de trou noir sort de la même imagination débridée pour expliquer divers phénomènes de haute énergie, mais, dans la Plasma Cosmology, tout est explicable sans eux.
Tout ce qui est dit n’est que spéculation, puisque jamais un trou noir n’a été observé. Le pire dans cette histoire, c’est que ces astronomes ignorent la physique des plasmas, alors que l’Univers est composé à plus de 99% de plasma. Ils n’ont donc pas les outils pour comprendre l’Univers.
Les trous noirs appartiennent au domaine de la science-fiction.