Un comptoir de fast-food devrait en effet être empêché par la loi de donner sa nourriture empoisonnée à des sans-abris à l’alimentation déjà déficiente, tout comme un bordel n’a pas à laisser jouir de ses services d’autres personnes que des adultes pleinement consentants.
Il disposait d’informations que nous savons : une sortie de la Grèce est parfaitement possible, elle est même souhaitée par beaucoup d’oligarques, mais c’est pour plonger ce peuple dans une misère subite, l’exposer de plein fouet aux terroristes islamiques qui sont tout proches, et en faire un exemple pour la planète de ce qui arrive quand on dit non. Mais Obama qui est un copain intime de Tsipras lui a dit "bien, mais pas tout de suite, j’ai des choses géostratégiques à faire dans la région avant".
Non, seule explication : il a prémédité le tout pour sa carrière personnelle, et ses réunions avec l’Eurogroupe étaient comme autant d’examens oraux où il devait faire part de la bonne marche techniques des diverses étapes de son contrat. S’il avait été l’objet de mesures de chantage personnel allant à l’encontre de ses intentions, il aurait démissionné plus tôt ou mieux encore mis en oeuvre son éjection et témoigné par la suite comme beaucoup de politiciens sud-américains l’ont fait. Les gens d’Aube Dorée ont prévu son comportement jour pour jour des mois à l’avance.
@la mouche du coche Jésus est dans ton coeur, pas à la messe, pas dans les temples de marbre, pas dans les statues de plâtre, pas dans les livres de parchemin : écroulez le marbre et vous le trouverez, fracassez le plâtre et vous les verrez, brûlez le parchemin et vous l’entendrez vous parler.
"Vous avez le cancer du cerveau. J’ai négocié pour vous avec la Sécu une chimiothérapie très coûteuse dont votre famille remboursera les 3/4 du coût, je sais pertinemment qu’elle ne marchera pas, mais je suis en devoir de vous la prescrire quand même, il n’y a pas d’alternative."