Modern_Bushido

@Hijack ... Nous avions à peu près le même genre de musique en France à une époque, pleine d’émotion et d’harmonie instrumentale souvent appuyée par des orchestres petits ou grands mais de talents. Et c’est une des choses qui nous rapproche des russes, ce qui n’est pas anodin car la musique est l’une des plus belles choses qui existe (lorsque c’est vraiment de la musique). Il n’y a qu’à voir le succès qu’à Mireille Mathieu lorsqu’elle chante à Moscou.

Et je pense que c’est surtout ça qui me touche dans cette vidéo : cette proximité avec un style de chansons françaises que nous n’avons plus ou presque plus.

Après une petite fouille en profondeur, je recommande vivement à ceux qui aiment de faire le tour de la chaîne Youtube liée. Elle a l’air de contenir beaucoup d’autres chants aussi captivant, et rien qu’à mon premier essai choisi au hasard je suis conquis :
https://www.youtube.com/watch?v=0XmXJSA8-w8
Ca donne vraiment envie de se mettre au russe (encore plus que la scène de John Cleese et Jamie Lee Curtis dans "Un poisson nommé Wanda" ^-^).

La musicalité est la fois reposante et inspirante. Merci pour ce partage, Le Russe, ça change les idées.

Serait-il possible d’avoir la traduction des paroles pour se faire une idée de la poésie du texte ?

@Éric Guéguen

C’est effectivement l’impression que cela donne, sauf que la réalité est un peu différente : de manière générale, les gens qui sont en désaccord ou qui veulent juste râler réagissent plus que les gens qui approuve le message transmis par l’article. On a donc une sur-représentation des points de vue négatifs parce que ceux qui sont d’accord n’ont souvent rien de plus à ajouter par rapport au contenu de l’article, alors que ceux qui veulent juste râler n’ont même pas besoin d’argumenter ni même d’écrire correctement.

Il faut donc garder espoir dans le fait qu’il existe un certain nombre de gens n’étant pas encore enfermés dans les réflexes conformistes, défaitistes et ironiques. C’est juste qu’ils s’expriment moins. De toute façon les changements n’ont jamais été réalisés par le grand nombre et c’est toujours vrai aujourd’hui. Laissons donc râler les "mouches du coche" et réfléchissons ensembles avec ceux qui sont prêts à construire autre chose.

Comme quoi avec un peu de recherche, on trouve. Donc plus précisément, il s’agit de la conférence de clôture lors du capitole du libre du 23 décembre 2013. La vidéo complète est disponible au lien ci-dessous à privilégier, sur la chaîne officielle de l’association TVn7Toulouse :

https://www.youtube.com/watch?v=4Gh4F8rxkFw

Détail complet de la conférence :
4:01 Introduction sur la surveillance étatique et privée
9:30 Premier marqueur des régimes dictatoriaux : viol des libertés
12:58 Second marqueur des régimes dictatoriaux : sanctions sans procès
14:47 Les libertés individuelles dans un environnement numérique
18:35 Google, Facebook, faiblesses des systèmes centralisés
22:12 Cyberpaix : faire évoluer les mentalités et les comportements
23:40 Digression : Exemple d’interdiction technique artificielle, le lecteur de DVD (https://www.youtube.com/watch?v=nc1i_...)
29:15 Comment avoir confiance dans le réseau, le logiciel et le matériel, exemple avec les ordiphones (https://www.youtube.com/watch?v=aBx__...)
35:20 Programme américain Bullrun de sabotage de toutes les technologies de sécurisation des communications (https://www.youtube.com/watch?v=mhUdE...)
38:10 L’audit des implémentations logicielles
40:36 Le rôle que nous avons à jouer
42:35 Les réponses politiques sur ces sujets
49:35 Annonce sur les donations des associations FDN² et LQDN

Questions du public :

53:03 Codes malveillants utilisés sur la majorité des sites internet
56:34 Parallèle avec Fukushima : effet d’annonce, communication de "crise" des entreprises, etc..
59:54 BadBIOS & hardware libre
01:05:35 Mobilisation du grand public
01:13:53 Confiance dans un système technique : implémentations, limitations juridiques, contournements techniques, etc..
01:22:43 Conception de la confiance avec des entreprises, des marques et entre êtres humains
01:25:30 Élargissement de la problématique à toute la société