Je ne sais pas si le très bon travail mené par monsieur Denis Robert est une victoire pour le journaliste d’investigation. Je veux dire que tous les journalistes ne sont certainement pas prêt à assumer les procés et les pressions qu’il a subit. Tout au contraire cela fait peur, très peur, même si au final la cours de cassation lui a donné raison.
Pendant que des millions d’européens dorment certains font preuve de déterminisme. Je ne crois pas qu’ils fassent bien peur à ceux qui mènent la barque. ils donnent cependant des informations qui nous changent des somnifères distillés par les médias et ordonnancés par les mafias financières.
Monsieur Robert semble être en bonne santé et c’est ce qui est à mes yeux une très bonne nouvelle.
Je ne sais pas ce que fait Kadafi et je doute qu’il soit une oie blanche. De la même manière il n’est évidemment pas le monstre décrit dans nos médias. Par contre je connais l’Otan et les principes militaires mis en place par la france et ses ’amis’. Ils sont la honte des principes humains défendus par Jean jacques Rousseau. Loin de l’égalité et de la fraternité ils pactisent avec ce qui est sombre, brutal et lache. Le mensonge et la manipulation est un art largement développé pour soumettre les populations (sans oublier la notre). Brrrrrr ! je vais fermer les fenêtres, ils me font froids dans le dos.
Roma tu ressembles à ceux qui te font manger des OGM et qui construisent des centrales nucléaires comme des enfants des chateaux de sables. Ce que tu n’imagines même pas c’est que tu seras dans les premiers à être pris pour cible dès que tu vas commencer à douter d’eux.
Un bon conseil mon ami, ouvre bien grand tes yeux et serre les fesses car c’est pas derrière qu’ils vont passer...
Pas d’accord avec toi cette fois, la démocratie est fragile, très fragile...
L’idée de ’liberté’ est subjective tu le sais bien. Bon nombre de peuples occidentaux se disent libres alors qu’ils ne le sont pas vraiment. Nous sommes tenus en laisse par la haute finance qui dicte les grandes lignes politiques de nos pays. Si Chavez ’disparait’ trop tôt, ils (les financiers) vont se jeter sur le Venezuela comme la misère sur le monde.