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Serge ULESKI

Serge ULESKI

Aujourd’hui, si nous ne sommes sûrs de rien ni de personne, c’est que nous sommes infiniment plus nombreux qu’hier à chercher à savoir ; et plus nous serons nombreux à trouver et moins les évidences auxquelles il nous a si longtemps été demandé d’adhérer s’imposeront à notre esprit.
Ainsi va la recherche ! Vers un savoir de plus en plus complexe mais sans surprise car, ce savoir doublé d’une compréhension dévastatrice nous renverra fatalement à ce que nous sommes aussi - d’aucuns ajouteront -, et surtout : à cette nature en trompe l’oeil, dissimulatrice, accapareuse et rétentrice qu’est la nôtre.
Porteuse de tous les dangers, cette recherche expansionniste toujours plus performante et exigeante : le danger de nous laisser sans évidences et sans certitudes.
Du grain à moudre pour la réflexion et l'écriture... ce danger !
Nul doute !

Tableau de bord

  • Premier article le 29/01/2013
  • Modérateur depuis le 13/04/2013
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Derniers commentaires




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    Serge ULESKI Serge ULESKI 1er décembre 2019 08:30

    Plenel ne pouvait pas rater un mouvement comme les "Gilets jaunes". Cela lui permet une nouvelle fois de se mettre en avant et d’occuper le "beau rôle" qui est toujours le "bon rôle". N’oubliez jamais que Plenel a appeler à voter Macron, qu’il l’a reçu... Aujourd’hui, il nous explique quel est le programme de Macron. En 2022, à nouveau Plenel appeler à voter Macron............ Face à l’offre politique d’hier et d’aujourd’hui, il n’y a qu’un discours à quand on est sérieux, sérieusement à gauche... c’est le suivant : "Cette élection qui nous demande de choisir entre Lepen et Macron ne nous concerne plus ; on se retire des urnes. Donnons-nous RDV dans la rue à chaque fois que ce sera nécessaire !". ................. 

    A bon entendeur



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    Serge ULESKI Serge ULESKI 1er décembre 2019 06:38

    Il s’agit de Raoul Vaneigem : 

    De nationalité belge, Raoul Vaneigem… sera à la tête du mouvement situationniste des années 60 avec Guy Debord.

    https://admin.over-blog.com/3619358/write/107888200



  • 1 vote
    Serge ULESKI Serge ULESKI 1er décembre 2019 06:31

    Tout le monde le redoutait, sauf les classes les plus aisées car ces dernières ont des marges importantes de "régression" (si l’on peut dire), cette réforme des retraites initiée en 2018 n’a pas pour but de réduire les injustices ou les inégalités de traitement ou bien d’harmoniser les différents régimes ; non, cette réforme n’a qu’un but : pour le plus grand nombre, réduire le montant des retraites versées dans les années à venir ; de 20 à 30% selon les statuts et les âges d’entrée sur le marché du travail. 

    Si la "répartition" est maintenue, resurgit toutefois le spectre de la "capitalisation" qui depuis les années 90 hante le système. 

    Une étude du magazine Challenges - à la tête duquel on ne pourra pas soupçonner la présence d’une rédaction gauchiste, anti-libérale et anti-capitaliste -, ne laisse aucun doute à ce sujet.

    Seule incertitude : ça commence quand et pour qui en priorité ? 

     

    Toutefois, il faut savoir placer cette réforme, après tant d’autres, dans le contexte d’une mondialisation (dont l’U.E est l’instrument, ici sur notre continent) qui n’a qu’un but : la hausse des profits et la baisse des salaires, des droits et des protections dans une mise en concurrence de tous contre tous. 


    Macron est mandaté pour ça ; il sera jugé par ses commanditaires (l’oligarchie mondiale) sur ses capacités à mener à bien les réformes qui s’imposent s’il souhaite que sa crédibilité demeure intacte car une autre carrière l’attend à l’international dans 7 ans. 



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    Serge ULESKI Serge ULESKI 30 novembre 2019 21:06

    Julian Assange, le Nelson Mandela de la lutte contre ce qu’il est convenu d’appeler "l’Etat profond" qui bafoue l’intérêt général, la vie privée et les droits individuels en cultivant le secret - intrusion et désinformation - constate fait le constat suivant : "Il existe une asymétrie d’information entre les pouvoirs publics et les citoyens. Cela signifie que les États sont, d’une part, en mesure de contrôler une grande partie des communications de leurs citoyens, et qu’ils tentent, d’autre part, de garder secrets de larges pans de l’information.

    Les innovations techniques proposées par Internet offrent désormais la possibilité d’inverser l’asymétrie observée. Le premier de ces axes vise à protéger les informations à caractère personnel des citoyens. Le second axe vise, lui, à organiser la publication-divulgation systématique des connaissances dont disposent les pouvoirs publics, et de parvenir ainsi à une minimisation de la fonction étatique conçue en tant qu’autorité."





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    Serge ULESKI Serge ULESKI 30 novembre 2019 20:59

    Il ne dit pas ce qu’il faut dire ; il a trop la tête de ce qu’il est. Incapable de laisser de côté sa casquette CGT. Incapable de contrer la com du gouvernement, à savoir : "la réforme a pour but d’en finir avec les régimes spéciaux"...

    Il ne faut avoir qu’un discours : de cette réforme, tout le monde en sortira perdants ; hommes, femmes, cadres, employés, ouvriers....

    RÉFORME DES RETRAITES : "DAVANTAGE DE PERDANTS QUE DE GAGNANTS" - CONFIRMATION DU MAGAZINE CHALLENGES



    Tout le monde le redoutait, sauf les classes les plus aisées car ces dernières ont des marges importantes de "régression" (si l’on peut dire), cette réforme des retraites initiée en 2018 n’a pas pour but de réduire les injustices ou les inégalités de traitement ou bien d’harmoniser les différents régimes ; non, cette réforme n’a qu’un but : pour le plus grand nombre, réduire le montant des retraites versées dans les années à venir ; de 20 à 30% selon les statuts et les âges d’entrée sur le marché du travail.



    Si la "répartition" est maintenue, resurgit toutefois le spectre de la "capitalisation" qui depuis les années 90 hante le système.



    Une étude du magazine Challenges - à la tête duquel on ne pourra pas soupçonner la présence d’une rédaction gauchiste, anti-libérale et anti-capitaliste -, ne laisse aucun doute à ce sujet.



    Seule incertitude  : ça commence quand et pour qui en priorité ?

     

    Toutefois, il faut savoir placer cette réforme, après tant d’autres, dans le contexte d’une mondialisation (dont l’U.E est l’instrument, ici sur notre continent) qui n’a qu’un but : la hausse des profits et la baisse des salaires, des droits et des protections dans une mise en concurrence de tous contre tous.

    Macron est mandaté pour ça ; il sera jugé par ses commanditaires (l’oligarchie mondiale) sur ses capacités à mener à bien les réformes qui s’imposent s’il souhaite que sa crédibilité demeure intacte car une autre carrière l’attend à l’international dans 7 ans.

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