C’est dommage que dans votre avis personnel vous vous rabattiez sur ses accointances de gauche pour pouvoir soutenir un "oui il a raison...mais..." je conçois qu’il faille après remplir ce "mais" et parfois c’est un peu scabreux...
Le thème du livre met en simple lumière une évidence qui ne couvre pas tous les aspects de l’existence mais pèse bien son poids.
Ces bourgeois sont nuisibles non pas par le fait d’être avant tout des personnes mais par le fait qu’ils se désolidarise du reste de la population en cultivant un esprit de classe supérieure (il n’y aurait plus que deux classes du coup) et cette réalité se situe avant les avis politiques tout en sachant plus ou moins consciemment que sa vie, sa classe, repose sur l’exploitation du travail des autres et cultive le déni ainsi que le mépris pour certains.
En gros, la démocratie ne pourra se faire tant que cette séparation sera de fait.
Il faut sortir de ce sablier pour pouvoir enfin parler démocratie.
Si nous ne prenons pas de décisions, la décadence s’en chargera mais à quel prix...
C’est bien que ce genre de parole directe sans détours et non pas avec l’envie de régler des comptes commencent à s’insérer, il y plein de jeunes qui arrivent avec du solide. Ca déroute mais on tourne moins en rond, pour le moment... Et puis l’envie de passer à autre chose, ça arrive dans l’histoire d’un peuple si ce n’est pas que ça d’ailleurs.
Voilà ce que j’en ai compris en tout cas (avec un peu d’extensions personnelles dans le propos)
Ce n’est pas simple d’être gilet jaune, certes vouloir reconstruire une souveraineté monétaire et une destinée du pays et satisfaire sa population consommatrice est une chose mais briser les tenailles du mondialisme dans lequel nous sommes engagés et que Macron accentue afin que l’on ne puisse plus revenir en arrière en est une autre.
Car on arle beaucoup, à juste titre, de politique intérieure mais bien de nos "conforts" nous sont accessibles grâce au politiques extérieures qui sont menées. Pas simple de faire abstraction de cela sans remettre en question nos modes de vie.
En tous les cas l’avenir n’est pas sur la terre, ça on en est de plus en plus sur... Ou alors il n’y a pas d’avenir. La tête des gens sous l’ancien régime (au moins) à qui on aurait dit qu’un jour l’homme se déplacerait dans des boites roulantes et que l’on volerait comme des oiseaux dans le ciel avec des boites de plusieurs tonnes... Il aurait eu des têtes d’ahuris, comme la votre qu’on devine...