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Tartine

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Derniers commentaires




  • 1 vote
    Tartine 12 novembre 2018 00:13

    @Belenos oui, sauf que le tort tue ...



  • 1 vote
    Tartine 12 novembre 2018 00:11

    Femen … Yemen … Hasard ? Complot ? Diversion ?..



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    Tartine 16 octobre 2018 20:52

    La laïcité en droit français tient en trois points : neutralité de l’État (aucune position religieuse ou spirituelle), égalité des citoyens (pas de discrimination) et liberté de conscience (croire ou ne pas croire). Il s’agit d’une conception libérale, issue du siècle des Lumières, liée à une anthropologie et une philosophie, où la loi n’a d’autres normes que la volonté du peuple (démocratie) au service de la liberté. Aussi, les institutions religieuses -qui affirment porter la volonté divine- sont-elles exclues de l’activité législatrice, car elles tendent à imposer des limites à la volonté du peuple.

    C’est le décret du 3 ventôse an III (21 février 1795) qui établit un régime de séparation des Eglises et de l’Etat, complété par les lois organiques décrétées par Bonaparte en 1803 qui réglementent en France l’exercice des cultes catholique, luthérien et réformé (les juifs, reconnus comme citoyens de la République depuis 1791, conviendront de la subsidiarité religieuse aux lois de la République en adhérant pleinement à l’injonction même du Talmud :" la loi du Royaume est ma Loi"). Les lois successives au XIXe (dont la loi Ferry de 1882 sur l’Ecole laïque) conduisent à la fameuse Loi de 1905. 

    Or, on oublie souvent que l’Islam n’est pas seulement une religion mais aussi un système politique, régi par les lois de la Charia. Il n’existe pas de séparation entre politique et religieux ("religion de la loi") ni entre politique et vie privée (les règles du musulman sont en même temps pénales et morales). Si, contrairement aux autres religions l’Islam a toujours refusé de signer un Concordat de subsidiarité avec l’Etat français, aucune religion ne peut aujourd’hui prétendre à un statut privilégié en droit. En d’autres termes, les principes de droit religieux ne sauraient se placer au-dessus du droit positif de la France. 

    Les problèmes subsisteront aussi longtemps que ce malentendu ne sera pas dissipé.  




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    Tartine 14 novembre 2016 14:47


    Supprimer le SU ? C’est très Ancien Régime, ça ...
    S i Jean-Baptiste Patati avait un minimum de culture politique, il réaliserait que l’élection présidentielle américaine ne s’appuie justement pas sur le suffrage universel, puisqu’il s’agit d’un scrutin indirect. En fait, au SU direct, Mme Clinton aurait été élue, puisqu’elle a obtenu davantage de voix que Mr Trump...
    Mais au fond, le Tenia des ondes ne fait que reprendre un fantasme bien connu des oligarchies. Grand initié capitaliste des Lumières, Voltaire n’affirmait-il pas déjà (Lettre à Damilaville, 1er avril 1766) : "quand la populace se mêle de raisonner, tout est perdu".

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