Etant donné que les protagonistes se font également une guerre commerciale, la grande guerre a été supprimé du planning, c’est vraiment trop cher payé pour de la pisse.
On se demande encore pourquoi certains osent sortir quelques kalachs hors de prix, à la vue des marges réalisées.
Il est évident que chaque écrit monothéiste porte en lui des traditions compromettantes avec une culture locale ou les petits moyens d’un chef fondant une culture monothéiste (main coupé, égorgement dans le cas de l’Islam).
Il va de soi que ces compromissions ne sont pas légitimables sous les ors républicains, basés sur le respect de l’intégrité corporel voire du pardon. Le politique n’a donc pas à se compromettre de trop avec l’Islam, les arcanes de la justice française étant moins expéditives de ce point de vue.
On pourra cependant considérer l’apport récent des musulmans à une vision conservatrice du modèle familial, en réaction aux excès de moeurs ultra-libertins.
Disons que Soral va plus loin, mais reste, avec certains propos, très en arrière.
Car, dans le fond, on peut considérer tout discours d’altérité sur les monothéismes comme un discours assez secondaire.
Il en est de même de Onfray.
Je veux bien croire que, dans notre société pluri-monothéiste, le prêt à penser BFM sur la question permet d’entretenir un discours franc mais bête par Onfray.
Car il va bien falloir rester raisonnable en terme de composition de société.
En connaissant tout les livres sacrés, et en relevant toutes leurs contradictions, y compris internes, leurs dérives, il ne peut d’y avoir de sacré que sa propre culture, appréciation et raison, et d’incréé que son propre être.
Quand à l’incréation de Mahomet qui abusait de l’alcool, n’est ce pas...