Il me semble que les problèmes liés à la sexualité dans nos sociétés industrielles (ou post-industrielles) se posent depuis bien plus longtemps que ne l’affirme JP Benglia. Déjà, dans les années 30, W Reich en avait fait le coeur de ses travaux.
Déconstruire les identités, déviriliser les populations, les métisser pour les fondre en une nouvelle culture, il est certain qu’il s’agit d’un plan de gouvernance dont le but est évidemment d’encore mieux contrôler les masses.
Un homme nouveau est à l’horizon. Sans race (cad de toutes les races), sans culture profonde (se contentant de celle qu’on lui servira à la becquée), sans convictions, sans histoire, sans révolte. Les liens avec le passé doivent être définitivement rompus.
Ce sujet n’a pour seul mérite que de nous rappeler que la société n’a pas tant changé que ça depuis deux siècles. La République est la digne héritière de la Monarchie.
Les dynasties se succèdent. Les riches s’enrichissent. Les "fils de..." règnent tandis que les "fils de pute" subissent.
Marine Le Pen n’est pas particulièrement brillante. Mais elle fait le job. C’est déjà ça ! Elle incarne bien son parti.
Le meurtre du père qu’elle est en train d’accomplir (Brutus moderne et féminine) est peut-être l’acte fondateur de sa future entrée dans la Galerie des Glaces du Pouvoir.
Au fond, l’hérédité n’est pas une question de talent. Ou peut-être faut-il n’en avoir qu’un seul : savoir assumer son héritage.