Un peu déçu par le discours de l’auteur qui ne nous apprend rien. Pas un mot, par exemple, sur George Soros, le grand financier de ce mouvement pseudo-révolutionnaire.
C’est très bien vu de votre part d’avoir pensé au théâtre.
J’y pensais moi-même tandis que je répondais à Maq. J’ai endossé le rôle du peuple non révolutionnaire, petit et faible. Je pense que nous avons en nous toutes les couleurs du spectre social et moral.
Je me demandai même si le théâtre ne pouvait pas être une des solutions aux problèmes politiques que pose Chouard. Comment engager les gens sinon en se mettant dans leur peau ? En répondant aux objections qu’ils n’oseront pas poser ?
D’accord sur le talent dramaturgique de Sartre. Je me souviens avec émotion de ma découverte - bien plus jeune - du Diable et le bon Dieu.
Faut-il donc attendre le dernier moment, celui où les besoins primaires ne sont plus satisfaits pour faire la révolution ? Celui où il est peut-être déjà trop tard ?
Dans ce cas, la révolution in se n’existe pas. Elle n’est qu’une crise majeure. Une catastrophe. Une guerre.