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un primate

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  • 1 vote
    un primate un primate 28 janvier 2014 08:31

    Caroline dénonce la paranoïa des intervenants décriés et des internautes.


    Selon ses paroles, il n’y a pas de système.

    Nous sommes donc tous des malades mentaux.




  • vote
    un primate un primate 27 janvier 2014 16:22

    Je répondais au message de 14h01 d’Ours qui pense, plus haut.



  • 4 votes
    un primate un primate 27 janvier 2014 16:19

    Oui, Todd et Attali sont de grands habitués de l’émission. Ils y brassent de l’air, comme toujours. Beaucoup d’aéro-brasseurs dans CSOJ. Rares sont les intervenants intéressants.


    Je crois que Taddei est pote avec Soral. On le voit l’interviewer sur une vidéo (j’ai la flemme de la chercher sur le net) qui date d’une dizaine d’années. Il le tutoie et on sent une complicité entre les deux. La scène se passe dans un café parisien. Ils sont en compagnie du mec homo qui a écrit un roman où son personnage est porteur du Sida et se fout de le refiler à son entourage.

    Tout ce petit monde se connait parfaitement. Soral est très connu dans le milieu médiatique. Et apprécié. Sauf depuis que Valls a lancé sa fatwa contre lui.


  • 9 votes
    un primate un primate 27 janvier 2014 13:02

    Taddei essaie de garder un ton neutre mais il est sur la sellette et il le sait. 


    On lui reproche d’être ami de Nabe, de Soral ou de Dieudonné. Sous couvert d’impartialité, il accepterait les thèses de ce genre d’individus. Le système -en crise- ne peut plus l’accepter. Le système ne peut plus tolérer la tolérance. Il est entré en phase de guerre. Guerre à tout ce qui ne correspond pas à son éthique.

    Alors, soit Taddei se couche, soit il gicle.
    Soit il renonce à ses amis et à une certaine indépendance d’esprit, soit il renonce aux avantages de sa situation médiatique.
    Sacré dilemme ! La vérité ou le fric. La liberté (et le danger) ou le confort. 

    Un dilemme qui, au fond, est celui auquel tout le monde est confronté, plus ou moins.



  • 10 votes
    un primate un primate 27 janvier 2014 11:09

    Caroline Fourest est une Torquemada de la bien-pensance totalitaire moderne.


    Profondément traumatisée par la société patriarcale (qui n’existe pourtant plus) elle ne cesse de se venger des humiliations que sa condition homosexuelle lui a fait subir.

    Elle cherche donc à imposer la dictature communautaire victimaire. Et elle y parvient. La caste médiatique étant unanimement acquise à cette vision du monde et tentant de l’imposer au public réfractaire.

    Le pouvoir est aux ex-opprimés (les femmes, les homos, les juifs, les étrangers). Les autres (en gros, les hommes blancs non gauchistes) n’ont qu’à subir. Ils sont punis pour les crimes de leurs aînés et ceux qu’ils commettraient s’ils avaient encore le pouvoir.

    C’est un moyen de domination habile puisqu’il joue sur les ressors de la culpabilité. Au fond, le pouvoir c’est ça, ça a toujours été ça : manipuler le peuple par la culpabilité. Les pauvres sont pauvres car coupables de bêtise et de paresse. Les hétéros sont des violeurs en puissance coupables de concupiscence. Caroline Fourest se réserve le droit de cuissage. Les femmes entre elles !

    En même temps, cette vision du monde est l’avenir. Dans un monde de plus en plus rationné (pas seulement rationnel), un monde surpeuplé, limité, cette nouvelle dictature est logique. Car elle limite les naissances. Elle limite les possibilités d’expansion de l’individu et des masses.

    Aldous Huxley n’a rien inventé, il n’a fait que décrire l’inéluctable. La transformation de l’humanité en fonction des ressources matériels du monde. On aura beau combattre cette transformation, on aura beau regretter les temps anciens, ça ne sert à rien. 

    Le pouvoir le sait, lui qui a toujours un temps d’avance. Caroline Fourest le sait. Et c’est pourquoi elle est la prêtresse du monde d’aujourd’hui, la prophétesse du monde de demain. Qu’on le veuille ou non.


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