Les investisseurs se focalisent sur la Bourse ce qui place les indices en porte à faut par rapport à la situation économique mondiale.
La BCE a parachuté de la monnaie de singe. Les bénéficiaires ne savent pas quoi en faire alors, ils achètent des Actions même si les rendements sont de 0,1% à 0,00 %. La spéculation s’exerce sur les cours comme à la Loterie.
Quiconque veut comprendre quelque chose doit suivre les interviews ou les émissions, confronter les déclarations contradictoires ou "fallacieuses par omission" (ex : Jean Pisani-Ferry, fils d’un ancien ministre de De Gaulle, Pompidou etc... et proche de µicron).
1° Les Blancs ont pratiqué la traite négrière pendant des siècles et des siècles, si on en croit Tidoiane N’Diaye dans "Génocide Voilé".
« Les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant treize siècles
sans interruption. La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés
ont disparu du fait des traitements inhumains. Cette douloureuse page de
l’histoire des peuples noirs n’est apparemment pas définitivement
tournée. La traite négrière a commencé lorsque l’émir et général arabe
Abdallah ben Saïd a imposé aux Soudanais un bakht (accord), conclu en
652, les obligeant à livrer annuellement des centaines d’esclaves. La
majorité de ces hommes était prélevée sur les populations du Darfour. Et
ce fut le point de départ d’une énorme ponction humaine qui devait
s’arrêter officiellement au début du XXE siècle. »
2° Les Africains ne sont pas en reste à propos d’esclavagisme
Selon Mme Bachelot, le Roi du Dahomey, Béhanzin, pratiquait en plus de l’esclavage, les sacrifices humains jusqu’au XIXè siècle
Le royaume de Dahomey fonde sa prospérité du XVIIe à la première moitié du XIXe
siècle sur le commerce des esclaves. Vers 1750, le roi Tegbessou vend
ainsi chaque année plus de 9 000 esclaves aux négriers. On estime que
ses revenus sont quatre à cinq fois plus élevés que ceux des plus riches
propriétaires terriens d’Angleterre.
Le royaume devient une puissance majeure dans la traite des esclaves,
ceux-ci étant fournis grâce à des raids dans les régions voisines. Le
royaume d’Oyo fait parfois pression sur le Dahomey pour mettre un frein à
son trafic d’esclaves, essentiellement pour protéger le sien ; le
commerce esclavagiste du Dahomey marque à ces moments une pause avant de
reprendre à nouveau9.
Incapable de maintenir un apport régulier d’esclaves, le roi Adandozan (1797-1818) est renversé par son frère Ghézo (1818-1858) et le marchand d’esclaves brésilien Francisco Félix de Sousa.
Sous Ghézo, l’empire atteint son apogée ; Ghézo bat l’empire d’Oyo en
1823, mettant fin à son statut de tributaire et développant fortement le
commerce d’esclaves
Hé ben, si tout ce qui est dit est vrai..... pfffeeew !
Je n’aimerais pas être à la place des Juges.
il est plus facile aux délinquants de réunir une claque au Palais de Justice qu’aux citoyens de la République de contre-manifester... la motivation et la dose d’agressivité ne sont pas comparables dans chaque camp !
Jadis les bonnes âmes socialo-machinchose et les bisounours manifestaient contre la double peine : incarcération — expulsion. On voit où ça mène avec les "sauvageons" que la République nourrit en son sein...
C’est ici que le Mage des Media du MEDEF, Konh-Bendix, pourrait donner son point de vue... Les CRS, il a bien connu en mai 68... et à propos, on ne le voit plus trop sur les barricades en ce moment.
Dommage que les mono-nationaux irrécupérables ne puissent être déchus de nationalité, ça règlerait bien des problèmes, en plus de l’exemplarité !
Lorsque ces putains d’Infaux du MEDEF déclarent que les chefs d’AQMI ont été décimés au MALI à la frontière algérienne, c’est grâce aux renseignements des.... USA ! Ils omettent "pudiquement" et systématiquement les Services Algériens. Pourquoi ???