washoe

Je pense que ffi voulais dire que chaque pays devrait exercer sa souveraineté monétaire et ne pas laisser le controle de la monnaie à des acteurs indépendants des citoyens .

De nos jours, certains reseaux financiers et magnats de la presse concentrent assez de pouvoir pour influencer les marchés. 
Ce qui ne constitue pas un contre-pouvoir idéal en démocratie.
Je pense plutôt qu’on établira des contre-pouvoirs performants en modifiant le mode de scrutin, en impliquant plus les citoyens.

Pour ceux qui voudrait avoir un autre son de cloche que ce qu’on entend dans les écoles - publiques ou privées - sur les appuis dont ont bénéficiés les national "socialistes". Financiers, industriels bien peu socialistes en fait.

L’essence du libéralisme pour lequel vous militez est la propriété lucrative (dont parlait Bernard Friot dans un post vu recemment ici). La liberté n’intéresse le liberaliste qu’à titre de priorité secondaire. Ce qui fait hurler le plus ceux qu’on voit poster ici : donner ses sous à l’état, payer des salaires indirects (cotisations sociales) à leurs employés.

En 2011, avec une dette s’élevant à + de 100% du PIB, le trésor américain pouvait emprunter encore à 2,60% auprès des marchés, grace aux bonnes opinions des agences de notation.
Marchès et agences qui n’ont pas de mansuétude pour - entre autres -la Grèce et l’Italie. (voir ici)Pourquoi ? Les marchès sont beaucoup moins rationnnels qu’ont veut nous le faire croire.
De plus Lenglet nous livre une liste de pays miséreux pour démontrer l’inefficience du "quantitative easing". Notre analyste manque de raffinement.
Par exemple, Cuba sous le embargo commercial de depuis 1962, du fait des État-Unis (voir ici), offre à sa population un taux de mortalité infantile inférieure à celuis des EU. Faut-il en conclure que faire fonctionner la planche à billets sauve des bébés ?