Faisant référence aux récents conflits sociaux aux Antilles, Dieudonné a souhaité que ceux-ci servent de modèle en métropole, afin que survienne une véritable révolution sociale, dans le cadre d’un combat de classe qui transcende l’esprit communautaire. Selon lui, le seul communautarisme qui vaille est le « communautarisme de classe », dans le cadre républicain. " Il faut également se battre contre ce repli communautaire. Il faut que la République retrouve son sens et que nous chassions toutes les organisations mafieuses du type le CRIF, de la République", qu’il a comparé au « système béké » aux Antilles.
Dieudonné a également placé le combat pour la liberté d’expression au cœur de son engagement, considérant que celle-ci était réduite à néant en France par une minorité oppressante dont il conviendrait de se libérer, comme les esclaves en leur temps.
Se défendant d’incarner "une candidature antisémite", « bien au contraire », Dieudonné a affirmé que sa liste regrouperait des "juifs antisionistes" et des gens "de tous bords" partageant ses préoccupations.