Caroline Fourest suit la voie tracée par son mentor Philippe Val (elle se plie en huit pour obtenr une récompense promotionnelle du régime sioniste imposé à la France par Naboléon et toute sa clique honteuse).
Celle qui se présente habituellement sous les traits policés et la plume brillante d’une intellectuelle libre penseuse affirme sans complexe dans son blog que l’idée défendue par Tarik Ramadan de soutenir le peuple Palestinien est la meilleure qu’il ait pu avoir, bien qu’elle y ajoute aussitôt au risque de trahir sa rhétorique menteuse le reproche selon lequel la défense du Hamas comme le fait Ramadan est condamnable, et ce, sans autre forme de procès (elle y ajoute insidieusement les frères musulmans pour noyer le poisson et neutraliser les réponses infirmatives). Donnons la parole aux faits et à l’histoire politique et qu’apprend-on : que le Hamas est majoritairement représentatif du peuple Palestinien (les dernières élections démocratiques ont vérifié ce fait), celà revient à nier l’idée selon laquelle défendre le peuple Palestinien est une bonne chose. Elle préferait qu’il soutienne la frange corrompue gravitant autour de Mammoud Habbas, celui que yasser Arafat désignait avec une lucidité aiguë comme étant un autre Karzaï imposé par les Etats-unis, Israël et l’UE (un pantin qui défendrait en réalité le complexe atlanto-sioniste dans le seul intérêt de profiter de la protection que ces parrains mafieux apportent aux infâmes dictateurs par l’emploi de la force et de la peur au ventre).
Ainsi on peut voir et comprendre à travers les propos contradictoires de Caroline Fourest tendant à affirmer, d’une part, que le soutien au peuple Palestinien est une bonne chose, et d’autre part, que le parti Hamas (qui représente les aspirations des Palestiniens à recouver leur liberté et les territoires illégalement occupés par l’entité sioniste Israëlienne), doit être l’objet d’une relégation et d’une vindicte totales et absolues. Autrement dit, celà revient (en fait) à infirmer la première assertion de son sillogisme implicite et à lui en renier son existence. La dernière assertion non écrite est simplement la négation de sa pensée ou le double discours ôtant la substance principale qui reposait sur un argument essentiel ramené au néant (ex nihilo nihil = à partir de rien, rien ne se produit).
Nous avons bien la preuve irréfutable que caroline Fourest est une adepte courroucée du double discours qu’elle impute, par dénégation de la réalité, à ses détracteurs intelligents qui osent lui apporter la contradiction.