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Commentaire de Paradisial

sur Toujours sexy sous mon niqab


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Paradisial Paradisial 26 octobre 2009 14:33

Je ne suis ni pour le niqab ni contre le niqab, ni n’y encourage. Par contre, je suis absolument contre la burqa.

Ailleurs, de par le monde, dans plusieurs pays, les femmes peuvent travailler en étant voilées, dans tous les corps de métiers et en des milieux mixtes.

Niqab et travail par contre ne sont absolument pas compatibles, sauf s’il s’agisse d’un milieu 100% féminin, la femme le portant pourrait alors là complètement s’en défaire.

Sinon, à travers ce post je voudrais revenir sur le contenu de la vidéo postée en haut : Le Système du Dajjal, et sur l’image de harem ou de femme réduite à la réclusion que renverrait la vidéo de l’article.

Ma visée n’est pas de parler de voile, mais de répondre à cette exagération offerte par l’actuelle vidéo par une autre exagération qui elle n’est pas du tout aussi éloignée de la réalité.

En Orient, le sens de la famille est hautement conservé. Les familles vivent dans la quiétude et la paix, malgré la misère, car leurs cœurs sont trop riches et très emplis d’amour : les mains et les têtes des grands-parents sont embrassés ainsi mêmes que celles des parents. Les divorces sont rares, et quand les enfants grandissent leurs parents (ne sont pas jetés dans des mouroirs et oubliés, mais sont hébergés dans la maison de l’un des enfants, même s’ils ont la leur, ou sinon le benjamin ou la benjamine se marie et reste avec eux, et ) deviennent les chouchous de la famille, notamment la MAMMY.

C’est celle-là mes amis la vraie famille orientale, et non celle misérable placardée dans l’HLM d’à côté, ou ce que l’on lit dans les faits-divers ou les informations insolites d’ailleurs.

Le vrai Harem est celui que l’on retrouve en Occident, constitué de toutes ces femmes esseulées qui se croient trop libres mais vivent souvent en défaut d’amour. Elles ne parviennent plus à fonder une vraie famille, cette vraie famille jadis heureuse et solidaire que le système trop matérialiste et libéral a finit par casser ; d’ailleurs, il y est de plus en plus de familles monoparentales que de familles (n fois) recomposées.

Après le boulot, le seul soucis de ces femmes malheureuses et esseulées se résume en la question quand est-ce qu’elles sauront dénicher un petit-ami (on ne cherche plus un futur mari, les gens ne prennent plus leurs responsabilités, d’un côté comme de l’autre, mais juste qu’à épancher des pulsions, les gens se projetant que dans le court terme au lieu du long terme).

Souvent, ces femmes là ne vivent plus que des amourettes, devenant le réservoir intarissable des dragueurs, des coureurs de jupons, et des collectionneurs de maîtresses, pour lesquels elles sont jetables à loisirs.

Voilà le vrai harem, vrai fruit du libéralisme à l’excès.

La femme se fait belle aujourd’hui non pas pour séduire son mari, père de ses enfants, mais pour séduire le maximum d’hommes qu’elle croise dès qu’elle ressort de sa petite maison.

Sous des airs de liberté et de libéralisme, cette femme là, c’est elle qui est devenue la vraie esclave de l’homme. C’est le système qui l’habille et la déshabille, c’est le système qui lui dicte comment doit-elle se faire belle à l’excès (soit-disant pour elle même, soit-disant pour être belle dans sa peau, alors qu’elle est bardée dans le faux [faux cils, fausses lèvres, fausses poitrines, fausses teintures, des extensions par si des réductions par là, des couleurs exagérées par ci des couleurs dissimulatrices pas là...] un faux qui frise la schizophrénie et la double personnalité), c’est le système qui lui inculque la dernière mode la plus aguichante pour les regards des mâles, et c’est le système qui lui dicte ce qu’elle doit manger et ce qu’elle doit mettre comme fragrances (comme pseudo-phéromones) sur sa peau.... Après, c’est le même système qui lui vend in fine l’idée qu’elle est vraiment libre, trooop libre. Bein, dis-donc !!!

Au bout du compte, cette femme là ne jouit et ne récolte que des plaisirs éphémères. A la place de l’amour et du bonheur, dans son cœur, c’est l’angoisse constante et la dépression chronique qui s’y sont substituées et s’installent à jamais.


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