A bien y regarder, l’étau se
resserre sur les produits de base pour une exploitation plus radicale des
pauvres par les plus riches.
La démographie galopante va
accentuer le processus.
Il s’agit vraiment d’un
néocolonialisme parce que les pays émergents
sont dans la course mais la forme du colonialisme reste la même : on
investit le sol, on embarque la production et on paye les esclaves autochtones
qui y travaillent au lance pierres.
Les produits de base les plus
vitaux sont accaparés et les plus pauvres sont pris en otages, réduits à la
condition d’esclaves.
Ça se passe dans tous les pays.
En France, avec l’eau, la communication, etc.… On en revient aux péages
d’antan, d’une région à une autre. Le néocolonialisme est aussi chez nous et il
s’exporte.
Les nouveaux « colons »
exacerbent les luttes « intestines » pour mieux asservir les pays
pauvres, ils achètent d’abord les dirigeants de ces pays, en font leurs
complices. Avec les Chinois en Éthiopie, c’est flagrant.
Ah ! Qu’il est beau le
« libéralisme » économique ! Qu’elle est belle la
mondialisation ! C’est l’âge d’or des tyranneaux sans foi ni loi.
La délinquance et la piraterie
ont de l’avenir, c’est le tout à l’ego démago des magouilles.
Y a –t-il un pilote dans l’avion
qui sache le conduire avec des données autres que boursières ? Il nous
manque de ces écoles de pilotage où l’on est compétent, humain et conscient du
danger. Il nous manque cette régulation.