Il n’y a plus qu’a tirer l’échelle et aller se coucher alors.
Il y a quand même un sentiment de mal être général dans la population, les politiques ne s’interessent plus à l’interêt général ou à être au service de la population, les histoires de magouilles sortent les unes après les autres, on provoque des guerres pour des questions économiques, mais officiellement on invoque les droits de l’homme, on épuise les ressources de la terre, on abime le reste (pollution chimique, destruction de paysage pour du pétrole, catastrophes nucléaires), donc on est plutôt en sinistroseland et tout le monde constate tout cela, mais ne se sent pas les épaules pour changer les choses.
Parce que la grosse différences avec les crises humaines historiques, c’est qu’on avait pas encore la puissance de destruction de notre environnement que nous avons maintenant.
C’était "Business as usual", et on allait un peu plus loin, mais on a plus "plus loin" ou aller.