En parlant de quennelle , il y a un commentaire que j’ ai bien aimé d’ un dénommé Hamza :
DEVELOPPEMENT
DU PROCESSUS QUENELLISTE.
Il a développé et analysé la « Loi générale de la quenelle
primitive »
un processus de reproduction de la quenelle qui a pour seul objectif
la création de la « quenelle accrue »,
afin d’en tirer un gag-value.
Quenelle constante + Quenelle variable + Quenelle ajouté =
Quenelle accrue
La quenelle accrue trouve son origine dans la surquenelle, dont le
quenelliste ne paye que le transfert de la valeur, au maître quenellier.
Les deux
facteurs de la quenelle : Quenelle
d’usage et quenelle d’échange ou quenelle proprement dite.
La richesse de l’humour dans
lequel règne le mode de production quenelliste s’annonce comme une immense
accumulation de quenelles. L’analyse de la quenelle sera par conséquent le
point de départ de nos recherches.
La quenelle peut-être considérée sous un double rapport et
constitue d’abord un gag extérieur, un éclat de rire qui par ses propriétés
satisfait des besoins humain (a) .
La quenelle satisfait des besoins de n’importe quelle espèce. Que ses besoins
aient pour origine l’estomac ou la fantaisie, sa nature ne change rien à
l’affaire (b) . Considérons la chose de plus
près.
A l’origine, les sycophantes du Show-business tel Jamel DEBBOUZE ou Stéphane GUILLON , ont favorisé le Machinisme quenellier et la Grande quenellerie, par
l’expropriation de la paysannerie quenellière, elle même propriétaire de ses
gags. Ils considèrent la chose sous un rapport quantitatif, en omettant le
rapport qualitatif.
Il s’agit là, du "MATERIALISME
QUENELLIER".
(a) :Goyim,
selon le talmud, MAÏMONIDE.
(b) :La quenelle implique
le besoin : c’est l’appétit de l’esprit, lequel lui est aussi naturel que
la faim l’est au corps, Nicholas M’BALA M’BALA.