(suite)
C’est donc cette décision prise de manière autoritaire sans demander l’avis des français sur ces deux sujets qui font en fait le côté scandaleux de ces deux affaires.
Pour les OGM tout le monde sait ce qu’il s’est passé et le très beau travail réalisé par J. Bové et les faucheurs volontaires, souvent en se mettant eux même en danger ;
L’affaire des loups est passée en catimini, cela paraissait moins grave, plus marginal et le projet bien emballé dans la propagande et les mots est passé tout seul. Les loups c’est si beau, si intelligent, le livre de la jungle et tout...
* Il s’agit bien dans les deux cas d’un abus de pouvoir : dans ces deux cas il s’agit de choix fondamentaux, qui engagent notre avenir. C’est le choix du monde dans lequel on veut vivre. Il est quand même normal que l’on soit consulté à ce sujet. Non ?
*Pour les ours ce n’était déjà pas acceptable. Pourquoi vouloir à tout prix le réimplanter. Dites-moi quel est son impact dans l’écosystème. Quelle est sa nécessité ? Pourquoi vouloir détruire une quiétude qui aprés tout était une richesse ? Promenades et bivouacs se faisaient en toute insouscience, les gens des villages n’avaient même pas a penser aux rencontres possible avec une bête quand même pas très rassurante. Les bonnes gens l’ont dis, l’autorité est passée outre.
Parlons du loup maintenant. Ses possibilités de déplacement sont remarquables, son degré de liberté n’est en rien comparable à celui de l’ours. D’autre part il vit souvent en meute. L’ours c’est une première agression, il a fait renaître chez les randonneur et les villageois l’angoisse d’une rencontre inopinée... Le loup, c’est, là, d’une tout autre dimension quand on connaît ses possibilités : elles ont fait, je crois à juste titre, sa réputation. Pourquoi ne serait-elle pas fondée.
fin du 2° épisode, pause.