Le pire est cette querelle byzantine sur le mot ’génocide’, au lieu de parler des faits, du massacre par une armée régulière d’ une population civile, on parle des mots. Et l’ argument présenté est que la Convention parle des ’brigands’ et ne désigne pas directement ’les Vendéens’. Donc trucider les brigands, même tous, sans exception, ce n’ entrainerait pas un génocide...
Vous voyez la bétise de l’ argument ?
L’ emploi du mot ’génocide’ par les historiens dépend du mot employé par le bourreau ! Donc un tyran à l’ avenir sait comment faire pour ne pas avoir de problème avec les crimes contre l’ humanité, il n’ est plus un génocideur s’ il désigne ses adversaires comme ’terroristes’, etc...
On croit rêver !