"Il n’est pire sourd qui ne veut entendre".
Ce que je dis est très simple. La science ne veut regarder que ce qui peut être géré dans sa sphère par son système explicatif. Malheur au scientifique par qui le scandale arrive, celui qui prétendrait faire rentrer dans la sphère de la science un phénomène qu’elle n’est pas capable de gérer (pensons à la mémoire de l’eau ou la fusion froide)
En bref, la science s’intéresse surtout à ce qui va lui permettre de se perpétuer dans son système d’habitudes. Elle préfèrera nier ce qui mettrait en péril ses dogmes, comme par exemple la variation des constantes
Comme disait Spinoza, "toute chose tend à persévérer dans son être". La science ne fait pas exception et est donc un processus à évolution bien plus lente que si elle était réellement démocratique et capable accueillir comme il se doit, avec ouverture et impartialité, les nouvelles idées.