Tiens, Muslim,
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Je viens de voir ça :
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Religions en Polynésie française.
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Le christianisme
occupe une place centrale dans la société polynésienne contemporaine.
En 1951, le recensement mentionnait cinq Églises et indiquait qu’un
quart de la population était catholique, un peu plus de la moitié protestante (54,81 %), les Églises restantes – adventistes, Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours et Communauté du Christ,
appelée localement « sanito », ne rassemblant à elles trois que 6,41 %
des habitants de Polynésie française. En 1971, date du dernier
recensement mentionnant l’appartenance religieuse, l’Église catholique romaine avait nettement progressé (34,5 %), l’Église évangélique de Polynésie française (EEPF, protestante historique - 50,5 %) un peu décliné34.
Au cours des années 1980 de nouvelles Églises se sont développées – notamment les pentecôtistes – tandis que les Églises adventistes et, surtout, l’Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours,
progressent de manière très significative, aux dépens le plus souvent
de l’EEPF. Les dernières indications disponibles, publiées en 2006,
montrent que désormais près d’un Polynésien sur cinq n’appartient ni à
l’Église catholique ni à l’EEPF (rebaptisée Église protestante ma’ohi en 2004).
L’Église protestante ma’ohi
(EPM) : L’EPM rassemble environ 38 % de la population polynésienne. Elle
est l’héritière des premières missions protestantes en Océanie, qui ont
introduit le christianisme à Tahiti. Le 5 mars 1797, date à laquelle
les missionnaires du navire le Duff affrété par la London Missionary Society ont débarqué dans la baie de Matavai, est inscrite depuis 1978 sur le calendrier des fêtes officielles polynésiennes et commémorée chaque année par l’EPM.
L’Église catholique romaine :
L’Église catholique représente elle aussi environ 38 % de la
population. Les missions catholiques se sont implantées à partir de 1834
dans les archipels qui forment aujourd’hui la Polynésie française : aux
îles Gambier (frères de la Congrégation des Sacrés-Cœurs de Jésus et de
Marie, dite de Picpus) avec la conversion du roi Maputeoa en 1836, aux
îles Marquises (la première mission est fondée en 1839 sur l’île de Nuku
Hiva), puis à Tahiti. Depuis la fin des années 1970, le Renouveau
charismatique occupe une place importante dans la vie de l’Église
catholique en Polynésie française : au moins un quart des fidèles.
L’Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours : 6,5 % de la population. Premières missions mormones
à partir de 1844, dans les îles Tuamotu et aux îles Australes (Tubuai).
Elle a connu une forte croissance au cours des années 1980.
La Communauté du Christ, appelée localement « sanito » : 3,6 % de la population.
L’Église adventiste
(5,8 %) : en Polynésie française, les adventistes sont surnommés
« petania » (« Pitcairn » en tahitien), en référence aux habitants de
l’île de Pitcairn qui ont été les premiers adventistes en Océanie, dès
1886, et au voilier Pitcairn dont l’escale à Tahiti en décembre 1890 marqua le début de la mission adventiste dans les îles de la Société.
Autres Églises : Les pentecôtistes depuis 1962 (d’abord dans
la communauté chinoise de Tahiti, puis dans l’ensemble de la population à
partir des années 1980 – 1,5 %).
Autres religions : Bahaïsme, bouddhisme (chinois traditionnel et zen) et judaïsme (une synagogue à Tahiti).
Les témoins de Jéhovah (2 %) sont présents depuis le début des années 1960.
Islam : En septembre 2013, Hicham el Barkani, un imam sunnite salafiste 35
de 23 ans quitte la Seine-Saint-Denis et s’installe à Tahiti,
prétendant rassembler les rares musulmans de Polynésie en créant le
"Centre Islamique de Tahiti", une association de type loi 1901. Le local
loué à Papeete est réputé devenir la seule mosquée de Polynésie dès le
15 octobre 2013, à l’occasion de la fête de l’Aid-El-Kébir. Elle est
fermée pour raisons administratives 36
quelques jours après son inauguration non officielle, le 18 octobre,
par décision de la municipalité de Papeete, intimant à l’imam de
procéder à des travaux d’améliorations sécuritaires visant les ERP
(Etablissements recevant du Public).
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Et ce salafiste ... je ne le connais pas, mais ...
Il ne me donne pas envie de boire un verre ou faire un plogeon dans la mer avec lui.
Il fait partie de ces musulmans ou soi disant, qui détruisent l’islam.