Sans l’observation du ciel depuis des dizaines de millénaires par l’homme, pas d’interrogations sur nos origines, pas de mathématiques (pour prévoir le mouvement des astres pour l’astrologie), pas de regard tourné vers l’inconnu, vers la soif de connaissance.
On peut dire exactement la même chose de la philosophie selon ce même raisonnement (ou de toute science obversationnelle), puisqu’il n’y a pas d’utilité pratique.
Ce sont les rêves des hommes qui ont fait que nous avons accumulés les observations et avons fait des déductions et nous en sommes arrivés à notre niveau de développement pour le meilleur et pour le pire.
Nier cet élan, c’est nier notre nature humaine.