les banquiers sont des voleurs ,c’est peu dire
Les banques sont assujetties au ratio de solvabilité de 8%
Ce qui en clair veut dire qu’elles peuvent prêter 12,5 fois plus qu’elles ne possèdent ( 8X12,5= 100 )
Sauf qu’elles trichent
Les accords de BÂLE II ont assoupli les méthodes de calcul des fonds propres
Ainsi il leur est permis de compter en fond propre ,une partie de l’argent des déposants ( sic)
Les règles comptables ont été "arrangées"
Elles ont créé des "quasi fonds propres " avec des titres hybrides ( savant mélange de capital et de dette )
Les économistes avertis considèrent que leurs fonds propres DURS sont plutôt de 2%
De ce fait elles prêtent donc 50 FOIS LE MONTANT DE LEURS FONDS PROPRES
Comment cela est il possible ?
L’argent des déposants servant à financer les investisseurs est une FABLE
L’argent des déposants ne leur sert qu’à financer les découverts ainsi que les prêts courts termes ,leur
générant des profits substanciels avec des intérêts de 12 à 18 % et parfois plus
Pour ce qui est des prêts long termes elles créent de l’argent à partir de rien ( ex nihilo )
L’argent ne commence à exister qu’au moment de nôtre signature dans le bas du contrat de prêt
En fait la banque vient de nous créer une dette
Cette dette nous la remboursons capital plus intérêts
La partie capital est détruite par la banque ( dans sa folie elle est logique ,elle a prêté un capital fictif ,elle ne peut donc pas le réincorporer dans son bilan)
LES BANQUES NE PROSPERENT QU’AVEC LES INTERETS
Sauf que ….. c’est sans compter sur leur imagination
Si vous ne pouvez plus rembourser vôtre prêt la banque saisi le bien pour lequel elle vous a prêté
ou la garantie ( caution etc …)
Ce capital saisi , additionné de taxes et de pénalités diverses et variées est de l’argent réel qu’elles peuvent donc réincorporer dans leur bilan DANS CE CAS LE FICTIF DEVIENT REEL
Sachant qu’avec le système des remboursements à mensualités constantes ,nous règlons d’abord les intérêts pour finir par le capital , je vous laisse deviner le profit colossal réalisé sur un prêt dont le défaut intervient au milieu de la période de remboursement
Mais ce petit jeu a ses limites
Nous arrivons maintenant dans une période moins faste ( baisse du prix de l’immobilier notamment )
En cas de défaut de remboursement si le prix de vente de l’actif saisi est inférieur au montant du restant du en capital , L’ARGENT FICTIF PRETE PASSE ALORS EN PERTE REELLE au bilan de la banque
Ce qui en clair veut dire que dans le cas d’un ratio de solvabilité de 2% , il suffit seulement que 2% du capital fictif prêté ne soit pas remboursé pour que la banque n’ait PLUS DE FONDS PROPRES
la morale est que les français sauve les voleurs !!!!!!!