Ce sont les producteurs qui "bank" ces fils ou filles de. Si le succès est au rdv, ils travailleront. En revanche, si le gamin n’attire aucun regard et s’il n’y a pas de retour sur investissement, il disparaît aussi sec. La fille de Balasko, après avoir bénéficié d’un ou deux premiers rôles, n’apparaît plus des masses... Si, elle arrive parfois en guest star dans un événement accompagnée de Jean Paul Gautier (maman est peut-être cliente ?)... On lui laisse. Si C. Gainsbourg ne remplissait pas les salles (et elle ne manque pas de talent, soyons honnêtes, je pense à Jane Eyre en passant même par Prête-moi ta main) on en entendrait pas parler d’elle et je ne pense pas qu’un Lars von Triers prendrait un quelconque risque sur le simple fait qu’elle s’appelle Gainsbourg, (et j’ai bien aimé sa loyauté à l’égard de ce réalisateur au moment où il s’est fait virer de Cannes).
Les producteurs vont au plus facile et répondent aussi à la demande d’un public. Les fils et fille de attirent parfois, c’est ainsi.
Maintenant nous avons aussi des familles d’acteurs sur 3 ou 4 générations : Sardou, Brasseur. je me vois pas les qualifier de fils de.