Je réside dans un pays où du pauvre ce n’est pas une denrée rare.
Avec
du pauvre au niveau formation à raz des pâquerettes, pas de problème,
il se révolte que quand il n’arrive plus à nourrir ses enfants. Sinon on
lui fait avaler ce que l’on veut.
Vous n’êtes pas sans voir que les
français on les emmène tranquillement vers la paupérisation, manque de
ressources à venir obligent. Et vous voulez des pauvres ayant du savoir
avec tout les problèmes qui vont avec ?
L’arrivée du pétrole et de
l’énergie en masse à permis l’ouverture du savoir en dehors du 1% les
plus riches qui n’arrivaient plus à fournir les effectifs d’encadrement à
haut niveau. Le pétrole on a passé son pic, on peut refermer l’accès au
savoir.
A part la période pétrole et énergie importante, les 99% les
plus pauvres n’avaient pas à savoir mais à exécuter, on reprend ses
habitudes.
Sans trop de ressources, même l’ouvrier, le prolétaire
n’a plus lieu d’être, on forme quelques personnes malléables pour
l’entretien de robots et basta.
Au XIXème siècle, le paysan qui
travaillait 12h/jour, 6j/7 pour nourrir sa famille et 4 personnes hors
famille, vous croyez qu’il augmentait son savoir le soir ? Il bossait et
fermait sa gueule.
Avec le fordisme, on s’est aperçu qu’il avait
moyen de se faire plus de fric en faisant en sorte que le prolétaire
puisse acheter la production, les ressources en excès le permettaient.
Moins de ressources, ça n’a plus lieu d’être.
Des années 40 aux
années 80 ça été le pétrole à profusion, le 1% n’arrivait pas à tout
avaler ces richesses, 8-10% c’est tout ce qu’ils arrivaient à avaler.
Maintenant il vont reprendre leurs habitudes hors profusion, 18-20%.
Si le gâteau est plus petit et qu’une personne garde la même part c’en fait moins pour les autres.