Ruquier et surtout la Direction de FT est coupable de laisser des animateurs/journalistes mettre en avant leur positionnement politique et les laisser censurer certains courants politiques ou idées jugées nauséabondes : Haziza, Ruquier, Cohen, Drucker et d’autres. Coupable d’un mépris de classe abjecte à l’égard du seul candidat issu du milieu ouvrier (Poutou) quoi qu’on pense de lui. Coupable de vouloir mener une politique de discrimination raciale et basée sur l’âge de l’aveu même de l’avis de sa Présidente qui a affirmé " « On a une télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans, et ça, il va falloir que cela change » (au passage on imagine la réaction si elle avait ajouté une autre caractéristique... comme dirait Babeth, "s’il y a trop de ceci..."), Présidente qui a subit une motion de défiance signée par près de 85% des salariés de FT. 

La Direction est également responsable d’avoir fait en sorte de mettre sur la touche le seul type qui avait l’honnêteté d’inviter toutes sortes d’invités, dont certains interdits d’antenne de manière assumée par ceux déjà cités. Tous ces manquements, ces scandales mêmes, contreviennent, bafouent même de manière patente la charte de l’Antenne de France Télévision sur plusieurs points, notamment : 

- en ce qui concerne la "pluralité" (voir page 12) 

- "l’impartialité" (page 65) : ""Les journalistes ne tirent pas profit de leur position pour faire valoir des idées partisanes"

- le pluralisme hors période électorale (page 70)

"France Télévisions reflète dans sa programmation la diversité de la société française et veille à engager une action adaptée pour améliorer la présence de cette diversité dans les programmes."

A près de 80%, c’est l’imposition de plus de 26 millions de ménages Français qui finance cette maison (gérée n’importe comment par ailleurs) et qui ne respecte pas la "diversité de la société" comme mentionné dans cet article relatif à la liberté de communication. 

La présence de cette femme manifestement en souffrance psychologique évidente est un choix consternant mais au point où on en est...